histoire Érotique-Nasty story

Samedi 16 décembre 6 16 /12 /Déc 02:33
Notre soirée nocturne à 3 couples et + +, qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : » en 4 Séquences.

1ère Partie


Pour comprendre ce que nous avons vécu ce Vendredi 20 Mars, il faut vous dire qu’avec deux couples amis (de 25 à 55 ans) ayant les mêmes besoins (sexuels, fantasmes s’entendent…), aspirations mais parfois sur des orientations toutes aussi excitantes mais parfois différentes, avions prévus de dîner ensemble dans un restaurant anciennement routier, à environ 50-60 kms de Bordeaux en direction de Paris. Bien pratique, ce petit resto servant jusqu’à minuit trente. En fait tous les six, notre objectif était de nous retrouver ce soir là pour nous émoustiller, nous « chauffer » et que l’on parte après chacun de notre côté pour que couple par couple après, nous vivions un fantasme propre à chacun et que nous nous retrouvions 15 jours après chez l’un de nous, pour que nous puissions nous raconter nos aventures. Heureusement que nous avions réservé. Anne-Marie et moi (Bernard) avions rencontrés le patron (José), environ 60 ans, très sympa, pour lui expliquer que nous voulions dîner avec nos compagnes, mais tout en étant corrects, avions envie de nous amuser et que le thème de notre soirée, était le « libertinage gentil ». Il nous dit « Ok », mais pas d’orgie !!! » Et il rajouta, « J’attire votre attention quand même, en vous disant « tout d’abord bien qu’après votre arrivée je fermerai le resto, question de sécurité et pour éviter les problèmes avec la police je ne suis pas maître des réactions de mes clients, néanmoins je les connais pratiquement tous et je mettrai le HOLLA s’il devait y avoir des débordements. De plus sachez que dans mon restaurant il n’y a pas de tables distinctes, parce que les clients s’installent les uns à côté des autres au fur et à mesure qu’ils arrivent, néanmoins on lui avait demandé de nous laisser des places pour que nous soyons à côté les uns des autres ». Entendu nous dit-il ! Et nous avons bien sûr accepté. La petite salle était pratiquement pleine (environ 20 à 25 personnes avec nous).
Il faisait une chaleur exquise, un doux feu avait été allumé au fond de la salle dans la grande cheminée paysanne.
Nos amis Gérard et Eliane ( les plus âgés : 52 et 55 ans) arrivèrent les premiers vers 21h45, et nous attendirent au bar. Eliane ( 1,72 m) cheveux châtains, grande bouche rouge sensuelle avait une robe longue fendue sur le côté jusqu’à la hanche laissant apercevoir le lien rouge de son string, un chemisier vert/rouge bien échancré faisant ressortir sa poitrine avec ses seins généreux et bien sûr sans soutien-gorge
Quelques instants plus tard nous arrivions Bernard (53 ans 1,70) et moi (Anne-Marie 46 ans – 54 kg) dans la même voiture, qu’avec nos amis Christian et Katharina (lui 37 ans 1,96 m et elle 34 ans 1,65 m).
Ce sont nos meilleurs amis depuis plusieurs années avec qui nous partageons beaucoup de choses.
Moi Anne-Marie, toujours avec la même tenue qui émoustille toujours Bernard et les hommes en général : sans culotte jupe très mini noire avec un haut couleur verte fluo dont le bas était à mi-galbe de mes jolis seins tendus très échancré au-dessus ; quant à Katherina toujours hyper aguichante, elle aussi mini jupe très courte en coton noir (malgré la saison) assez serrée à la taille et fendue des côtés gauche et droit, recouverte d’un chemisier en soie blanche décolleté assez transparent, style « empire », très arrondi dont le liseré supérieur passait légèrement au-dessus de ses tétons laissant apercevoir une grande partie de l’aréole, donc bien sûr, elle aussi, sans « jule » mais avec un long châle jeté en biais sur sa poitrine.

Nous rejoignimes Gérard et Eliane qui nous attendaient un verre de champagne à la main. Nous fîmes de même et nous installâmes sur des tabourets de bar, haut sur pattes tournés vers la sale. Je ne vous dis pas le brouhaha et les regards / dévoreurs portés sur nous, qui ne se trouvaient à pas plus de 3 – 4 mètres de nous. Nous les filles étant assises assez haut, nos cuisses étaient à la hauteur des yeux des « mâles » qui étaient assis en face de nous. Je commençais comme Katherina, à être en feu. Je m’étais rapproché du bord du tabouret, et sans regarder la salle, j’entrouvrais légèrement mes cuisses pour faire apparaître quelques secondes ma toison et les refermais en croisant mes deux jambes l’une sur l’autre. Tout cela m’excitait d’autant plus que mon ami Gérard me caresser doucement les fesses par derrière… Katherina pendant ce temps là avait enlevé le châle qui recouvrait son buste, et mon diable de mari passait ses mains sur les flancs, sous le chemisier en palpant les seins de mon amie, qui elle aussi entrouvrait ses cuisses. La sale était en ébullition.. Nous finissions nos coupes de « champ » quand le patron nous demanda de nous installer et de prendre place à la table unique…. Et là qu’elle ne fut pas notre surprise… La table était pratiquement occupée par des hommes entre 30 et 60 ans, certains étaient réellement pas mal. Tous nous dévoraient des yeux. En fait nos six places n’étaient pas regroupées ; nos trois hommes se trouvaient d’un côté de la table, mais pas côte à côte et nous pratiquement en face d’eux, mais à chaque fois avec un ou deux routiers intercalés entre chacune de nous. Bernard, Gérard et Christian souriaient et paraissaient amusés de la situation de notre embarras.

Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ? Socratos007 ( Anne-Marie et Bernard


Suite 2ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »

Dès qu’ Eliane fut assise l’homme à sa gauche aux épaules de déménageurs, n’arrêtait pas de plonger son regard dans son décolleté profond et très ouvert, pendant que sa main commençait déjà à passer par la fente de sa jupe longue fendue et lui caresser sa cuisse droite et son bas ventre. Au sourire de Gérard qui était en face, elle comprit que cela l’excitait, et elle se mit à ouvrir ses cuisses largement. Le beau brun qui était à sa droite profita de l’aubaine pour y insérer sa main et glisser ses doigts sous son string… Je voyais Eliane qui commençait légèrement à osciller ses fesses.
Pendant qu’Eliane était très occupée… Christian s’est levé pour aller à la table du buffet où se trouvaient les nombreuses entrées. Je (Anne-Marie) le suivait accompagné de Katherina.
Quelques secondes après, plusieurs hommes se levèrent, prirent des assiettes et se mirent soit à côté de nous deux ou se mirent de l’autre côté de la table, en face de nous. Au bout d’un moment Katherina fit le tour. Nous étions ainsi toutes les trois réparties à peu près à égale distance les une des autres. Rapidement les espaces furent comblés par la gente masculine.
Tout d’un coup je sentis qu’une main effleurait mes fesses sur ma jupe. Me retournant je vis le joli sourire de Christian. Tout en continuant sa caresse il m’embrassa furtivement dans le cou. Sa main continua et passa sous ma jupe, elle était directement sur ma croupe. Puis je sentis sa deuxième main qui avec une extrême douceur glissa sur ma chatte qui déjà mouillait abondamment, ses doigts glissaient et tournoyaient légèrement sur mon clitoris. J’étais très excitée et fléchi légèrement sur mes jambes pour qu’il appuie plus encore son attouchement délicieux. Pour faciliter cet attouchement, je me penchais réellement en avant pour choisir en face de moi une tranche de jambon, mais surtout pour faire regarder mes seins qui sortaient pratiquement de mon chemisier vert fluo à l’homme qui était en face de moi (je suis très exhibitionniste, et j’adore m’exposer subjectivement devant des hommes…). Quand je relevais les yeux pour voir l’homme qui devait se rincer l’œil, j’ai eu un choc, mais au demeurant extra. Celui qui en fait était en face de moi, c’était Christian !!! J’étais persuadé que c’était lui qui me fouillait ma chatte humide, mais alors qui était-ce ? Je me retournais et j’ai vu que c’était deux routiers qui m’entreprenaient. J’étais tellement dans les nuages
et l’excitation forte que je les ai laissé continuer. Le deuxième routier ouvrit mon corsage et se mit à peloter mes seins tendus qu’il embrassait avec fougue. Il déposa mon assiette de jambon et tous deux m’amenèrent à l’arrière de la salle sur une banquette.

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Suite 3ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »
Je « cria » et appela Bernard qui vint nous rejoindre et participa un peu à la joute, mais surtout tint à affirmer qu’il était hors de question d’avoir un rapport sexuel, une pénétration. En dehors de cela la liberté était grande si elle était voulue, désirée par les trois femmes. De toute façon il fallait qu’au plus tard nous soyons partis avec l’accord du patron, à une heure du matin. Celui (Jean) qui m’excitait sur mon clitoris me demanda s’il pouvait me sucer et si la réciprocité était possible. Je leur répondit bien sûr qu’oui s’ils se lavaient avant et si au moment de la fellation cela me disait… Allongée complètement nue sur le dos sur la banquette, cuisses écartées, Jean enleva son jeans et je vis son sexe gonflé sous son boxer. Je lui pris la main pour le rapprocher de moi et lui caressa son sexe en mettant une main dessous pour le masturber un peut et sur son caleçon. Son deuxième copain Eloïd (camerounais de 41 ans) qui me caressait les seins au début, pris la place de Jean, mis sa main sur mon ventre et plaqua sa bouche charnelle sur mon clitoris et mes lèvres. Jamais je n’avais été sucée de cette façon là. Avec la langue sublime il allait de mon clitoris aux lèvres de ma chatte et quand il revenait sur mon clito il introduisait son index pour masturber mon point « G ». Il me fit jouir en me suçant pendant que Jean éjaculait sur mes seins sous le regard amoureux et sensuel de Bernard.
Ce fut vraiment l’extase. Après avoir enlevé le sperme de ma poitrine, toujours nue, je me blottis dans les bras de mon mari qui me caressait avec beaucoup d’amour et de douceur. Après quelques instants, je me rhabillais et allions remplir notre assiette pour nous restaurer. J’avais une fin de loup. Nous sommes revenus nous installer à la grande table commune, face à la table de hors d’œuvres où le « spectacle » continuait…
Pendant que je mangeais à côté de Jean, Eric un gars qui fait la liaison entre Bordeaux et
Vérone en Italie, frottait sa cuisse contre la mienne. Il prit ma main pour que je la pose sur son pantalon.
Il avait défait son pantalon, l’avait baissé. Il voulait que je le masturbe. C’était un beau barbus, j’étais épuisée, mais trouvant néanmoins très agréable la caresse que je lui faisais sur sa verge tendue et son gland rougeâtre et m’ouate ; je lui glissais à l’oreille que j’aimais bien le peloter mais que je n’irais pas plus loin. Il s’en contenta joyeusement en me caressant doucement les seins sous mon chemisier. Ces attouchements très doux continuaient et finissaient très agréablement l’envolée que j’ai faite tout à l’heure avec « mes 3 Hommes ».
Maintenant on regardait ce qui se passait devant nous. Pendant mes ébats, je n’ai pas vu comment les choses se sont terminées avec Eliane (mais ce qu’elle a fait est super je vous le raconterais peut-être une prochaine fois).

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Suite 4ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »

José, le patron du resto/bar (réellement super cet homme là !) avait poussé la table à hors d’œuvre sur roulettes, et avait improvisé un espace de danse, et tout autour avait disposé des chaises pour délimiter et qui avaient été très vite occupées par une dizaine de gars de la salle. José avait mis une série de slows très langoureux et sensuels des années 60 (Alain Barrière, Adamo …) Katherina dansait et collait contre le torse poilu de José qui lui caressait les cuisses fermes et rebondies sous sa jupe noire. Gérard était plaqué contre elle par derrière, uniquement en caleçon.
Après deux trois tours de piste, Gérard laissa sa place et vint s’asseoir à côté de nous.
José toujours lové contre elle, dansant son slow, puis s’arrêtant devant la première chaise occupée, poussa légèrement Katherina qui s’assit sur les genoux de l’homme pendant 1-2 mn.
Celui-ci lui enleva sa jupe noire lui caressa les cuisses et les seins. Elle se releva toujours lovée contre José, sans jupe maintenant, uniquement avec son chemisier en soie blanche très transparent.

José refit le même scénario encore pendant 6 chaises. A cette chaise, le mec était nu faisant ressortir son « pieux », les bras levés en arrière. Katherina ne dis rien, se mis à genoux, et commença à lui faire une fellation torride et il jouit dans les deux mains de la belle danseuse.
Je vous rappelle que nous étions pour les plus éloignés au maximum à 3 m du spectacle.
Toujours à côté de Bernard que je branlais activement, l’envie m’étant revenue, aidée par tout ce spectacle, j’écartais grandes mes cuisses offrant mon sexe et ma toison épaisse à la bouche d’Eric, qui s’était mis sous la table et me suçait ma chatte et mon clito avec frénésie.
Que c’était bon!!! Voyant que Bernard allait y arriver, je pris la chevelure d’ Eric et appliqua de toutes mes forces sa tête sur mon sexe pour réellement sentir sa langue sur mon clito et ma vulve. D’autres mecs s’étaient rapprochés de nous, nous voyant en extase. Mes bras étaient levés en arrière et « des » mains se sont mises à me caresser partout, les seins, les flancs, le dos, les cuisses. Un de mes partenaires m’embrassa alors sur la bouche de façon très sensuelle, et tout en re sentant sa langue sur la mienne Eric me fit jouir et hurla de plaisir.

Je reviens à Katherina qui avait pratiquement achevé son petit tour. José l’avait déposée nue, allongée sur les trois dernières chaises occupées. Les trois types la caressaient , elle était très détendue, bras et jambes écartées. Le spectacle était super elle se faisait caresser, sucer par ces 3 hommes, pendant que José se faisait faire une fellation par elle. Katherina aimait ce genre de situation et de plus était très endurante.

José jouit dans la bouche et éjacula tout son sperme brûlant dans la gorge de Katherina, qui en même temps lui caressait les testicules énormes re sentant chacune des glandes des couilles de José.
On s’est tous rhabillés et après avoir soufflé un instant, nous embrassions nos hommes d’un instant et repartirent. Ils étaient 01h30.
Cette Soirée fut inoubliable. On est tous d’accord pour y revenir !! A nous maintenant comme prévu, de réaliser un fantasme par couple, et de nous retrouver dans quinze jours ou un mois pour tout nous raconter de nos « exploits ». Mais déjà, cette soirée très réussie, m’inspirait sur la suite de nos évènements.
A très bientôt.
Rappel : …Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ?
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Samedi 16 décembre 6 16 /12 /Déc 02:31
je ne savais pas s'ils s'étaient concertés ou non, comme je le leur avais suggéré, mais en tout cas, ils respectaient mon besoin de réassurance; ils me guidaient tous les deux vers un plaisir sans limite, à la mesure de tous mes fantasmes.
Je sentais la chaleur de sa langue à elle, sur l'intérieur de mes cuisses, ses mains à lui me caressaient doucement les seins, les reins, et il embrassait doucement ma nuque, me lançant des décharges électriques tout le long du dos, je commençais à onduler mon bassin, lascivement, suivant le mouvement de leurs baisers…
Elle se mit à déposer des baisers délicats, lentement déposés de mes chevilles et remontant toute ma jambe droite, sa main et ses ongles venant frôler toute la gauche au fur et mesure…
Il me tenait les mains pour m'empêcher de stopper cette évasion sensuelle, entravait mes sursauts de plaisir, prenait encore et encore ma bouche et ma nuque…
Les baisers de mon amante se faisaient plus appuyés, plus rapides, plus précis encore, je palpitais, ma moiteur odorante se faisait sentir, se mêlant aux effluves viriles de mon homme, à la fragance délicate de notre chérie, étourdissant mes esprits.
Le bas de mon ventre était bouillant, me lançait des ondes de désir, ondulant, vibrant, je me sentais fondre sous leurs caresses et leurs baisers, mon désir montant en puissance, fort, intense; je devenais avide de plaisir, mouillée d'envies…
Il vint se placer derrière moi, je sentais sa queue gonflée à bloc tout contre le bas de mes reins, ses mains glissaient le long de mes bras, pour venir prendre mes poignets et les placer tout contre ses fesses; elle nous regardait, me léchant les cuisses, me caressant maintenant le ventre, ce qui me mettait mal à l'aise mais qui était si bon, tant je sentais leurs désirs, il se pencha doucement et me murmura des mots doux à l'oreille, je me sentais aimée, si fort, il m'embrassait maintenant la base du cou, léchait tout en grognant comme un tigre… ses mains se dirigèrent vers ma chatte, trempée, dont il vérifia l'humidité, et puis lentement, il vint placer ses doigts tout contre mon anus, caressant en douceur, d'une lenteur affolante pour les sens, je me sentais m'ouvrir comme une fleur, mon corps le réclamait…
Elle me fit un clin d'œil et son joli sourire me fit savoir que c'était le moment, il passa ses bras sous les miens, me souleva et je m'enfonçais sur lui, en gémissant de bonheur et de douleur, pleine et encore mouillée davantage… Il a pris mes genoux et les ouvrit pour elle… Elle se pencha et souleva mon bassin, je me sentais totalement soumise à leurs envies, totalement dépravée et heureuse de sentir leurs chaleurs…
Elle commença par me lécher tout doucement, mais je gémissais plus fort, plus vite, et elle accéléra la cadence, venant frotter son nez contre mon petit bouton, ses doigts se frayaient un chemin à travers ma mouille abondante,
Il me faisait jouir en bougeant doucement, je sentais ses doigts à elle me pistonner le con, sa queue me sodomisait en douceur et je sentais mon plaisir venir, ma chatte trempée dégoulinait de plaisir…
Elle vint m'embrasser, mon goût sur ses lèvres, sur sa langue, donnant un peu de ma saveur à mon homme au passage…
J'en voulais plus encore, il écarta davantage mes genoux et les ramena vers nous, elle se penchait déjà pour explorer ma chatte rouge de désir…
Elle me mis tout d'abord les deux doigts qui y avaient déjà pris leurs aises, et puis 3 et elle tournait ses doigts dedans, suçant mon bouton, léchant mes lèvres, et puis tous les doigts sauf le pouce, qui venait frotter mon clitoris, elle venait et partait et venait et partait, oh je me sentais folle, je voulais qu'elle plonge toute sa main en moi, qu'ils me prennent toute entière,…
Elle appuya un peu plus, cracha sur ma chatte et lui me disait des mots crus à l'oreille, "ma petite chérie, mon petit cœur, écartes tes jambes, tu aimes ça, hein, oh je sais que tu aimes ça, tu es ma petite pute, tu aimes qu'on te pistonne ne con, mon petit cœur, hein, tu aimes que je te prenne le trou du cul, tu es remplie de moi, tu le sais, que je te prends comme je veux, ma petite pute, ne t'arrêtes pas de gémir, hurles si tu veux, je veux te voir jouir, j'aime ça quand tu jouis sur moi"
Ah, je criais, j'hurlais mon plaisir, je sentais ces orgasmes qui arrivaient les uns après les autres, et tout d'un coup, elle poussa sa main au fond de ma chatte, pleine, salivante de mouille, et là, je me sentais empalée, éclatée, pantelante, il me pistonnait fort maintenant, et je sentais mon anus se serrer plus fort, il râlait, j'adore ça quand je l'entends râler son plaisir, elle disait d'un air excité "oh ma chérie, ta chatte est mouillée, tu es douce ma chérie, oh je sens ma main comme elle te donne du plaisir, hein ma petite chatte chérie, tu es une vraie cochonne, ma chérie, tu en veux hein, attends je vais te ramener la chatte comme jamais, tu vas aimer ça ma salope"
Moi je ne répondais plus, j'étais envahie par des ondes de plaisir, je devenais fontaine, éclaboussait la bouche de ma douce qui me prenait avec sa main, mon homme sentait mes contractions et je sentais qu'il allait venir sous peu, électrisée par mes jouissances, je jouissais plusieurs fois d'affilée, battant tous les records passés avec mon homme…
Il me tringlait plus fort et elle sentait aussi sa bite dure, énorme, bien calée dans mon petit trou, elle la caressait maintenant à travers moi avec sa main, cela déclencha un orgasme si intense que mon homme éjacula, sous la pression de mes contractions, la main de ma douce expulsée avec un jet puissant de ma cyprine…
Haletant, les jambes coupées par le plaisir, je roulais des pelles à mon homme et doigtais à mon tour ma douce, qui léchait les sucs intimes enrobant le sexe de mon homme…
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Jeudi 14 décembre 4 14 /12 /Déc 16:48
 En sortant de chez elle, sa première impression, avec ses fesses et son ventre que rien  ne tenait, fut que tout le monde voyait sa nudité...l'air frais circulait librement sur son sexe au rythme de ses pas et ses lèvres se frottaient l'une à l'autre...la gêne devint vite excitation. Elle mouillait. Devant une vitrine, elle s'arrêta un instant pour observer son reflet, jeune femme brune de vingt-quatre ans de taille moyenne et murmura pour elle-même :  Elle a pas de culotte !...Des hommes, des femmes, la croisaient sans lui prêter attention...
S'ils savaient !  son trésor caché sous le voile fragile de sa jupe s'humidifia encore plus.
 
Flore vivait dans une petite commune rurale reliée aux autres par un bus confortable, dans lequel elle monta. Là, l'air n'était plus frais mais chaud comme le souffle d'un amant entre ses cuisses....et les vibrations du moteur provoquaient encore plus son intimité. Le paysage circulait sous ses yeux, la petite route, les voitures, les agglomérations... Et je n'ai pas de culotte se répétait elle, commençant instinctivement à serrer et frotter ses cuisses l'une contre l'autre...les sensations, de troublantes, devenaient délicieuses.
 
Deux rangs devant, un homme parlait dans son portable, d'une voix chaude et sensuelle. Il n'y avait personne sur la banquette a coté et les hauts dossiers isolaient chaque rangée, on ne pouvait la voir...Puisqu'elle y était, autant se laisser aller complètement!...Elle écarta les jambes et glissa la main dans sa jupe. Ses doigts rencontrèrent une bouche ouverte sur un marécage tiède. Peu importe ce que disait l'homme, elle se concentrait sur les intonations de sa voix  en imaginant que c'était lui qui caressait ses lèvres, s'y humectait bien pour remonter vers le capuchon du clitoris qui s'ouvrait. Et le garçon se mettait à genoux devant elle, il glissait sa tête entrer ses cuisses et la pointe de sa langue, après avoir parcouru sa fente de bas en haut, arrivait sur la languette maintenant érigée...Et ses lèvres se mettait alors à la téter...
 
L'index et le majeur réunis tournèrent autour de son bouton et le plaisir l'envahit. Faisant un effort pour ne pas gémir, elle ouvrit grande la bouche afin de respirer fortement sans bruit...l'homme parlait toujours.
 
N'y tenant plus, elle retroussa sa jupe, exposant son sexe ouvert. Ses doigts furent littéralement aspirés par son vagin inondé tandis que son pouce s'occupait de son bourgeon gonflé. Dans l'imaginaire de Flore c'était la langue de l'homme qui l'honorait, les doigts de l'homme qui la visitait...elle remua sur son siége, donna de grands coups de bassin et laissa échapper quelques râles.
 
Puis elle perçut un mouvement sur sa droite.
 
Elle avait fermé les yeux, toute à son extase, mais réalisa soudain qu'elle n'était plus seule. Un jeune homme, un peu plus âgé qu'elle, se trouvait maintenant sur un fauteuil de l'autre coté de l'allée centrale...plutôt beau, brun, assez grand...il avait tout vu et la regardait encore en caressant son sexe dressé hors de sa braguette ouverte...un membre de belle taille !
 
Leurs regards se croisèrent. Elle sentit le feu lui venir aux joues tandis que le jeune homme rougissait tout autant...
 
« Quelle honte...quelle folie »
 
Ils restaient tétanisés, le garçon la main sur sa tige et elle ses doigts entre les cuisses...Que faire ? Baisser brusquement sa jupe pendant que lui rentrerai son sexe, et continuer le voyage comme si rien ne s'était passé, essayer d'oublier l'humiliation en regardant par la fenêtre et surtout pas de l'autre coté...En espérant qu'il descendrait très vite...Garder ce souvenir comme le plus inavouable et honteux de sa vie...Ou alors ?...
 
« Quelle folie oui...quel plaisir ! »
 
Ou alors...Aller jusqu'au bout de la folie ? Et si c'était l'occasion unique de vivre une expérience fulgurante ?...
 
Elle devait prendre une décision tout de suite...
 
Vivement elle se leva, traversa l'allée centrale jusqu'à l'homme. Lui tournant le dos elle souleva sa jupe, exposa ses fesses et s'assit sur la colonne dressée. Son ouverture humide goba en un instant le membre. Elle descendit jusqu'à la base, puis prenant appuis sur ses pieds, remonta. L'homme sous elle donna un coup de bassin et elle le sentit buter au fond de son ventre. Il se retira presque et elle se laissa retomber en gémissant.
 
Elle saisi la main de l'homme et la posa sur son clitoris, lui imprimant les caresses qu'elle désirait. Elle le chevauchait maintenant de façon plus violente, goûtant à chaque allée et venue de son fourreau huilé le long de l'axe qui la remplissait.
 
La main gauche du garçon s'était glissée sous son T-shirt, dans son soutien gorge, malaxant ses seins, en faisant rouler les pointes entre ses doigts. Sa bouche parcourait son cou, venait lui murmurer des mots délicieusement crus à l'oreille.
 
Ho oui, oui, j'aime comme tu me prend...J'aime te sentir taper au fond de mon ventre...Je suis bien salope, hein, ça te plait ? Sens !  Je vais bouger plus fort sur toi!
 
 
Maintenant elle ne pouvait plus retenir ses gémissements et il lui parvenait le brut caractéristique d'un bâton remuant dans un récipient rempli de liquide, ainsi que les grincements réguliers du fauteuil. Bien qu'ils ne pussent les voir, les autres voyageurs devaient parfaitement comprendre ce qu'il se passait derrière eux.
 
Je me fais baiser par un inconnu à l'arrière d'un bus, je sens sa queue en moi et tout le monde le sait !
 
 
Cette pensée déclencha soudain l'explosion d'une boule de feu dans son ventre...elle du mordre le dossier du siége de devant pour ne pas hurler, l'homme soupira très fort et de fulgurants jets la traversèrent...
 
Le bus s'arrêtait à un arrêt...Terminus pour Flore...se déboîtant de son partenaire elle descendit en courant, sans se retourner...ses cuisses étaient poisseuses et le véhicule fut embaumé d'un parfum musqué à son passage...
 
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Jeudi 7 décembre 4 07 /12 /Déc 21:17
Confortablement installée sur son canapé, Laure regardait le journal de 20 heures. Déjà une heure qu'elle l'attendait. Il lui avait passé un coup de fil avant 19h lui annonçant son retard, mais tout de même. Il battait tous les records cette fois-ci. Pour une fois qu'ils avaient une soirée à eux seuls... Pour l'occasion, elle avait préparé un souper fin, et s'était faite une beauté. Sobre, mais très sexy dans son tailleur sombre. Des dessous de dentelle noire parait sa peau blanche, et des bas fumés gainaient ses longues jambes. Elle se sentait séductrice jusqu'au bout des ongles... Et il n'était pas là ! Tandis qu'elle était abimée dans ses pensées, le journaliste égrainait la longue liste des mauvaises nouvelles du jour : chômage, inflation, attentats... Et le dossier du jour, l'insécurité ! Rien de bien réjouissant, mais au moins cela faisait-il une présence. Elle décida de se servir un verre, histoire de calmer l'angoisse qui commençait à la ronger. Elle n'y pouvait rien, c'était dans son tempérament de trembler dès que quelque chose sortait de l'ordinaire.

Debout devant le bar, elle venait de reposer la bouteille de scotch lorsqu'une main se plaqua sur ses yeux tandis qu'un bras musclé la ceinturait.

- Chuttttttttt... Tu es seule et bien aguichante ! dit une voix étouffée
- Lâchez-moi tout de suite ou j'appelle mon mari !

- Ton mari ? Laisse moi rire... Il n'est pas là ton mari ! Ca fait une heure que j'observe la maison, et tu es seule...
Puis, passant une main dans le décolleté, il rajouta

- Laisser une femme comme toi toute seule, c'est criminel... Je sais bien ce que je te ferais moi...
- Je vous en supplie, laissez-moi ! Implora-t-elle en essayant de se libérer de la main qui masquait sa vue.

Prestement, l'homme sortit un foulard de sa poche, et lui banda les yeux. Il avait désormais ses deux mains de libres pour la maintenir et effleurer son corps.

- Regardez-moi ça... Si c'est pas malheureux... Tiens-toi droite que je t'observe mieux que ça ! Ecarte les jambes !
- Mon dieu... Qu'allez-vous faire de moi ? Je vous en prie, ne me faites pas de mal... dit-elle en pleurant.
- Ne crains rien. Je ne te veux que du bien... Mais il faut m'obéir ! ECARTE, et plus vite que ça !

Au même moment, quelque chose cingla sa croupe, et Laure obtempéra, tremblante et apeurée. Elle le sentait proche d'elle, qui l'observait. Une main vint se poser sur un sein, en pincant le téton. Malgré elle, elle sentit un frisson parcourir son dos. Elle avait toujours été sensible à ce genre d'attouchements.

L'homme se régalait du spectacle que lui offrait cette superbe femme, ainsi offerte dans son salon. Mais il manquait quelque chose... Il la voulait plus chienne... S'approchant, il empoigna la veste du tailleur, et d'un coup sec, arracha les boutons, tandis que Laure poussait un cri.

- Tais-toi ou je me verrai dans l'obligation de te baîlloner jolie madame... Hummmm mais ça t'excite ! rajouta-t-il en voyant les tétons érigés sous la dentelle noire. Je vois mal comme ça, c'est ennuyeux...

Sortant un couteau de sa poche, il en déplia la lame, et la fit courir sur la peau blanche. Laure était tétanisée par la peur et l'angoisse. Remontant lentement, la lame froide glissa entre les deux seins, et là, d'un mouvement sec, sectionna la pièce de lingerie. Comme elle était belle ainsi, scandaleusement impudique, les seins à l'air... Il se régalait vraiment...
- Voilà qui est mieux... Ne tremble pas... Alors comme ça, il parait madame a des fantasmes de viol ? Hé bien c'est peut être le moment de les réaliser non ? Qu'en penses-tu ?
Laure était ahurie... Qui était cet homme ? Comment savait-il cela ? Elle n'en avait parlé qu'a son mari... et encore, ça lui avait été difficile à avouer. Cependant, elle ne pouvait nier qu'a ce moment précis, son ventre brûlait d'un feu nouveau. Elle était exhibée de manière honteuse devant un inconnu qui la mollestait, et ça l'excitait prodieusement... Quelle honte !
Comme s'il avait deviné ses pensées, l'homme s'approcha, très près. Elle senti son souffle sur sa joue. Une main se posa sur sa cuisse, et remonta sous la jupe, jusqu'à la lisière du bas, puis sous la fine étoffe du string. Un doigt fureteur s'infiltra entre ses lèvres déjà bien moites...
- Hummmm mais c'est que tu mouilles, jolie salope... Ca t'excite hein, petite bourgeoise ! Tu sais que tu vas te faire baiser comme une chienne... Tu vas être a moi comme tu ne l'as jamais imaginé, même dans tes rêves.

Elle senti de nouveau le froid de la lame sur la cuisse et ne pu réprimer un mouvement de recul. Lentement, l'homme entreprît de couper la ceinture de la jupe qui tomba sur la moquette rejointe aussitôt par le string, lui aussi sacrifié.

-Voilà...Tu es parfaite...

Laure sanglotait maintenant. Non pas de peur, mais de honte. Honte d'être dans cette situation, honte surtout d'en ressentir autant d'excitation. Que dirait son mari s'il la voyait ainsi ? Rien que cette idée lui faisait monter le rouge aux joues et redoublait ses larmes.

Elle ne portait plus que ses chaussures, ses bas, et son porte-jarretelles. L'homme lui attacha les poignets dans le dos avec une cordelette.

- Maintenant, nous allons nous installer ailleurs... Tu vas être bien obéissante, et tout se passera pour le mieux... Ok ?

Ramassant ce qui avait été un string, il en huma le tissus humide.

- Hummmm... Ca sent la femelle en chaleur... Sens ! dit-il en lui pressant l'étoffe sur le nez.

Laure protesta, mais aussitôt l'homme lui enfouit le vêtement dans la bouche.

- Je t'avais prévenue... Soit tu te tais, soit je te baillonne... Tu en a de la chance remarque... Tu peux ainsi déguster ton nectar.

De nouveau les doigts vicieux repartaient en exploration de son intimité. Elle ne pouvait plus cacher son émoi, sa vulve était un lac de lave incandescente.

- Aller!Assez
L'empoignant par le bras, il la conduisit au sous-sol. Ils y avaient aménagé une pièce l'année dernière. Elle servait lorsqu'ils reçevaient des amis. Confortablement meublée, elle possédait son bar, de gros fauteuils de cuir ainsi qu'un large lit et un cabinet de toilette indépendant. Un homme était installé dans l'un des fauteuils, sirotant un verre.

- Et bien, je vois qu'on ne s'ennuie pas en mon absence ! dit-il d'un ton cassant

Laure sursauta, son visage s'empourpra et elle sentit ses jambes se dérober sous elle. Oh non ! Pourquoi fallait-il que son mari la voie dans une telle déchéance ? Il l'a rattrapa de justesse et l'aida à s'installer sur un siège.

- Ecarte tes jambes Laure... Au point où tu en es, tu n'as de toute façon plus grand chose à cacher il me semble ! Voilà... c'est beaucoup mieux... Tu te souviens de l'autre jour, quand tu m'as parlé de tes fantasmes... Et bien nous y voilà ! Tu es là complètement livrée à moi (et peut être aussi à monsieur, si tel est mon bon plaisir...). Impuissante.. et je vais abuser de toi autant qu'il est possible de le faire... Tu vas être ma chose, ma pute, ma chienne durant toute la nuit. Qu'en penses-tu ?

-- Tu pourrais articuler ma chérie ! dit-il en riant.
Sortant une corde d'un placard, il lia les chevilles aux pieds du fauteuil, solidement.

- Hummmmmm superbe ! Tu sais qu'à te voir c'est un appel au crime ? Ces seins... et je ne parle même pas de cette chatte ruisselante !
Une fois la honte passée, Laure avait vu s'accroitre son excitation. Décidément, il ne cesserait de la surprendre par son esprit fou. Puisqu'il lui offrait de réaliser son fantasme, elle allait jouer le jeu. Elle ne savait pas quel rôle jouerait l'inconnu, mais elle savait qu'elle ne risquait rien, son homme ne laisserait rien de fâcheux lui arriver. Elle entendit un bruit de fermeture éclair, et sentit la douce chaleur d'un sexe bien dur contre sa joue.

Doucement, il dégagea la bouche de son épouse de son baîllon, et s'y enfonça voluptueusement jusqu'à la garde. Elle hocqueta, mais l'engloutit avec une facilité assez déconcertante.
- J'adore tes lèvres ma belle salope. Mais je ne vais pas me contenter de me faire sucer... Je vais baiser ta bouche, comme si c'était ta chatte ! Hummmmmmmmmm... Comme ça ! Ouiiiiiiiiiiii... Encore... Tu aimes ça la bite, hein... Tu vas être servie, la nuit va être chaude...
Il s'activa dans sa gorge pendant un long moment, lui laissant tout juste le temps de respirer, puis se libéra de sa semence en elle, bloquant sa tête contre ses poils à l'en étouffer. Elle n'avait d'autre choix que d'avaler la crème épaise qui lui tapissait le gosier. Non qu'elle ne l'aie jamais fait avant, mais seulement de son propre chef. Par contre ce soir, elle ne maîtrisait plus rien, elle était le jouet lubrique de son homme, et ne savait pas du tout ce qu'il lui réservait. Elle était seulement sûr d'une chose, elle accéderait à toutes ses exigences.
Avec gourmandise, Laura passa la pointe de sa langue à la commissure de ses lèvres, y récupérant au passage une goutte de sperme égarée. Toujours aveuglée par son bandeau, elle sentait cependant le regard de son homme la détailler. Et elle n'osait imaginer ce qu'était en train de faire l'inconnu qui était toujours là. Quel rôle lui réservait son époux, elle ne le savait pas du tout. La peur l'avait quittée pour laisser place à une excitation hors du commun. Le plaisir qu'elle avait ressenti à cette fellation forçée était sans commune mesure avec celui qu'elle connaissait déjà.
Elle entendit son mari parler à voix basse à l'inconnu. Que se disaient-ils ? L'incertitude dans laquelle elle se trouvait la troublait infiniment. Son mari allait-il la jeter en pâture à cet homme ? A moins qu'ils ne décident conjointement de se partager son corps... Tout ceci l'inquiétait, mais l'excitait aussi formidablement. Elle se souvenait des confidences qu'elle avait fait, un soir, à son homme. Peut-être en avait-elle trop dit, car après tout, il y a un fossé entre un fantasme et sa réalisation. Serait-elle capable de supporter tout ce qu'elle avait imaginer ? Elle n'en était pas sûre...
Une main fraîche se posa sur sa poitrine, caressant la peau douce, pinçant un téton au passage. Etait-ce celle de son mari, celle de l'inconnu ? Elle décida de ne plus se poser de question, puisque de toute façon, il serait là pour la protéger d'un éventuel dérapage. Elle s'abandonna à ce qu'elle ressentait avec bonheur.
- Maintenant ma chérie, nous allons faire un tour... J'ai d'autres projets pour la soirée lui dit son mari en détachant ses chevilles.Il l'aida à se mettre debout, mais ne défit pas le bandeau qui l'aveuglait. Elle ne devait pas savoir où il l'emmenait. Il posa un manteau sur les épaules de Laure, toute déboussolée.
- Je t'en prie, je ne peux pas sortir dans cette tenue ! Je dois m'habiller...
- Et pour quoi faire ? Dit-il en riant. Tu as ton manteau, cela suffit amplement, surtout pour aller où nous allons. Ne fais pas l'enfant s'il te plait, et obéis. Tu n'auras pas à le regretter, je te le promets. Notre ami va t'installer dans la voiture, je vous rejoints dans deux minutes, juste un coup de fils à passer et je suis à toi ma chérie...
Maladroitement, titubant sur ses talons hauts, elle suivi tant bien que mal l'inconnu. Alors qu'elle s'attendait à s'installer sur la banquette confortable du véhicule, l'homme la souleva pour a déposer dans le coffre. - Vous allez me promettre d'être bien sage... Je ne voudrais pas être obligé de vous baîllonner !  Ce serait un gâchis de cacher une bouche pareille d'ailleurs... Alors chutttttt... Voilà...
 
Il en profita pour passer une main le long des jambes de Laure, remontant jusqu'à l'intimité de la jeune femme. Nul doute, tout ceci lui plaisait beaucoup, à en juger par le degré d'humidité plus qu'avancé. Puis ramenant sa main vers ses lèvres...
- Tu mouilles ma belle... Lèche mes doigts, déguste le fruit de ta perversion ! Car c'est bien toi qui a voulu tout cela. Ton mari me l'a dit ! Humm mais c'est que tu aimes ça, je sens que tu es vraiment une affaire toi. On ne va pas s'ennuyer !
Il venait de refermer le coffre quand le mari arriva.
- Elle ne t'a pas reconnu jusqu'à maintenant, c'est une bonne chose. J'aime qu'elle soit dans l'incertitude comme cela. Volontairement, il décida de prendre des chemins de traverse. Il voulait que le trajet dure afin que Laure perde le peu de repère qui lui restaient. Le club qu'il avait sélectionné, ils le fréquentaient souvent, en couple. Cela faisait deux ans qu'ils sortaient régulièrement dans les boites libertines de la région, et cela avait dopé leur couple. En voyeurs d'abord, puis incidemment, ils avaient poursuivi leur initiation en donnant dans le mélangisme. Quel plaisir de de voir les autres, que d'être vus, de toucher, de caresser... tout en réservant l'exclusivité du calin à sa tendre moitié. Si Laure était au départ très timide, elle s'était révélée au fur et à mesure d'un tempéramment de braises.
Un coup de fil avant de partir, avait suffit pour annoncer leur arrivée. Il avait demandé à ce qu'il leur soit réservé un salon particulier. Le patron était emballé par ce qui lui avait été annoncé, et il avait promis que tout serait mis en oeuvre pour que la soirée soit réussie. Laure quand à elle, n'avait rien d'autre à faire qu'à penser. Où allaient-ils ? Les minutes s'égrenaient, lentement. Elle avait l'impression que le voyage n'en finirait jamais. Le manque de confort, l'obscurité, ses membres qui s'enkylosaient de par sa position... Tout contribuait à la maintenir dans un état d'inquiétude permanent. Ce n'est qu'au bout d'un trajet interminable que le véhicule s'arrêta enfin. Elle ne savait si elle devait s'en réjouir ou s'en inquiéter. Au moins, tout valait mieux que l'incertitude se dit-elle.
L'inconnu vint lui ouvrir le coffre, et l'aida à en sortir. Laure eut bien du mal a retrouver un équilibre après pareil périple.
- Où est mo mari ? demanda-t-elle d'une voix anxieuse
- Ne vous inquiétez pas, il n'est pas loin. Quelques petits détails à règler je suppose. C'est moi qui vais vous accompagner Laure. Suivez moi, et soyez sans crainte.
C'est par la petite porte dérobée qu'ils entrèrent dans le club, Laure toujours privée de la vue suivant son guide. Le suspens devait être ménagé jusqu'au bout, elle ne devait pas savoir où elle était. Une douce musique d'ambiance était diffusée, créant une atmosphère chargée de sensualité.
- Voilà donc notre invitée dit une voix féminine que Laure ne connaissait pas. Hummmmm très jolie ! Mais elle doit avoir chaud avec ce manteau. Ajouta-t-elle en le lui retirant.Les joues de Laure s'empourprèrent à l'idée du spectacle qu'elle offrait. Entièrement nue, uniquement parée de son porte-jarretelles et de ses bas...
- Hé bien... Je sens que l'on ne va pas s'ennuyer ce soir. Je vais t'emmener Laure, j'ai reçu l'ordre de te préparer. Viens avec moi, monsieur saura bien s'occuper en attendant, je lui fais confiance !Elle emmena la jeune femme dans un salon en retrait, dans lequel trônait un lit à barreaux.
 
- Voilà, nous y sommes. Allonge-toi là... Oui, comme ça ! Tu as la peau douce tu sais... Je te dévorerais bien déjà maintenant... dit-elle en approchant sa bouche des lèvres intimes de Laure.
Rien que le souffle chaud de la jeune femme la tétanisa. Elle n'était plus que sensations, et frissonnait de désir. Mais non, déjà l'inconnue s'était éloignée, et s'occupait de sangler soigneusement les poignets et les chevilles de sa protégée. Elle lui glissa ensuite un coussin sous les reins. - Hum, quel spectacle tu offres ! Et puis zut... tu me plais trop...
Prestemment, elle monta sur le lit, présentant son intimité au-dessus de la bouche de Laure.
 Fais-moi du bien ma chérie... Je veux sentir ta langue au fond de moi... Ouiiiiiiiiiii comme ça... N'arrête pas... Hummmmmmmm tu me rends folle... Je vais jouiiiiiiiiiiiirrrrrrrrrrrrrrrrrr hurla-t-elle en se cabrant, les mains agrippées à la longue chevelure de son amante improvisée. Elle s'allongea à coté de Laure, léchant doucement les lèvres luisantes de son propre plaisir. - Maintenant, je vais détacher ton bandeau. Ton mari souhaite que tu voies désormais tout ce qu'il va t'arriver. Ne t'inquiète pas, il est là, il ne voudrait rater pour rien au monde ce qui va se passer. Il m'a chargé de te dire que si quelque chose ne te convenait pas, tu n'aurais qu'à prononcer le mot magique... Laure retrouva la vue subitement, ses yeux privés trop longtemps de toute lumière furent agressés par celle tamisée de l'endroit. La pièce était tendue de velours, et au plafond était un immense miroir. Elle y voyait son image de femme offerte, écartelée, attendant l'ultime sacrifice. Elle était une offrande, mais elle ignorait qui allait procédé au rituel. Le désir brûlait ses veines comme jamais encore auparavant. Elle avait l'impression d'être un volcan dont la lave s'apprêtait à couler.
 
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Jeudi 7 décembre 4 07 /12 /Déc 21:15
COUPS FRANCS
 
 
 
 
 
S’en était trop… Cette fois, il avait dépassé toutes les limites. Jeanne n’en revenait encore pas de la goujaterie de son mari. Quinze ans qu’ils étaient mariés, et s’il n’était pas un modèle de délicatesse, il avait sur rester dans certaines limites de correction. Mais là… Il avait osé lui refaire le match France-Espagne au lit ! Dopé qu’il était par la victoire, par deux fois il l’avait prise sans ménagement, hurlant comme un fou « buuuuuuuuuuttttttttttt » au moment de l’orgasme. Enfin, de son orgasme à lui, parce qu’elle avait fait ceinture, la pauvre !
 
 C’était plus qu’elle ne pouvait en supporter. Quinze ans qu’elle supportait les matchs à la télé, les canettes vides qui traînent partout le lendemain matin, la pizza froide collée sur la table du salon, et surtout, la panoplie du parfait supporter accrochée au mur de la chambre, juste en face du lit conjugal. Sa vie de couple était devenue un cauchemar. Elle avait eu un bref espoir, lorsqu’en début de compétition, l’équipe de France avait fait match nul face à la Suisse… Ils allaient être éliminés très vite, et sa vie reprendrait un semblant de normalité ! Mais sa joie avait été de courte durée ! Marco devenait chaque jour plus enragé, au fur et à mesure que les chances de ses héros d’aller en finale s’affirmaient. Il ne parlait plus que de cela, vivait pour cela, respirait pour cela, et depuis peu, baisait aussi pour cela. Hé oui, on ne pouvait même pas appeler cela faire l’amour ! Tout au plus de la baise, primaire, brutale et sans âme.

Le constat que Jeanne faisait n’était pas mirobolant. Elle n’avait rien dit lorsqu’il lui avait annoncé qu’en guise de vacances, cette année ils partiraient un mois en Allemagne plutôt que sur la Côte. Rien dit non plus quand elle su qu’ils devraient se contenter du confort sommaire d’un modeste camping, parce que tout le budget « vacances » était englouti par l’achat des billets de match. Elle avait supporté encore lorsqu’il avait exigé que sa tenue fétiche soit nickel à chaque rencontre. Aucune tâche, aucun pli n’étaient tolérés ! Leurs vacances étaient pour elle l’équivalent d’un mois de goulag. Et que dire des copains avec qui il arrosait la victoire ! Ils empestaient la bière, et devisaient grossièrement tout en rotant !
 
 Elle repensait à tout cela en faisant les courses ce matin. Marco n’avait pas pu l’accompagner, il fallait qu’il fasse l’analyse du match de la veille avec ses potes. Aussi était-elle partie seule. Elle ne le regrettait pas, au moins avait-elle un peu de tranquillité ! Une heure sans entendre parler de ballon rond, c’était pour elle une petite victoire.
 
 Une fois son approvisionnement terminé, les courses rangées sans la voiture, Jeanne décida de visiter un peu la ville. Après tout, un peu de tourisme ne pourrait pas nuire, bien au contraire. Déambulant au hasard des rues et ruelles, elle découvrit une cité charmante, avec des maisons de caractère, et perdit rapidement toute notion du temps. Elle finit par se retrouver devant un immense bâtiment, fraîchement rénové. Jeanne feuilleta son guide de la ville, afin de chercher quel pouvait être ce lieu, et tomba rapidement une réponse à sa question. Il s’agissait d’un bordel grand luxe, ouvert spécialement pour la Coupe du Monde… Sa curiosité la poussa à lire en détail ce qu’il en était dit. « Comportant un sauna, un jacuzzi et de nombreuses chambres à thèmes, l’Artémis saura satisfaire vos moindres envies » précisait la brochure. Puis, en bas et en petits caractères, figurait une précision qui laissa Jeanne songeuse. « Mesdames, vous rêvez d’une soirée de volupté et de plaisir, nous avons pensé à vous. Nous vous proposons de réalisez vos fantasmes dans le luxe et la sécurité lors de nos soirées gratuites » et suivaient quelques dates, dont celle du jour même.
 
 Les jambes de Jeanne tremblaient, son esprit était en ébullition. Elle sentait dans son ventre grandir une boule de feu qui la ravageait. Depuis combien de temps n’avait-elle pas pris son pied ? Elle n’en avait même aucune idée, tellement ça remontait à loin ! Et ses fantasmes… Marco ne lui avait jamais demandé ce qu’ils pouvaient être… Mais savait-il seulement ce que cela pouvait signifier ? Elle en doutait ! Pour lui, l’acte charnel se résumait en quatre ou cinq allers-retours compulsifs avant l’éjaculation. Il lui déposait (dans le meilleur des cas) un baiser sur le front et se retournait pour ronfler. Quinze ans de ce traitement, quinze ans que son corps attendait que l’on s’occupe dignement de lui… C’était décidé, ce soir Jeanne viendrait ici, et advienne que pourra ! Ca ne pourrait pas être pire qu’avec Marco de toute façon.
 
 Toute la journée, Jeanna fut fébrile, vaquant à ses tâches journalières comme si de rien n’était pour ne pas attirer l’attention de Marco. Celui-ci, comme à son habitude avait passé une partie de sa journée à « analyser » L’Equipe, et à faire des pronostiques avec ses copains. Occupation on ne peut plus passionnante, vous en conviendrez ! Tout juste s’il avait levé le nez de son journal quand elle lui avait annoncé qu’elle sortait avec une amie pour aller au cinéma. En grognant, il lui avait donné son accord…
 
 Après une bonne douche, elle avait opté pour une tenue d’été légère, sobre, mais sexy. Une petite robe noire, courte et des sandales assorties à talons hauts. Rien ne devait laisser soupçonner ce qu’elle s’apprêtait à faire. Un maquillage discret mettait son visage fin en valeur, et elle avait relevé ses longs cheveux bruns en un chignon lâche, duquel s’échappaient quelques mèches folles.
 
 C’était parti… Elle se gara à proximité de l’Artémis. Décidément, ces allemands avaient tout prévu ! Quelle organisation… Son cœur battait la chamade, et ses jambes tremblaient lorsqu’elle se décida à pousser la porte de l’établissement. Un réceptionniste l’accueillit chaleureusement, et l’accompagna jusqu'à un salon cossu, où d’autres jeunes femmes étaient installées. Un verre lui fut offert en guise de bienvenue, ainsi qu’une brochure détaillant tous les services offerts par la maison. Ainsi, en sous-sol se trouvaient le sauna et le hammam, et elle imaginait que ce pourrait être un bon moyen pour se détendre. La brochure indiquait également une piscine, un salon de massage, des salles de cinéma et un restaurant. Elle ne s’attendait pas à autant de choix… Pour tout dire, elle se sentait même un peu perdue !
 
 « Mes hommages, madame »
 
 Devant elle se tenait un homme d’une quarantaine d’années, très grands, les tempes grisonnantes.
 
 « Je me suis permis de vous observer, et vous me semblez perdue. Le laisserez-vous vous faire l’honneur des lieux ? Oh, mais je manque à tous mes devoirs… Je ne me suis pas présenté. Pierre G. pour vous servir ! »
 
 Jeanne ne savait plus quoi penser… Les joues empourprées, elle ne savait que répondre. Elle se faisait l’effet d’une petite fille prise en faute. Elle bredouilla quelques mots parmi lesquels son prénom.
 
 « N’ayez pas peur, vous ne risquez rien avec moi jolie dame… Vous êtes venue ici pour passer une agréable soirée, alors laissez-moi vous y aider, dans la mesure de mes moyens. Que pensez-vous d’une visite des lieux, et ensuite vous vous déciderez ! »
 
 Elle découvrit avec un plaisir non dissimulé tous les trésors que cachait l’endroit. Partout, des tapis épais, des banquettes moelleuses sur lesquelles des couples s’ébattaient. Des alcôves permettaient à ceux qui le désiraient de s’isoler un peu, tout en restant en partie visibles. Pierre l’avait questionnée longuement sur ses envies, ses fantasmes inavoués, et elle s’était livrée comme jamais auparavant. Elle avait confiance en lui, et lui avait raconté l’inavouable. Ses désirs de brutalité, de bestialité… Comment elle aimerait être livrée à des mâles en rut, être l’objet de leur désir. Elle qui ne connaissait avec Marco que le missionnaire dans le noir, rêvait de levrette, de sodomie, de double pénétrations… Rien que d’en parler, elle en avait mouillé sa petite culotte ! Ils étaient assis au bar et la main de Pierre posée sur sa cuisse, caressait l’étoffe légère de la robe, la faisant doucement remonter sur la chair dorée. Cette femme le rendait fou par sa fragilité. Elle avait quelque chose d’enfantin qui l’émouvait.
 
 « Et si je vous proposais maintenant, de réaliser vos fantasmes, Jeanne ? Me feriez-vous confiance ? » Lui demanda-t-il.
 
 Après une brève seconde d’hésitation, elle murmura un oui timide, en baissant les yeux.
 
 « Bien, suivez-moi alors, n’ayez pas peur… Je ne veux que votre plaisir ! »
 
 La prenant par la main, il l’emmena dans un dédale de couloirs capitonnés. Des gémissements se faisaient entendre, étouffés, mais au combien excitant pour la jeune femme.
 
Ils arrivèrent dans une grande chambre tendue de velours pourpre. En son centre, un lit immense, pourpre lui aussi. Pierre prit un bandeau dans sa poche, et lui banda les yeux, tout en lui parlant. Il lui dit combien elle était belle et désirable, comment elle allait prendre du plaisir, plus qu’elle ne l’imaginerait jamais. Doucement, il fit tomber les bretelles de la fine robe, et elle apparut dans toute sa splendeur, le corps doré par le soleil, juste vêtue de son string blanc. Il fit courir son majeur sur l’étoffe humide, longeant les lèvres.
 
 «Garde tes sandales…  N’aies pas peur, suis-moi » lui dit-il en lui prenant la main.
 
 Il la guida jusqu’au lit, et l’y installa.
 
 
 
« Détends toi, fais le vide dans ta tête. Tu vas avoir une soirée de reine ma belle… Je vais commencer par te masser le dos… Comme ça… Tu aimes ? »
 
 Doucement, Jeanne se laissa aller, et s’abandonna aux mains douces et expertes de Pierre. Elles pétrissaient son dos, ses cuisses et lui procuraient un bien être extraordinaires. Etre privée de la vue lui permettait de faire fonctionner son imaginaire, et ça la mettait dans un état d’excitation terrible. Des voyeurs devaient être en train de l’observer, elle en était sûre ! Elle les imaginait en train de mater, la queue à la main, bandant pour elle et ça la rendait folle. Alors qu’il l’aidait à se remettre sur le dos, Pierre constata que l’auréole du string s’était élargie, et sourit. Elle était à point… Il se pencha vers son oreille et lui murmura
 
 « Et maintenant, que la fête commence… Tu vas jouir que cela ne t’est jamais arrivé. Tu rêvais d’être livrée à des mâles en rut ? Et bien soit… Je t’en ai trouvé qui devraient te satisfaire. Tu vas être à eux pour toute la nuit, jusqu’à ce que tu tombes d’épuisement… Cela te convient-il ? »
 
 Le feu du désir dévorait ses entrailles, et c’est dans un cri qu’elle dit le oui tant attendu. Son corps, trop longtemps endormi se réveillait, et réclamait son dû. Le sevrage avait été trop long.
 
 Trois hommes entrèrent dans la pièce. Tous grands et bien bâtis, leur peau huilée mettait en valeur leurs muscles. Jeanne sentit bientôt son corps parcouru de douze mains. Les caresses étaient partout à la fois, ne lui laissant aucun répit. Une langue douce et chaude parcourait sa fente par-dessus le tissu trempé de son string, tandis qu’une bite forçait sa bouche. Pierre était toujours à ses côtés, lui murmurant des paroles rassurantes à l’oreille, et dirigeant la scène.
 
 « Hum, tu aimes ça, hein… Une bite dans chaque main, une dans la bouche… Vas-y, donne-toi petite salope... Libère-toi ! Tu es une jouisseuse, alors profites-en… »
 
 
 
Jeanne n’était plus elle-même. Suçant, branlant, elle était dans un état second. De femme, elle était passée à l’état de femelle en chaleur. Elle projetait son bassin à la rencontre d’un sexe qui se faisait attendre. Dans un râle de poitrine, elle dit
 
« Je vous en prie, baisez-moi ! J’en peux plus… »
 
 Dans sa tête, elle s’imaginait assaillie par une équipe de football… Ha Marco aimait le foot ! Très bien, elle aussi, mais pas de la même manière ! Ils allaient tous la baiser, même les remplaçants !
Une bite l’envahit jusqu’au fin fond de sa matrice, l’ouvrant en deux, comme elle l’avait rarement été, tandis qu’une autre baisait sa bouche. Ses mains branlaient du mieux qu’elles pouvaient les deux autres membres. D’autres hommes les regardaient, en cercle autour du lit, la bite à la main. Les appels de Jeanne n’étaient pas passés inaperçus, et avaient rameuté les mâles qui passaient par là. Déjà l’homme qui la pilonnait avait cédé sa place à un autre, après avoir craché dans son préservatif. Il vida celui-ci, étalant le foutre chaud sur les seins de Jeanne. Ils se succédèrent ainsi de longs moments, qui dans sa chatte, qui dans son cul, qui dans sa bouche, jusqu’à ce qu’elle demande grâce… Epuisée, elle était à la limite de la défaillance. Pierre renvoya immédiatement tout le monde, et s’occupa de lui couler un bain mousseux. Il la porta dans la baignoire, et pris soin d’elle avec beaucoup de tendresse. Il la lava, la sécha, avant de la coucher. Elle n’avait plus conscience de rien, flottait dans un monde parallèle. Elle était fourbue mais heureuse comme elle ne l’avait jamais été. Pierre la pris dans ses bras pour calmer les derniers soubresauts de son corps, et l’entendit prononcer quelque chose qu’il ne comprit pas…
« Ha quel beau match, on a fini aux tirs au but mon chéri ! »
 
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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