Jeudi 30 novembre 4 30 /11 /Nov 20:14
Coucou Sophie ! Je t’envoie ce petit courrier pour te raconter l’expérience que j’ai vécu le week-end dernier dans la boîte de nuit de ma ville. Je sais, tu vas encore penser que je me suis conduite comme une petite garce… et tu auras raison ! Mais comme je te l’ai si souvent dit, pourquoi nous autres, les femmes, n’aurions nous pas le droit de faire ce que font les mecs ? Alors, voilà mon histoire…

Je commençais vraiment à avoir très chaud, mais il m’aurait été difficile d’enlever quoi que ce soit comme vêtement, tant j’en portais si peu. Il faut dire que j’étais venue pour me lever un mec pour la soirée et, comme tu peux le deviner, j’avais mis tous les atouts de mon côté ; mon petit chemisier noir transparent, afin que l’on puisse deviner, malgré l’obscurité de la boîte, que je ne portais rien en dessous, une mini-jupe en cuir noir qui, dès que je m’asseyais où dansais trop frénétiquement, laissait comprendre que j’avais un porte-jarretelles en dessous, des bas et des chaussures à talons hauts qui affinent si bien mes mollets. Tiens, j’ai oublié de décrire ma culotte… normal, je n’en portais pas ce soir là. Tu me connais : j’aime être la plus libre possible sous mes vêtements !
Je disais donc que je commençais à avoir très chaud ; il faut dire que cela faisait plus de quatre heures que j’étais dans cette boîte et j’avais consommé pas mal de rhum coco. Cela devait certainement y faire beaucoup pour la chaleur ! Toujours est-il que, au niveau beau mâle en érection, j’en avais trouvé quelques-uns uns plutôt très intéressés, mais aucun qui m’intéressa ne serait-ce que pour prendre un simple verre. Sincèrement, Céline, je commençais à me demander ce qui m’arrivait : éconduire des mecs que j’ai allumés m’arrive assez souvent, mais je finis toujours par en garder un ! Je commençais à penser que quelque chose ne tournait pas rond chez moi !
Dépitée, je décidais d’aller prendre un dernier verre au bar avant d’appeler un taxi pour me ramener chez moi. Ce début de week-end s’annonçait plutôt mal ! J’étais donc assise au bar, mon verre à la main, en train de ruminer des pensées noires, quand je vis un mec, assis au fond de la salle. Soit il était seul, soit sa copine avait décidé de s’évader pour la soirée. Le plus drôle, c’est que ce gars n’avait rien pour attirer mon attention. Il n’était pas moche, mais c’était loin d’être un canon : trop maigre, habillé trop classique… Pourtant, il y avait quelque chose en lui d’indéfinissable, quelque chose qui fit de lui mon centre d’intérêt !
Ma première idée fut d’aller le rejoindre et d’entamer la discute avec lui. Finalement, pour je ne sais trop quelle raison, je me ravisais et tentais de trouver un moyen pour attirer son attention. Pour cela, il fallait déjà qu’il regarde dans ma direction et cela ne semblait pas être gagné tant il semblait plongé dans ses rêveries ! Enfin, au bout de quelques minutes qui me semblèrent interminables, je vis la tête du mec se tourner vers le bon endroit, celui où je me trouvais. A cette heure-ci, le bar est relativement désert, tout le monde se trouvant dans la salle d’à côté en train de danser sur des slows. Je me redressais donc fièrement sur mon tabouret, croisa et décroisa, de l’air désinvolte que tu me connais, mes jambes afin que ma jupe remonte à la limite de la décence, tout en me tournant vers lui. Nous étions séparé par une vingtaine de mètres et, le bar étant relativement bien éclairé, j’imaginais qu’il devait voir assez de choses intéressantes pour que son regard s’arrête sur moi… J’avais gagné !… ou alors il s’était endormi sur moi…
Je vidais mon verre et appela le barman pour qu’il m’en serve un autre. Ce faisant, j’avais décroisé mes jambes et entrouvert légèrement mes cuisses. Je restais ainsi, sans regarder le gars, jusqu’à ce que mon nouveau rhum coco arrive. Alors, je tournais à nouveau ma tête pour voir où en était la situation et je vis, à mon grand soulagement, que mon plan avait bien fonctionné. Non seulement le mec ne s’était pas endormi, mais en plus il fixait mon regard avec une insistance non dissimulée. Je pris donc mon verre et me dirigea à la table de ma nouvelle proie. Je ne sais comment te l’expliquer, mais ce gars avait un regard incroyablement perçant. Même si j’avais porté une combinaison de cosmonaute, je me serais sentie totalement nue devant lui ; c’était peut être ça qui m’avait attiré alors qu’il y avait tant d’autres mecs plus beaux que lui que j’avais repoussé.
Je n’étais plus qu’à quelques mètres de lui et je sentis des frissons parcourir tout mon corps, la pointe de mes seins devenir très dure…
- Je peux faire quelque chose pour vous ?
Sa voix était douce, posée mais te donnait chaud au cœur. Avant de lui répondre, je lui laissais le temps de me dévisager de haut en bas et là je commençais à sentir ma petite chatte ronronner de plaisir.
- J’ai vu que vous me regardiez avec une certaine insistance quand j’étais au bar.
- Oui, mais je pense que c’est ce que vous espériez, non ?
- Vous êtes bien sûr de vous ! lui répondis-je tout en m’asseyant à côté de lui.
- Tout autant que vous pouvez l’être !
- Vous êtes seul ?
- En tout cas, il semble que je ne le sois plus maintenant !
Telle que je me tenais assise, il pouvait voir que mes dessous s’arrêtaient uniquement à des bas et un porte-jarretelles, mais, la table me gênant, je ne pouvais voir si cela lui faisait de l’effet en dessous de la ceinture.
- Je voulais dire, est-ce que vous êtes venu accompagné ?
- Et si tel était le cas, me répondit-il en mettant une main sur la cuisse, que feriez-vous ?
- Je m’en irais aussitôt, lui dis-je en ouvrant un peu plus les jambes afin de faciliter la progression de la main. Je ne veux surtout pas vous attirer des ennuis avec votre amie !
- Je n’ai pas l’impression, me dit-il tandis que je sentais sa main caresser doucement une cuisse, puis l’autre, que vous ayez l’intention de partir !
Il avait totalement raison. Sa copine aurait pu arriver à ce moment, que je n’aurais pas bougé d’un pouce. Tout au plus, je lui aurais proposé de participer au débat… pour ne pas dire aux ébats !
Je fermais donc les yeux, pour mieux la lente progression de cette main inconnue. Je pouvais voir les doigts se promenant sur mes cuisses, remontant tout doucement au dessus de mon triangle, redescendant brusquement en ne manquant pas d’effleurer mon petit bouton. J’étais parcouru de multiples frissons, frissons qui s’accentuèrent lorsque je sentit le souffle de mon amant d’un soir se promener sur ma nuque.
Je ne pus retenir un premier gémissement lorsque la main encore libre de mon amant glissa sous mon chemisier, progressant tranquillement vers ma poitrine. Sous ma jupe, deux doigts s’étaient emparés de mon clito, jouant impitoyablement avec lui, le faisant durcir de plus en plus. Je me mis à onduler du bas-ventre, comme pour mieux accompagner cette main ; je sentais un feu naissant au plus profond de moi ; ma gorge s’était asséchée et mes gémissements se faisaient de plus en plus pressant, de plus en plus fort. Un instant, je craignis que les videurs ne débarquent. Ce n’était certes pas la première fois que je faisais l’amour dans cette boîte, mais la première où je me donnais ainsi à la vue de tous. Puis le désir l’emporta définitivement sur toutes mes peurs, me faisant perdre toute conscience sur l’endroit où je me trouvais.
Trois doigts m’avaient maintenant perforé, s’amusant à tourner au plus profond de mon intimité, tandis qu’un autre jouait avec mon clito au bord de l’explosion. L’orgasme libérateur était tout proche ; mon corps tout entier s’était mis à trembler sans que je ne puisse rien faire pour le contrôler ; j’étais prête à crier ma jouissance avec la puissance d’un volcan en éruption ; une chaleur bienfaisante m’envahit le bas-ventre : j’allais exploser ! C’est à ce moment que les doigts se retirèrent me laissant sur ma faim. J’ouvris mes yeux et vis le garçon qui s’était levé et m’invitait à m’asseoir à sa place. Surprise, mais excité à l’extrême, je fis ce qui m’était demander sans poser la moindre question. Le gars se glissa alors sous la table et c’est à ce moment que je compris ce qu’il allait s’abreuver du liquide que je sentais se déverser à flot de ma chatte en feu.
Je sursautais lorsque je sentis la tête se glisser entre mes cuisses, mais que ce fut bon lorsque la chaleur humide d’une langue vint lécher mon clito. Le bar était totalement désert et je pus apercevoir le barman nous observer très attentivement. Il avait compris ce que nous étions en train de faire, mais je savais qu’il n’appellerait personne tant le spectacle semblait lui convenir.
La langue ne cessait d’aller et venir entre mon clito et l’intérieur de ma chatte. Le gars contrôlait parfaitement ce qu’il faisait, sachant s’arrêter lorsque mon orgasme arrivait trop prêt. Il me faisait volontairement languir et je m’entendis le supplier de me libérer. A la bouche, vint s’ajouter une main, des doigts me pénétrant au plus profond de ma grotte, me fouillant sans retenue tandis que des dents emprisonnaient délicatement mon clito afin que la langue puisse rouler autour de lui.
Je m’entendis crier tandis qu’éclatait enfin mon plaisir. Mon corps fut pris de spasmes si violents que j’en renversait la table où s’était glissé mon amant. Mes mains agrippèrent sa chevelure du mec ; mes cuisses se refermèrent violemment sur cette tête qui continuait à s’activer entre mes jambes ; j’avais l’impression que mon orgasme n’allait jamais s’arrêter. Il était si violent, que je ne pus retenir une autre envie que j’avais aussi senti venir et qui, cette fois, était dû au trop plein de liquide que j’avais ingurgité.
Je me levais brusquement, tenant toujours le mec par les cheveux, la tête renversée en arrière, et, après avoir déversé ma cyprine dans la bouche de mon amant d’un soir, je lâchais un long flot d’urine sur son visage ce qui me fit partir dans un deuxième orgasme qui me vida de toutes mes forces.

Voilà, mon chère Sophie, ce qui m’est arrivé le week-end dernier. En fait, le deuxième orgasme m’avait tellement vidé qu’il semble que je me sois comme évanouie après. Cela n’a pas duré longtemps, mais assez pour que le mec disparaisse sans que j’aie eu le temps de lui demander qui il était. J’ai bien essayé de questionner le barman, mais il m’a dit que c’était la première fois qu’il le voyait. Néanmoins, je vais retourner dans cette boîte de nuit dès samedi prochain, dans l’espoir de le retrouver… Je te tiendrais au courant !
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Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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