C’est un lundi avant-midi. Jour de la rentrée universitaire en cet hiver trop chaud à mon goût. J’étais assise dans la petite cafétéria du deuxième étage et tu étais présent, à cette table, juste en face de moi. Tu étais grand, quand même bâti… enfin dodu comme je l’aime. Ton beau jeans délavé juste assez serré et ton chandail beige qui rappelait le champ de blé l’été. Tu étais bien assis, relaxe, semblait même heureux d’être de retour à l’Université après un congé des Fêtes d’environ deux semaines… Ah ! Quelles deux semaines? Pour ma part, j’avais même pris congé du boulot. J’avais réellement besoin de décompresser. De ton côté, aucune idée. Tout ce que je sais, c’est que tu es là, bel inconnu.
Après avoir fouillé dans mon agenda en espérant que mes copines arrivent,… je sors mon portable. J’écris présentement pendant qu’une connaissance vient de s’assoir à ta table. Tu as eu la grippe pendant tes vacances… Mais tu es maintenant rétabli. Tout à mon bonheur. Tu as aussi été en Gaspésie, chanceux. Là, au moins, il y avait de la neige!! Un vrai hiver québécois!
Je peux voir que tu as une épaisseur d’environ cinq centimètres de paperasse en avant de toi et tu expliques que tu n’as pas beaucoup lu pendant les deux semaines de congé. Si j’avais été à côté de toi, bel adonis… tu n’aurais pas lu une seconde.
Quand je suis venue m’assoir à la table, tu étais déjà assis. Tu m’as regardée longuement pendant que j’allais porter les détritus qui étaient sur la table à la poubelle. À quelques reprises aussi, nos regards se sont croisés. Si tu savais ce que ça me fait comme effet. Je me sens fondre, doucement.
Présentement, je sens mes joues devenir rouges de gêne. L’envie monte en moi et je trouve que la personne qui est assise à côté de toi est de trop. J’ai envie de te sourire et de venir m’assoir avec toi. Me présenter, t’écouter me dire qui tu es… Tu me fascines. J’ai de la misère à enlever mes yeux de sur toi mais en même temps, la position de la personne à ta table t’amène à regarder vers moi et je ne veux pas que tu trouves que j’insiste trop.
Et s’il se levait ? Et s’il allait faire autre chose ? Et s’il devait aller s’acheter de la nourriture pour te retrouver absent à son retour ? Et si on s’éclipsait ? Et si on allait se trouver un petit local isolé à la bibliothèque pour m’aider à passer à travers cette journée qui ne me fait pas envie… mis à part ta rencontre ?
Tu te lèves, ton compagnon se lève aussi. Il quitte. Tu demeures debout, planté comme un arbre dans toute sa splendeur. Tu te retournes vers moi et me fais un sourire. Ce sourire qui reste imprégné dans ma tête comme si j’en étais tatouée. Je souris, maladroitement. Je dévie des yeux pour ne pas montrer ma gêne d’être si excitée à l’idée que tu me souris. Tu tires la chaise de la table où je suis assise et poses une main sur mon épaule.
« Bonjour, comment vas-tu ? », me dis-tu.
« Ahh... bah… bah… bien. », je réponds.
« Tu… viens faire un tour ? », lances-tu en me faisant un beau sourire.
« Comment dire non,… », dis-je avec un sourire timide.
Et nous voilà parti. Je ne sais où, je ne sais pourquoi, je ne sais pour combien de temps… Mais j’en ai envie. Nous marchons côte-à-côte. Tu te retournes souvent pour me faire des petits sourires en coin. Sans m’avertir, tu me prends par la taille en prenant soin de te placer derrière moi et m’amènes dans un petit couloir entre deux étages d’escaliers. Tu mets ta main dans une de tes poche et en sors une clé. Tu déverrouilles la porte et me fais entrer. J’y découvre un univers que je ne croyais pas voir à l’Université. En réalité, c’est un bureau bien normal ! Un bureau de travail, un ordinateur, une chaise à roulette, une table, une cafetière, un fauteuil, des plantes, des livres, des livres, des livres et des livres. Mais c’est ton bureau… Mmmm !
Tu te présentes, Olivier.
Ohh ! Sexy Olivier. Je viens pour me présenter à mon tour mais tu poses un doigt sur mes lèvres. Étant dos à une grande étagère remplie de livres, tu t’approches de moi et m’entours de tes bras. Tu me dis que tu m’as aperçue dès que je suis arrivée. Je te réponds que tu es très mignon et que je suis surprise que tu m’aies remarqué. Mais tu souris en déposant tes mains sur mes hanches. Une seconde plus tard et je sens ta langue sur mon lobe d’oreille. J’ai des frissons qui me parcourent le cou, les bras, le dos. J’adore cette sensation si douce. Je pousse ma tête vers l’arrière et je te regarde pour tenter de comprendre ce que tu fais.
« Tu sais que tu es mignonne quand tu me regardes comme ça ? »
Ça y est ! J’en peux plus. Ça fait si longtemps qu’on ne m’a pas dit cela… J’ai l’impression que ça fait des années. Je colle mes lèvres aux tiennes dans un élan passionné. Je sens ta langue se coller à la mienne et se perdre dans un tourbillon de sensualité. Tes lèvres se décollent un peu pour que tu puisses mordiller ma lèvre supérieure. C’est exquis. Ta bouche danse avec la mienne doucement sur un air léger d’envie.
Tu prends ma jambe droite et tu la lève. Tu accotes mon mollet sur ton épaule et pousse ton bassin contre le mien. Pour la première fois depuis que nos regards se sont croisés, je sens vraiment ton envie. Plus tu colles ton bassin, plus j’ai envie de te sentir. Je pose mes mains sur tes fesses et je te tire vers moi. Je me surprends moi-même en laissant échapper un léger mais très certain « J’ai vraiment envie de toi, Olivier ».
Tu prends alors ma jambe et la redescends. Tout en continuant de m’embrasser, tu me tires vers toi. Tu retires mon chandail et déboutonnes chaque bouton de ma blouse qui est très transparente. Tu y aperçois mon soutien gorge mauve lilas avec des fleurs bleues marines et roses. Ma blouse ouverte, tu empoigne mes seins de tes deux mains pour fourrer ta face entre eux. Tu les liches, tu les mordilles, tu les tètes à travers de mon soutien. Tu descends ta bouche entre mes deux boules et la fait glisser sur mon ventre. Tu donnes des baisers, tu promènes ta langue délicatement.
Tu mets tes mains sur mes fesses et me lèves de terre. Rare sont ceux qui ont tenté l’exploit et réussis. Ça a l’air tellement naturel chez toi ! Tu me transporte jusqu’au fauteuil et me déposes délicatement. Tu as bien pris soin de mettre mes fesses sur le bord pour que je puisse m’étendre un peu. En retirant tes mains de sur mes fesses, tu remontes ma jupe en même temps. Mes collants te gênent. Tu les agrippes au passage et hop ! Plus de collants. Tu poses ta bouche à mon sexe par-dessus ma culotte et tu la liches. À force de contact, la culotte se tasse et ta langue liche ma chatte. C’est délicieux, délicat, déchaîné, ensorcelé, endiablé, sensuel, sexuel. Je n’en sais trop rien. Mais quel délice. Ta langue va de mes lèvres à mon clitoris. Ta bouche embrasse ma chatte comme, peu de temps auparavant, elle embrassait ma bouche.
Je gémie, je pousse quelques petits cris, je soupire,… Au moment ou tu entres deux doigts dans ma chatte, la chaleur entre en moi. Je te demande d’arrêter pour ne pas exploser à ton visage tout de suite et tu te retires. Je me relève à peine et détache ton jeans. Tu es bien dur. Allant mettre ton pénis dans ma bouche, tu t’éloignes un peu et t’étire et ouvre un tiroir pour y prendre un condom. Tu l’enfiles et t’approches de moi comme si j’étais ton jouet. Tu avais décidé de me faire passer un mauvais moment.
Tu me repousses par en arrière et tu entres rapidement ta queue en moi. Tu fais des va-et-vient qui te laisses pousser quelques soupires. Tu remontes mes jambes et accotes mes genoux à mes épaules. Lorsque je me penche par en avant, je vois très bien ta grosse bite bien dure entrer et sortir de ma petite chatte. C’est serré mais je suis tellement excitée que ça entre tout seul. J’adore vraiment l’image…
Mais j’ai aussi envie de te faire plaisir. Je bouge alors pour que tu sois assis sur le bras du fauteuil. Je me lève une jambe et m’assied dos à toi sur ton pénis. Je me penche un peu en avant et je fais des va-et-vient. Je gémis. Je saute comme une petite grenouille. Plus je saute et plus j’ai envie de te sentir dans mes entrailles. Je me relève et colle mon dos à ton torse, nu, doux, si bien fait. Tu es tout chaud, tu passes tes mains en dessous de mes bras et d’une main flatte un sein et de l’autre mon ventre. Je tourne la tête et colle mes lèvres aux tiennes. Ta langue est douce, soyeuse, veloutée. Je me laisse bercée paisiblement blottie dans tes bras et pénétrée de ta verge. La chaleur entre dans mes reins et je me relève. Tu me laisses faire et tu sais ce que j’ai envie.
Tu te lèves et me suis. Je me tourne face au fauteuil, place un genou sur le coussin où tes petites fesses bien rondes étaient quelques instant au par avant et pause l’autre sur le bras du fauteuil. Tu es debout derrière moi et sens ton pénis se coller à mon orifice. Nul besoin de forcer, je suis déjà bien ouverte à tes mouvements de va et vient. Tu commences tout doucement par initier ton gland à mon cul. Plus tes reins dansent avec mon trou et plus la cadence augmente. C’est hallucinant comme tu bouge. J’ai l’impression d’être dans un tourbillon et je m’y laisse transporter.
Toi, bel inconnu, sexy, doux, délicat, bien musclé, bâti, tu poses tes mains sur mes hanches et entreprend de m’entrer ton pénis entier dans l’anus. Je gémis, je me lamente, je me plains de plaisir. Je sens ton cœur battre dans mon cul à travers ta queue. Plus tu me pénètres et plus ta queue vient dure. Je sens que tu viendras bientôt. Tes soupirs et tes bruits sont excitants. Tu te retires et je me tourne. Je m’assieds sur le fauteuil et te regardes me masturber devant moi ! En même temps, tu enlèves le condom qui étouffe ton membre. Je m’approche la bouche de ton gland et au même instant, tu me gicles au visage. J’ai une coulée de sperme sur la joue qui tombe sur mes seins et recrache ce que j’ai dans la bouche sur ton gland pour mieux le sucer délicatement.
Tu passes ta main sur mes cheveux et pousse ma tête en arrière pour que j’arrête. Tu t’accroupis et te fourres la tête dans ma chatte. Tu as décidé que j’allais venir. Deux de tes doigts terminent ce que ta queue avait commencé plus tôt. Deux autres de tes doigts sont occupés à ma chatte qui est ouverte et qui en demande. Finalement, ta langue et tes lèvres jouent de mon clitoris et ma vulve entière. Tes doigts chatouillent mon point G qui réagit par de grandes secousses de plaisir. J’explose alors et t’enduis le visage de mon jus. C’était génial comme expérience. Toi mignon inconnu, moi… simple jeune femme ! Qui aurait cru que tu m’avais remarqué. J’espère me laisser charmer encore et encore de cette façon.
Tu me donnes un baiser sur le front, me fait un petit sourire et m’essuies le visage avec un linge qui n’était pas bien loin. Toujours agenouillé entre mes cuisses, tu colle ta tête à mon ventre et laissons passer un peu le temps. Après, nous nous rhabillons et je quitte ce bureau pour aller rejoindre mes amies à la cafeteria de l’Université… Ni vu, ni connu.
Finalement, j’ouvre un œil et me rend bien compte que ma petite culotte est bien trempée. Une belle petite histoire que je m’étais imaginée, quand tu avais quitté, pas très longtemps après ton ami… Quelle idée… et pourquoi m’aurais-tu remarqué… malgré ces petits regards mignons… C’était trop beau !