le blog shellydoll

Mon métier m'amène à beaucoup m'absenter de chez moi. Mon épouse et moi aimons à nous retrouver plus qu’à passer de longs moments ensemble, notre vie de couple surprend bien du monde en effet mais nous la menons ainsi depuis toujours. Notre vie sexuelle est donc un éternel re mariage et nous nous en accommodons bien. Certes des disputes et moments moins doux arrivent parfois je dirais durant la deuxième semaine, lorsque chacun de nous ne prête plus attention au fait que nous venons de nous retrouver.
Là il faut admettre qu’elle affirme sa position de maîtresse de maison, de femme libre et très indépendante.
Je ne suis pas d’un tempérament hostile avec les femmes et j’avoue user de mon charme pour retrouver le calme et la douceur. Il faut plus ou moins de temps parfois mais en règle générale je suis tellement câlin que je trouve le moment opportun pour venir me faire pardonner. Je déploie alors énergie et ruses mais cela fonctionne à merveille.
Je vais vous raconter une querelle qui c’est terminé en soirée romantique.
Nous nous étions disputé pour un sujet très souvent inutile une banale histoire de rangement certainement.
La soirée qui s’en suivi fut sans commentaires pas de dialogues chacun restant sur ses positions. Puis le lendemain je décidais de la séduire. Je m’organisai pour lui trouver un RDV chez son esthéticienne prétextant que je la trouvais moins resplendissante. C’était arrangé avec le salon, une après midi de calme, de massages et autre, épilation manucure …
J’en profitais pour faire le tour des restaurants sur Pau, et réserver une table dans une salle, puis une soirée Cheephandel avait lieu non loin de chez nous dans un club où nous allions souvent étant plus jeune.
Elle ne savait rien de cela
Vers 17 h00 j’allais la récupérer en ayant au préalable pris le soin de préparer sur notre lit sa tenue de soirée. Nous flânions un moment en ville puis vers 19 h00 je luis disais : allons nous changer je t’invite au restaurant ce soir. Elle adore. Entrant dans notre chambre elle a été surprise de voir déposés sur le lit ce qu’elle devait porter. Sans dire mot elle a enfilé sa tenue alors que je me préparais dans l’autre coté de la chambre. Tenue un peu moins « de soirée » pour moi mais non pas cool. Elle sait qu’elle ne peut rien me demander au sujet du lieu, de l’organisation de la soirée je reste alors muet et secret. Nous partons au restaurant où nous étions attendus. Chandelles, menu commandé à l’avance type gastronomique. Arrive la fin du repas durant le quel nous rigolons un peu de cette querelle de la journée précédente. Nous sortons vers 22h30, et lui propose de sortir le trajet se déroule bien elle est contre mon épaule, douce quelques bisous des caresses mais pas trop à cause de cette route sinueuse. Nous arrivons au club elle sourie en reconnaissant l’endroit. La musique qui y passe est des années 60 à 80 nous aimons bien plus que la musique actuelle. A l’entrée elle aperçoit une copine à elle et son ami. Nous discutons à l’extérieur quand arrive le moment où je dis : Mesdames je dois vous laisser, les hommes ne sont pas admis ce début de soirée. Elle râle évidement son caractère ressort mais son amie est au courrant. Nous les quittons et je dis à plus tard en lui volant un baiser. Mon amis vient avec moi nous allons dans un bar prendre un pot, discuter puis vers 00h00 revenons le show est fini les stripteaseurs masculins ont regagné leurs loges, les hommes peuvent entrer. Nous retrouvons nos épouses à une table. Discussion animée, critique des ces jeunes femmes qui soit disant hurlaient lorsque ces cheepandels se mettaient à nu devant elles, enfin des femmes excitées…. Mais pas elles bien évidement vous imaginez !!
Nous continuons la soirée, slows langoureux baisers et bien sur mon épouse de me dire que j’étais un cokin. Je la caressai elle était réceptive, mais ne voulait pas se donner en tableau. Nous partons en fin de soirée. Une fois dans la voiture elle me dit doucement. C’était merveilleux très excitant tu es un diable, je démarre reprends la route de notre maison. Je passais par la même route que celle que nous employons autre fois dans la campagne. Je percevais à un moment une caresse étrange sur mon cou. Elle avait enlevé son string j’étais prudent car l’endroit regorge de chevreuils et il faut être attentif de nuit. Je n’ai donc rien vu. Je m’en suis rendu compte lorsqu’elle m’a passé son sous vêtement sur le visage en fait. Elle souriait se caressait et gémissait.
Elle me demande alors de m’arrêter et me dis vite je t’en prie. Je faufilai alors le scénic dans un chemin puis stoppait. Elle m’embrasse alors avec fougue, me disant que je suis un diable que je savais exactement ce que je faisais et qu’elle ne pouvait pas résister. Nous nous enlaçons, puis elle prend le temps de défaire mon pantalon. Sort mon sexe durci par cette ambiance et ses touchers. Sa bouche ne tarde pas à se poser sur mon gland humide et elle laisse alors glisser ses lèvres vers le bas lentement. Je ne peux que passer mes mains dans ses cheveux la position est inconfortable et dire qu’autre fois nous faisions l’amour dans une Mini cooper …. !!! Elle me laisse enfin en paix ouvre sa porte et me demande de la rejoindre. J’obéis et j’arrive à son niveau elle se tourne en me prenant par les épaule et se pose sur le petit capot du scénic, écartant ses jambes longues. Je glisse ma tête entre ses cuisses et la trouve ouverte, offerte épilée de cet après midi donc douce, très douce. Elle saisi ma tête la plaque sur son abricot elle je cambre. J’aimerais la prendre mais elle a une idée en tête.
Je la suce avale son jus précieux et doux. Elle est onctueuse, son bassin roule sous mes coups de langue. Parfois ma langue descend plus bas trouvant et caressant sa rosette. Soudain elle se raidit, pousse un feulement tire mes cheveux elle joui, coule. Je suis excité au plus haut point mais elle me cramponne. Je glisse un doigt entre ses cuisses, lui caresse les lèvres soyeuses, la pénètre elle râle, mais ne lâche pas prise. Je lui caresse la rosette elle se donne en gémissant je ressent ses contractions. Puis elle se détend, me libère. Je voudrais la pénétrer là encore j’ai une érection dure. Mais rien n’y fait elle rentre dans la voiture. Je n’ai pas pour habitude de la forcer alors je suis penaud et me rhabille. Elle s’essuie avec son petit string rigole et me le passe sous le nez.
Vite j’ai sommeil mon amour.
Nous arrivons je ne pense plus à cela un peu sur ma faim tout de même. Nous arrivons je file à la chambre commence à m’endormir elle est à la salle de bain. Je la sens se faufiler dans le lit.
Il est 5h00 du matin environs. Un dimanche. Elle se colle à moi et me dis :
J’ai adoré notre soirée je voulais te le dire, je sent alors sa main froide prendre mon sexe, puis elle bouge et je sens ses lèvres douces prendre possession de mon sexe ramolli. Ses cheveux glissent sur ma peau, caresse douce et existante.
Elle m’amène doucement à l’orgasme et au moment opportun garde ma verge qui se déverse en saccades dans sa bouche. Elle aspire et le bout de sa langue touche mon mea. C’est insupportable, elle masse mes bourses les caresse comme pour en extraire mon sperme. Elle gémi ondule elle aussi. Puis relâche son étreinte. Avale ma liqueur ce qui est rare mais arrive lorsqu’elle est existée. Et vient me lécher le corps en remontant doucement vers mon visage. Je frémis encore quelques convulsions, sa main froide continue à caresser mes bourses elle sait que j’aime beaucoup cela. Elle pose sa bouche sur la mienne et nous nous embrassons langoureusement.
Nous trouvons le sommeil, je sent mon pénis doucement qui décroît dans sa main, elle aime ce contact, le garde elle me tient souvent ainsi.
Une soirée comme j’aime lui préparer et une fin de soirée comme elle aime me faire découvrir.
J’espère que vous pouvez après tant d’années de mariage et de vie commune encore faire succomber votre partenaire, mais surtout qu’elle est aussi espiègle que la mienne. Une femme adorable un caractère dur mais une douceur et des envies imprévisibles si l’on sait la provoquer.
Si tel n’est pas le cas, surprenez là elle vous le rendra au centuple croyez moi.



Dim 28 jan 2007 Aucun commentaire