Coucou Sophie ! Je t’envoie ce petit courrier pour te raconter l’expérience que j’ai vécu le week-end dernier dans la boîte de nuit de ma ville. Je sais, tu vas encore penser que je me suis conduite comme une petite garce… et tu auras raison ! Mais comme je te l’ai si souvent dit, pourquoi nous autres, les femmes, n’aurions nous pas le droit de faire ce que font les mecs ? Alors, voilà mon histoire…

Je commençais vraiment à avoir très chaud, mais il m’aurait été difficile d’enlever quoi que ce soit comme vêtement, tant j’en portais si peu. Il faut dire que j’étais venue pour me lever un mec pour la soirée et, comme tu peux le deviner, j’avais mis tous les atouts de mon côté ; mon petit chemisier noir transparent, afin que l’on puisse deviner, malgré l’obscurité de la boîte, que je ne portais rien en dessous, une mini-jupe en cuir noir qui, dès que je m’asseyais où dansais trop frénétiquement, laissait comprendre que j’avais un porte-jarretelles en dessous, des bas et des chaussures à talons hauts qui affinent si bien mes mollets. Tiens, j’ai oublié de décrire ma culotte… normal, je n’en portais pas ce soir là. Tu me connais : j’aime être la plus libre possible sous mes vêtements !
Je disais donc que je commençais à avoir très chaud ; il faut dire que cela faisait plus de quatre heures que j’étais dans cette boîte et j’avais consommé pas mal de rhum coco. Cela devait certainement y faire beaucoup pour la chaleur ! Toujours est-il que, au niveau beau mâle en érection, j’en avais trouvé quelques-uns uns plutôt très intéressés, mais aucun qui m’intéressa ne serait-ce que pour prendre un simple verre. Sincèrement, Céline, je commençais à me demander ce qui m’arrivait : éconduire des mecs que j’ai allumés m’arrive assez souvent, mais je finis toujours par en garder un ! Je commençais à penser que quelque chose ne tournait pas rond chez moi !
Dépitée, je décidais d’aller prendre un dernier verre au bar avant d’appeler un taxi pour me ramener chez moi. Ce début de week-end s’annonçait plutôt mal ! J’étais donc assise au bar, mon verre à la main, en train de ruminer des pensées noires, quand je vis un mec, assis au fond de la salle. Soit il était seul, soit sa copine avait décidé de s’évader pour la soirée. Le plus drôle, c’est que ce gars n’avait rien pour attirer mon attention. Il n’était pas moche, mais c’était loin d’être un canon : trop maigre, habillé trop classique… Pourtant, il y avait quelque chose en lui d’indéfinissable, quelque chose qui fit de lui mon centre d’intérêt !
Ma première idée fut d’aller le rejoindre et d’entamer la discute avec lui. Finalement, pour je ne sais trop quelle raison, je me ravisais et tentais de trouver un moyen pour attirer son attention. Pour cela, il fallait déjà qu’il regarde dans ma direction et cela ne semblait pas être gagné tant il semblait plongé dans ses rêveries ! Enfin, au bout de quelques minutes qui me semblèrent interminables, je vis la tête du mec se tourner vers le bon endroit, celui où je me trouvais. A cette heure-ci, le bar est relativement désert, tout le monde se trouvant dans la salle d’à côté en train de danser sur des slows. Je me redressais donc fièrement sur mon tabouret, croisa et décroisa, de l’air désinvolte que tu me connais, mes jambes afin que ma jupe remonte à la limite de la décence, tout en me tournant vers lui. Nous étions séparé par une vingtaine de mètres et, le bar étant relativement bien éclairé, j’imaginais qu’il devait voir assez de choses intéressantes pour que son regard s’arrête sur moi… J’avais gagné !… ou alors il s’était endormi sur moi…
Je vidais mon verre et appela le barman pour qu’il m’en serve un autre. Ce faisant, j’avais décroisé mes jambes et entrouvert légèrement mes cuisses. Je restais ainsi, sans regarder le gars, jusqu’à ce que mon nouveau rhum coco arrive. Alors, je tournais à nouveau ma tête pour voir où en était la situation et je vis, à mon grand soulagement, que mon plan avait bien fonctionné. Non seulement le mec ne s’était pas endormi, mais en plus il fixait mon regard avec une insistance non dissimulée. Je pris donc mon verre et me dirigea à la table de ma nouvelle proie. Je ne sais comment te l’expliquer, mais ce gars avait un regard incroyablement perçant. Même si j’avais porté une combinaison de cosmonaute, je me serais sentie totalement nue devant lui ; c’était peut être ça qui m’avait attiré alors qu’il y avait tant d’autres mecs plus beaux que lui que j’avais repoussé.
Je n’étais plus qu’à quelques mètres de lui et je sentis des frissons parcourir tout mon corps, la pointe de mes seins devenir très dure…
- Je peux faire quelque chose pour vous ?
Sa voix était douce, posée mais te donnait chaud au cœur. Avant de lui répondre, je lui laissais le temps de me dévisager de haut en bas et là je commençais à sentir ma petite chatte ronronner de plaisir.
- J’ai vu que vous me regardiez avec une certaine insistance quand j’étais au bar.
- Oui, mais je pense que c’est ce que vous espériez, non ?
- Vous êtes bien sûr de vous ! lui répondis-je tout en m’asseyant à côté de lui.
- Tout autant que vous pouvez l’être !
- Vous êtes seul ?
- En tout cas, il semble que je ne le sois plus maintenant !
Telle que je me tenais assise, il pouvait voir que mes dessous s’arrêtaient uniquement à des bas et un porte-jarretelles, mais, la table me gênant, je ne pouvais voir si cela lui faisait de l’effet en dessous de la ceinture.
- Je voulais dire, est-ce que vous êtes venu accompagné ?
- Et si tel était le cas, me répondit-il en mettant une main sur la cuisse, que feriez-vous ?
- Je m’en irais aussitôt, lui dis-je en ouvrant un peu plus les jambes afin de faciliter la progression de la main. Je ne veux surtout pas vous attirer des ennuis avec votre amie !
- Je n’ai pas l’impression, me dit-il tandis que je sentais sa main caresser doucement une cuisse, puis l’autre, que vous ayez l’intention de partir !
Il avait totalement raison. Sa copine aurait pu arriver à ce moment, que je n’aurais pas bougé d’un pouce. Tout au plus, je lui aurais proposé de participer au débat… pour ne pas dire aux ébats !
Je fermais donc les yeux, pour mieux la lente progression de cette main inconnue. Je pouvais voir les doigts se promenant sur mes cuisses, remontant tout doucement au dessus de mon triangle, redescendant brusquement en ne manquant pas d’effleurer mon petit bouton. J’étais parcouru de multiples frissons, frissons qui s’accentuèrent lorsque je sentit le souffle de mon amant d’un soir se promener sur ma nuque.
Je ne pus retenir un premier gémissement lorsque la main encore libre de mon amant glissa sous mon chemisier, progressant tranquillement vers ma poitrine. Sous ma jupe, deux doigts s’étaient emparés de mon clito, jouant impitoyablement avec lui, le faisant durcir de plus en plus. Je me mis à onduler du bas-ventre, comme pour mieux accompagner cette main ; je sentais un feu naissant au plus profond de moi ; ma gorge s’était asséchée et mes gémissements se faisaient de plus en plus pressant, de plus en plus fort. Un instant, je craignis que les videurs ne débarquent. Ce n’était certes pas la première fois que je faisais l’amour dans cette boîte, mais la première où je me donnais ainsi à la vue de tous. Puis le désir l’emporta définitivement sur toutes mes peurs, me faisant perdre toute conscience sur l’endroit où je me trouvais.
Trois doigts m’avaient maintenant perforé, s’amusant à tourner au plus profond de mon intimité, tandis qu’un autre jouait avec mon clito au bord de l’explosion. L’orgasme libérateur était tout proche ; mon corps tout entier s’était mis à trembler sans que je ne puisse rien faire pour le contrôler ; j’étais prête à crier ma jouissance avec la puissance d’un volcan en éruption ; une chaleur bienfaisante m’envahit le bas-ventre : j’allais exploser ! C’est à ce moment que les doigts se retirèrent me laissant sur ma faim. J’ouvris mes yeux et vis le garçon qui s’était levé et m’invitait à m’asseoir à sa place. Surprise, mais excité à l’extrême, je fis ce qui m’était demander sans poser la moindre question. Le gars se glissa alors sous la table et c’est à ce moment que je compris ce qu’il allait s’abreuver du liquide que je sentais se déverser à flot de ma chatte en feu.
Je sursautais lorsque je sentis la tête se glisser entre mes cuisses, mais que ce fut bon lorsque la chaleur humide d’une langue vint lécher mon clito. Le bar était totalement désert et je pus apercevoir le barman nous observer très attentivement. Il avait compris ce que nous étions en train de faire, mais je savais qu’il n’appellerait personne tant le spectacle semblait lui convenir.
La langue ne cessait d’aller et venir entre mon clito et l’intérieur de ma chatte. Le gars contrôlait parfaitement ce qu’il faisait, sachant s’arrêter lorsque mon orgasme arrivait trop prêt. Il me faisait volontairement languir et je m’entendis le supplier de me libérer. A la bouche, vint s’ajouter une main, des doigts me pénétrant au plus profond de ma grotte, me fouillant sans retenue tandis que des dents emprisonnaient délicatement mon clito afin que la langue puisse rouler autour de lui.
Je m’entendis crier tandis qu’éclatait enfin mon plaisir. Mon corps fut pris de spasmes si violents que j’en renversait la table où s’était glissé mon amant. Mes mains agrippèrent sa chevelure du mec ; mes cuisses se refermèrent violemment sur cette tête qui continuait à s’activer entre mes jambes ; j’avais l’impression que mon orgasme n’allait jamais s’arrêter. Il était si violent, que je ne pus retenir une autre envie que j’avais aussi senti venir et qui, cette fois, était dû au trop plein de liquide que j’avais ingurgité.
Je me levais brusquement, tenant toujours le mec par les cheveux, la tête renversée en arrière, et, après avoir déversé ma cyprine dans la bouche de mon amant d’un soir, je lâchais un long flot d’urine sur son visage ce qui me fit partir dans un deuxième orgasme qui me vida de toutes mes forces.

Voilà, mon chère Sophie, ce qui m’est arrivé le week-end dernier. En fait, le deuxième orgasme m’avait tellement vidé qu’il semble que je me sois comme évanouie après. Cela n’a pas duré longtemps, mais assez pour que le mec disparaisse sans que j’aie eu le temps de lui demander qui il était. J’ai bien essayé de questionner le barman, mais il m’a dit que c’était la première fois qu’il le voyait. Néanmoins, je vais retourner dans cette boîte de nuit dès samedi prochain, dans l’espoir de le retrouver… Je te tiendrais au courant !
...

Quand j’étais au lycée, les filles parlaient beaucoup de mon énorme membre. En fait, j’avais été surpris dans les toilettes par une d’entre elle et depuis cette dernière a publié ma bite auprès de ses copines. Toutes les filles me demandaient pardon de leur laisser voir ma queue. Elles m’avais surnommé: « la bête érectile », « le maniaque érectile », « le membré ». J’avoue qu’au début, j’avais du mal à supporter ça jusqu’au jour où une d’entre elle est tombée sur le coup de ma forte érection. Elle n’avait pas eu froid aux yeux et restait là à regarder entre mes jambes. Je ne savais pas non plus quelle force m’empêchait de faire entrer ma queue dans ma culotte. Je restais là à l’admirer. Elle avait un regard audacieux et ça m’excitait de voir cette fille admirer mon bambou ! Elle s’approchait de moi pour voir de plus près et je gardais les yeux fixés sur son joli visage de fille innocente. Elle m’avait suivi et guettait cette occasion pour vérifier ce qu’on disait de moi dans le lycée sinon comment expliquer sa présence dans les toilettes des hommes à la sortie des classes ! Mais j’avoue que j’avais été aussi charmé par sa beauté et sa force de caractère ! Elle était déterminée et ne cachait pas du tout ses intentions. Je restai là plantée au milieu des toilettes à la laisser s’approcher de moi, elle vint jusqu’à mon niveau, tend sa main et me caresse la verge avec une telle douceur ! Elle avait de jolis doigts carmins et de son pouce, elle essuie la goutte d’urine dans ma fente et s’abaisse pour examiner ma queue en la bougeant dans une rotation extraordinaire ! J’avais cru un instant être en face d’un gynécologue. Mes couilles étaient si lourdent et pleines et j’avoue que mon érection était excitante. Elle passe le bout de sa langue dans la fente de ma queue et jusque là, elle ne m’avait pas encore regardé pour lire mes émotions. Le bout de sa langue était chaud et j’avais voulu lui arracher ma queue et la remettre dans mon pantalon mais je n’avais pas la force de le faire ! Elle profita alors pour passer sa langue le long de mon sexe ! Elle parcoure la droite ligne de ma queue pour faire bondir mes couilles sur sa langue ! Une sueur froide coule dans mon dos, je craignais qu’on vienne nous surprendre mais elle s’en foutait. Elle avait une jolie petite bouche et de petites dentes tranchantes ! Progressivement elle ouvrait la bouche pour enfin la fermer contre ma grosse queue. Elle devenait de plus en plus violente, salope et gourmande ! On aurait dit qu’elle avait été en manque ! Elle prenait un tel soin de ma queue, la raffolait et me la suçait. Elle me saisit une cuisse et m’attire contre sa bouche ! Waouh ! C’était dingue de voir une inconnue apprécier ma queue de la sorte. Je n’avais pas osé la toucher encore mais elle osait tout ! Elle crache sur ma queue la frotte en gardant les yeux ouverts sur mes couilles qui se balançaient ! Je pouvais sentir sa salive chaude contre mon sexe. Ses fines lèvres qui emprisonnaient ma queue me donnaient des sensations extra. Je la connaissais juste dans le lycée et pas plus, une fille plutôt mignonne, un corps ferme et un visage angélique, elle avait de longues jambes et on pouvait deviner entre sa camisole ses énormes seins tous ronds. C’était une fille mince avec de longs doigts. Je la trouvais bien timide pour la voir aujourd’hui s’agenouiller entre mes jambes pour déguster ma grosse et longue queue. Elle me fit une toilette sexuelle inoubliable, amassait mes énormes couilles dans sa paume et je sentais sur mon sexe sa bouche chaude. Je gémissais naturellement mais n’osais pas la toucher. Elle savait s’y faire, sa langue se fondait sur ma bite et elle y mettait un soin incroyable. C’est fou comme je me sentais bien. Elle m’a sucé longuement, faisait vibrer mon long membre contre sa joue, son menton mais gardait ses yeux toujours fixés entre mes jambes. Elle a englouti ma longue queue dans sa gorge et la vomissait brutalement. Elle dégagea mon sexe et la soulevait pour me mordre les couilles. Elle la tient dans sa main et entame des mouvements de va et vient. Je sentais sa main quitter la tête de ma bite et aller jusqu’à la racine. Je croyais que j’allais m’évanouir. Elle la remet dans sa bouche et entame un mouvement circulaire avec sa langue, elle introduit son ongle dans ma fente, me mord les couilles, me caresse la verge avec ses dents. Je tremblais et j’avais l’impression d’être un gamin qui se laisse laver par sa maman. Elle saisissait mes cuisses, les serrait de toute sa force pour se l’envoyer loin dans la gorge la longue. Elle s’étouffe et la ressort recouverte de salive. J’étais à moitié vêtu et j’étais tendu. Elle prenait son plaisir et moi j’avais oublié qu’on était dans les toilettes du lycée ! Je ne pouvais plus tenir, il fallait absolument que je la prenne pour vider en elle cette foudre qu’elle avait activée ! Je me contractais dans ses mains mais elle refusait de me regarder et travaillait dans une concentration imaginable! Dans un geste incontrôlable, je la prends par les cheveux pour qu’elle me lâche la queue mais elle s’accroche et me la suce de plus belle en se faisant baiser la bouche ! Je la prends donc par la nuque pour lui envoyer des coups bien murs dans la gorge ! Elle semblait l’adorer ! J’approchais son visage de mon triangle pour bien lui remplir la bouche comme elle le voulait ! Elle leva enfin les yeux pour m’offrir un regard érotique! Je lui dis : « Tu suces bien, tu m’excites, hummm !!! Tu es consciente de ce que tu fais ? Elle ne répondait pas mais continuait de se faire baiser da la bouche. Je lui arrache ma queue et je l’aide à se lever ! Je la déboutonne et je sors de son soutien ses gros seins durs. Ils étaient si bandés et chauds ! Je caresse tes tétons avec l’extrémité de ma langue, je les malaxe doucement avec mes deux mains, à la mordre délicatement, hummmmmm !!! Puis je me mettais à lui sucer les tétons, une langue rapide et légère, deux paumes chaudes posées sur sa grosse poitrine pour pincer et malaxer efficacement ses seins. Mon index lentement glisse en bas d’elle et je me mettais à la doigter, je lui enfonçais mon doigt et je la tournais dans son vagin pour qu’elle le sens partout dans son trou, mon doigt flottait, j’enfonce deux et trois et je me mettais à la baiser avec mes doigts ! Hummmmmmm ! Elle jouissait et s’agrippait à moi tout en tenant fortement ma queue dans la paume ! Je soulève sa jupe et je la fesse ! Elle était si chaude et gourmande et tout ce dont elle avait envie, c’était de sentir ma queue lui défoncer la chatte et la redimensionner ! Je m’apprêtais à la prendre debout quand tout quelqu’un s’introduit dans le vestiaire. Elle m’abandonna et court se cacher dans un coin. Je remontais à peine mon pantalon quand un mec me surprit. Il ne se douta de rien et je pouvais en ce moment imaginer l’irritation de ma partenaire. Je sors des toilettes sans prononcer un mot puis je rentre chez moi en gardant toute la nuit ce souvenir. J’ignore comment elle s’en est sortie après mais elle ne cessait de m’harcelait depuis cet instant. Je la rencontrais partout dans le lycée et je bandais chaque fois que je l’apercevais ! Puis on a décidé achever ce qu’on avait commencé ! Je l’invite un week end pour passer une soirée ! Elle baise comme une bête cette fille, une vraie maso, une maniaque du sexe, une salope de grosse bite, une gourmande de jus ! J’avais voulu une soirée légère. On était juste allé prendre des glaces et elle s’impatientait. Dans la voiture, elle me caresse la queue, essayait de la sucer, elle me la pressait et me demandait si je voulais qu’elle me pipe au volant ! Naturellement, je serais incapable de conduire si elle le faisait mais je bandais déjà à l’idée qu’elle était capable de me faire une fellation pendant la conduite ! Elle était si chaude et pressée. A peine, avais-je ouvert la porte de ma chambre qu’elle était devenue folle, elle arrache les boutons de ma chemise, enfonce ses doigts dans ma bouche et me pipa sauvagement ! Elle me faisait mal en essayant de s’étouffer avec ma queue ! Ça m’excitait et j’avais les couilles en feu ! Hummmmmm !!!! elle répétait sans cesse : « je veux que tu me l’enfiles comme une brute, défonce moi comme une pute, ton monstre m’excite et je la veux tout au fond de moi, je la veux dans mon bas ventre ! Hummmmmm !!!!! Quelle queue ? Elle se la frappe le visage avec, la secoue contre sa poitrine et me pince les fesses. Elle était devenue si sauvage et étant un homme qui aime le hard, je suis devenu une vraie bête. Je la saisi par le cou pour la traîner dans le lit. Elle ne voulait pas que je la baise dans un lit mais à plat le sol ou contre le mur. Elle glisse du lit pour se retrouver à terre, je l’étends sur le sol et je me mettais à la fesser, elle me tenait fermement la queue et la pressais si fort quand ma paume tombait sur ses fesses ! J’ouvre son anus et je lui enfonce mon pouce ! Elle me presse davantage la queue et j’enfonce encore plus loin mon puce ! Elle hurlait et comprimer toute ma grosse queue dans sa paume ! J’avais mal mais je bande encore plus ! Hummmmmm !!! C’était dément ! Elle essayait de me dominer mais je me montrais plus fort et mon pouce enfoncé dans son cul s’enfouir de plus en plus, je l’enculais avec mon pouce et elle me serrait aussi fort la verge. Je reçois sur ma jambe ses ongles qui s’enfonçaient dans la chaire de ma cuisse. Je saisis sa main et je la retourne dans son dos, elle se débattait, essayant de se libérer mais je l’écrasais contre le sol en lui disant ; « t’es une vraie salope mais je vais te défoncer comme une pute ! Ton cul et ta chatte sont à moi ! Tu vois bien cette grosse queue que tu tiens là ? Elle va te dilater et s’enfouir dans ton bas ventre ! Je vais t’arracher la chatte et le cul » elle répondait « Non je la veux dans ma chatte, ne m’encule pas s’il te plait, ça fera trop mal, défonce moi ma moule et vient jouir dans ma bouche ! Hummmm » Je la pris comme une bête sauvage avec ma queue en rage ! Je plonge brutalement ma queue en elle et elle hurle comme une vraie chienne ! Hummmm !!!! je la pris par les bras pour lui dilater la chatte ! J’entrais en elle comme dans un trou ordinaire, je la pénétrais, je la baisais, je la défonçais ! Elle avait mal mais jouissait abondamment ! C’était trop hard et coriace ! On formait un couple sexuellement parfait ! Hummmmmm !! Sa chatte avalait ma queue et je me glissais en elle comme dans du beurre !! Hummmm !! Je la fessais, Je pose mon pied sur sa tête et je lui en mettais comme une chienne ! J’écrasais sa tête contre le sol et je m’enfonçais sauvagement en elle ! Hummmmmm !!!!! C’est bon !!! La suite avait été torride ! Je l’ai baisée pendant longtemps avant d’arroser sa petite bouche de ma foudre ! Je sentais sa moule brûlante ! Hummmm son clito dur et ses tétons rebelles. Je les mordais, les pinçais, les maltraitais et elle jouissais et se contractais ! Hummmmmm !!!!!!! C’était magique ! On était devenu des bêtes de sexe et à chaque séance, elle pleurait de plaisirs. Elle avait des orgasmes répétés et se mettait à pleurer comme une fillette ! Et moi ça m’excitait. Présentement elle s’est mariée et vie en Espagne. Elle reconnaît que je suis le seul que la faisais plus jouir mais entre nous il n’y avait pas l’amour mais rien que du sexe ! C’était un coup ! Un vrai ! Je recherche une de ce genre qui me fera connaître amour et sexe ! Une vraie bombe qui apprécie une grosse bite!