Lundi 25 décembre 1 25 /12 /Déc 20:23

Et bien qu elle belle facons de perpetuer la tradition du canadien !!

toujours aucunne victoire du canadien pour un 23 dec. depuis 1945 et boston ce sauve avec une victoire tres meriter surtout pour la part du gardien de but de boston qui a ete tres efficaces en debut de partie sauvant les meuble a 3 reprise en un peu moin de 5 minute !!

Par pat - Publié dans : sport
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Jeudi 21 décembre 4 21 /12 /Déc 18:21

ouin ouin ouin 2 jour de retard ce ca que ca fais feter trop tard!!!!

Le canadien nous a prouver une fois pour de bon qu il est l équipe de l hrs ds la conference de l est. Le quatrieme trios du canadien a livrée toute une performance artisque et bourré d un souffle de jeunesse avec Latendresse et Lapierre dire que ce dernier est renvoyer ds les mineur apres noel....

bref Christobal Huet a livrée une performance bien meilleur que celle de Miller du cote des Sabre de Buffalo.

Prochain rendez-vous ce soir!!..je vais essayer de vous donner le resumer demain tot ds la journée !!

Par pat - Publié dans : sport
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 17:32
Ce matin, je me suis levée avec une folle envie de baiser tout ce qui bouge!! J'aime le sexe sous toutes ces formes et j'en ai très rarement assez... J'ai un appétit d'ogre pour les bonnes queues que j'engouffrent avec avidité...

À peine les yeux ouverts, je me suis mise à me masturber frénétiquement... Je me roulais la bille comme une effrénée! Hummm quel doux réveil... mes sens en éveil... je me caresse les seins dont la pointe est toute durcie... Ma chatte est trempée et bien désireuse qu'aujourd'hui elle en verra de toutes les couleurs... Ayant atteint l'orgasme, je me lève, à peine rassasiée et je vais à la salle de bain pour prendre une douche. Voici un autre moment dont je raffole... Je peux régler plusieurs jets différents... plusieurs intensités... Je me savonne le corps en entier et ensuite je me le jet le plus puissant... je lève une de mes jambes sur le rebord de la baignoire et le jet se projette sur mon clitoris bien gonflé et l'eau me pénètre également le vagin... Hummm quel délectable sensation... Ces gouttes d'eau qui me martèlent la chatte avec frénésie... Je jouis encore et cette fois, de manière très puissante qui m'en a extirpée un long cri de plaisir... Mais comme je suis totalement nympho, j'en veux encore... Laissant le jet réglé de la même façon, je me tourne, me penche vers l'avant et présente mon bel oeillet à ce jouissif jet... L'eau abondante qui se présente à l'orée de mon anus me fait frémir... J'écarte bien les jambes afin de bien sentir cette somptueuse caresse... Ayant pris soin d'emmener mon gode sous la douche, je me l'insère d'un coup, bien profond dans le vagin pendant que l'eau continue de me jaillir au cul... hummmm ouiiii pour le 3e fois ce matin, j'explose d'un violent orgasme qui m'arrache des cris de satisfaction... Mais la satisfaction dans mon cas est de très courte durée... J'ai bien l'intention de me mettre aujourd'hui et plus d'une fois!! Je me sèche et prend mon petit déjeuner en ayant la tête pleine de fantasme que je compte bien réaliser dans la même journée... Soyez prêtes mes belles queues chéries car moi, je le suis!!

Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 17:24

 


Dans un pays et une époque qui n’étaient pas, finalement, très éloignés des nôtres, régnait Wanda, la reine noire. Elle avait épousé le roi vieillissant et veuf de ce pays, qui n’avait guère de charisme, ni d’habileté pour gouverner. Par ce mariage, elle avait pris la direction du royaume qu’elle menait d’une main de fer dans un gant de soie. D’une beauté fascinante et ténébreuse, la relation qu’elle entretenait avec son peuple était un rapport de domination amoureux et mystique. Hommes et femmes l’adoraient et, lorsqu’elle se montrait en public, se bousculaient l’honneur d’embrasser ses bottes de cuir luisantes. Quand elle rendait la justice, comme elle châtiait elle-même les délinquants, on disait que certains commettaient des larcins uniquement pour enchaînés à ses pieds et être fouettés par elle.

            Quand au vieux roi, elle l’avait installé dans une aile du château, entouré de concubines. Ainsi il s’amusait dans son coin, libre de responsabilités, tandis qu’elle maintenait la cohésion sociale, dans l’amour et l’obéissance. Chacun ainsi y trouvait son compte et coulait des jours heureux.

            Un jour, elle se trouvait dans ses appartements. A ses pieds gisait Hélios, le capitaine des gardes, nu et attaché comme un saucisson, les yeux bandés. Pas que les yeux, d’ailleurs : il venait de subir la morsure du fouet et son sexe était aussi droit que le donjon, ce qui donnait fortement à Wanda l’envie de s’empaler dessus mais une maîtresse authentique ne s’abaisse pas ainsi avec ses soumis ! Elle le laissa à son sort et pendant qu’il réclamait qu’on le batte plus encore, elle alla s’admirer dans sa glace, un grand miroir au cadre d’ébène et d’argent finement ciselé. Elle ne portait sur elle que ses bottes, ses longs gants noirs, la chaînette qui faisait le tour de sa taille et celle qui reliait les anneaux qui perçaient chacun de ses bout de seins. Avant de décider si elle passait à la cravache où à la sodomisation par godemiché, il fallait qu’elle se calme. Sa main gantée de velours vint se poser sur son sexe lisse et trempé. Elle se masturbait en fixant son reflet :

            - Miroir, miroir, murmura-t-elle, dis moi que je suis la plus bandante, la plus troublante, celle qui fait fantasmer tout le royaume…

            Il faut savoir que la reine était aussi sorcière et que son miroir était habité (quelqu’un à un jeu de mot à faire?) par un familier puissant.

- Heu…Je suis désolé, Majesté, mais…Dit une voix dans la glace.

Soudain l’image de la reine disparut, remplacée par celle d’une femme d’environ vingt ans, à la peau tout aussi laiteuse, aux cheveux tout aussi sombres. Nue elle aussi, elle n’était pas épilée et sa touffe d’un noir profond faisait le plus bel effet au milieu de son corps blanc.

            - Mais c’est pas vrai ! Grinça la reine entre ses dents (au moment où elle approchait de l’orgasme, cette image venait de lui casser son excitation) Encore cette petite conne de Blanche !

            Blanche était la fille unique de son époux, le vieux roi. Sa beauté rivalisait avec celle de sa marâtre, en plus jeune, mais si la reine noire était une femme intelligente ayant le sens de ses responsabilités, la princesse Blanche n’avait qu’un petit pois dans la tête (et pourtant c’était une authentique brune, comme quoi…) Elle passait ses journées à minauder et à provoquer tous les hommes. Dans le miroir, Wanda vit sa belle-fille qui se baignait, en tenue d’Eve, dans la rivière qui traversait la campagne, tout en fredonnant « Un jour mon prince viendra » quand elle s’aperçut qu’un homme la regardait. Il s’agissait d’un haut fonctionnaire de la cour. Blanche couvrit le bas de son ventre et ses seins avec ses mains en s’écriant :

            - Voyons, Messire, détournez le regard, je suis horriblement gênée !…

            - Tu parles, grommelait la reine, il lui suffirait d’aller se cacher sous les arbres, où se trouvent ses habits, en plus !

            Mais l’homme s’était dépouillé de ses vêtement lui aussi et venait vers la princesse, la verge fièrement érigée devant lui.

            - Ho la la, Messire, mais c’est de la folie, continuait Blanche sans reculer, et sans quitter le membre (de bonne taille, il fallait bien le reconnaître) des yeux. Vous êtes mariés, je suis une princesse…Non, cela est mal ! Il ne faut pas !dit elle encore en se mettant à genoux et le prenant dans sa bouche.

            - MAIS QUELLE GOURDE ! Explosa Wanda, tout en abattant sa cravache sur les fesses d’Helios pour passer sa colère.

            - Ho oui, Maîtresse ! Merci Maîtresse ! S’écria celui-ci.

            Elle lui asséna un grand coup de botte.

            - Et toi, imbécile ! Au lieu de prendre ton pied, je vais te confier une mission. Blanche s’envoie tous les hommes du royaume, mariés ou pas, il y a des règlements de comptes dans les familles, des crimes passionnels, des suicides…Tu vas me débarrasser d’elle, les intérêts de l’Etat l’exigent ! Demain, tu l’emmèneras au plus profond de la forêt….

            - Oui Majesté, dit Hélios. Là, je la tuerai et je vous ramènerai son cœur dans un coffret…

            - MAIS NON, IDIOT ! On est pas dans un conte de Perrault ici ! Tu la laisses à l’entrée du territoire des nains. Ils sont mes sujets aussi, dans le fond ! Et ils seront contents de la recueillir, les nains manquent de femmes. Comme ça au moins la paix reviendra dans les familles et tout le monde sera content.

            Le lendemain, Blanche fut ravie de l’invitation d’Hélios à une ballade en forêt : le capitaine était un des rares hommes à ne pas encore l’avoir baisée, à tel point qu’elle en mettait son orientation sexuelle en doute. En fait, Hélios était tout entier consacré à la reine et ne s’intéressait guère à cette princesse stupide et nymphomane !

            - Ho la la, capitaine ! Gloussait elle, comme c’est agréable de se promener dans la nature avec vous, en ces jours de…printemps ! Ajouta-t-elle en observant deux insectes accouplés sur une feuille. Vous savez à quoi je pense ? Les gens vont jaser…Mais bon ce que disent les gens, hein…( Elle papillonna des yeux en disant ça)

            Ils s’enfonçaient toujours plus loin dans les bois et Hélios n’avait toujours rien tenté, ce qui commençait à irriter Blanche. Elle décida alors de précipiter les choses. S’éloignant un peu dans un coin touffu, elle se laissa tomber en poussant un hurlement, faisant en sorte de provoquer un maximum de bruit de branchettes cassées, de feuilles froissées…Elle était à genoux, penchée en avant, et retroussa sa jupe dans son dos, découvrant son fessier comme si c’était une conséquence de sa chute, et se mit à crier :

            - Capitaine Hélios ! Je suis tombée et j’ai bien peur de m’être cassée quelque chose ! Venez à mon secours, je vous en prie !

            Il n’y eu aucune réponse.

            Seule une brise tiède vint caresser son périnée ainsi exposé. Elle écarta d’avantage ses cuisses, et en creusant les reins une touffe d’herbe vint chatouiller son clitoris, ce qui fit monter d’un degré la chaleur qui lui brûlait le ventre… et le faisait couler en même temps !

            - Mais qu’est ce qu’il fout ? Ou plutôt…Pourquoi il ne fout pas ?...

            Sur un sentier non loin de là, marchait en file indienne une troupe de nains, sept exactement. Leurs noms ne nous est pas parvenus, même si certains les ont imaginés, sauf celui du dernier de la file. C’était un simple d’esprit, dont la barbe n’avait jamais poussé, qui (signe évident chez les nains de déficience). On l’appelait Gogol (Plus tard un cinéaste politiquement correct adoucit son surnom en « Simplet »). Ces nains, toute la journée, creusaient la terre à la recherche de pierres précieuses. Lorsqu’ils en trouvaient, ils s’empressaient d’aller les revendre en ville pour dépenser l’argent en beuveries et en débauches avec des ribaudes. Quand ils n’en trouvaient pas, ce qui était souvent le cas, pas de ribaudes, alors c’était Gogol qui en faisait fonction, afin de soulager les pulsions priapiques de ses six compagnons. Voila qui explique pourquoi, dans leurs déplacements, il se plaçait toujours en dernier, particulièrement les jours comme celui-ci où les sept rentraient bredouilles. Ils ne chantaient pas une niaiserie sur le fait de rentrer du boulot mais une vieille chanson graveleuse de leur peuple :

 
               « C'est nous, les fiers nains de la mine,
               En outils on est bien fourni,
               Et on sait les astiquer.
               Champions, champions d’la barre a mine,
               Aucun trou n’peut résister,
               Car on sait bien les fourrer. »

(L’air nous est parvenu avec d’autres paroles : « C’est nous les gars de la marine… »)

 

- Halte ! Cria leur chef-il renifla-sentez vous ce que nous amène le vent ?

- Nous sommes loin de la mer, dit un autre. C’est donc une femelle en chaleur.

A pas de loups, guidés par leur odorat aussi développé que leur libido, ils furent bientôt en vue d’un spectacle enchanteur : une jeune personne accroupie dans les buissons, dont on ne voyait qu’une croupe rebondie et blanche, surmontant deux cuisses fuselées, et entre elles, une charmante crevasse bordée de poils d’ébène. Sept nouveaux champignons, à la chair rose et au chapeau rouge surgirent d’un coup dans la forêt…

 

Blanche devait se rendre à l’évidence, rester dans cette posture ne servait à rien, Hélios était parti.

- C’est donc vrai qu’il est pédé ! Se dit elle amèrement.

Mais au moment où elle allait se redresser, elle se sentit brusquement pénétrée par un membre comme elle n’en avait jamais connu auparavant.

- Ho ! Quelle énorme…Erreur ! S’écria-t-elle, regrettant aussitôt ses idées sur l’homosexualité du capitaine. Il la remplissait par des va et viens d’une vigueur qui lui faisait oublier bien des anciens amants…

- Mon Dieu, Capitaine, haletait-elle, Hooooo !!!! Dès demain je vous fait nommer commandant ! Non je vous fait nommer colonel ! NON !!!!! GENERAL !!!!

Elle avait jouit plusieurs fois quand elle se sentit inondée de long jets chauds…Mais avant qu’elle n’ai le temps de se retourner, radieuse, pour faire face à son bienfaiteur, elle était à nouveau possédée, transpercée par une longue tige.

- Capitaine ! Comme je comprends que vous soyez chef d’un corps d’élite ! Toujours prêt à repartir à l’assaut !

            Six fois d’affilée elle fut ainsi prise. Comme il y eu une accalmie, elle osa timidement demander :

            - J’ai lu dans un magazine qu’en numérologie, le six n’est pas un bon chiffre…Le sept, par contre…Elle n’eu pas le temps d’achever sa phrase. Elle poussa un grand cri : elle était exaucée, mais pas par le même orifice que les six premières fois. Certes, son petit trou en avait vu d’autres, mais dans des proportions plus modestes ! Elle eu d’abord mal, puis s’habitua, et, accompagnant la manœuvre avec ses doigts par devant, finit par avoir un orgasme encore plus fort que les précédents.

            Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle fit enfin volte-face, de voir non pas Hélios, mais sept petits hommes barbus (sauf un)  avec des sexes qui, au repos, leurs descendaient jusqu’au genoux. Celui qui semblait être le chef (Son engin était un peu plus long que celui des autres) ôta son bonnet, qu’il avait gardé jusque là (MESSAGE PEDAGOGIQUE : FAITES COMME LES NAINS ! BAISEZ COUVERTS !) Et fit la révérence.

            - Gente Damoiselle, veuillez excuser les manières de Gogol, qui vous a visitée en dernier…Il est, disons…différent ! Et ignore les bonnes mœurs…

            - Hum, dit un autre, on ne lui a peut être pas donné le « bon exemple » non plus…

            - Mais ne vous excusez pas, Messire, répondit Blanche. Je vois que si vos tailles sont petites vous n’en êtes pas moins des gentilshommes fort bien mont… heu…élevés !

            Sur ce, elle entreprit d’éclater en sanglots.

            - Aidez moi, je vous en supplie ! Je suis la princesse Blanche, un officier félon m’a perdue en ces lieux sauvages !

            - Ma foi, dit le chef des nains, nous habitons une coquette maison non loin d’ici, et nous vous y accueillerons de bon cœur. Vous serez notre pu…notre amie, et nous serons aux petits soins avec vous !

            - Je crois que j’aimerai vos « petits soins » ! répondit Blanche en passant des larmes au grand sourire….

 

            Avec Blanche à demeure, plus besoin pour les nains de louer les services des ribaudes de la ville ! Plus besoin donc de passer leurs journées à chercher des pierres précieuses dans les souterrains ; ils pouvaient à la place explorer d’autres grottes, qui recelaient bien plus de merveilles que le meilleur filon ! Restait à savoir comment gagner l’argent nécessaire à leurs autres vices : l’alcool, le tabac, l’herbe, etc…La solution fut vite trouvée.

 

            Quelques temps plus tard, la reine noire se livrait à une de ses séances qu’elle affectionnait : Hélios était à genoux devant elle, poignets et chevilles attachés. Il se tordait discrètement, le fondement en feu à cause de la racine de gingembre qu’elle lui avait introduit dans l’anus (Elle venait de découvrir cette pratique dans un de ses vieux grimoires). Il honorait consciencieusement le clitoris de sa maîtresse avec la langue, tandis que celle-ci, d’une main s’excitait les seins en tirant sur la chaînette qui les reliait, et de l’autre fouettait son esclave avec une vigueur qui augmentait à mesure que le plaisir montait en elle. Elle ne perdait aucune miette de la scène en la suivant dans son miroir. Sentant arriver l’explosion, elle murmura dans un râle :

            - MMMMM !!!!!Miroir, miroir ! Dit moi que je suis la plus bandante, la plus cochonne, la plus…

            Encore une fois, le reflet disparut, faisant cette fois place à la silhouette d’une fée rousse, qui n’était vêtue que de brins de muguets sur ses seins et d’une rose sur son ventre.

            - Bonjour, Majesté, je suis Gauchplurielle, déléguée CFDT (Cercle Fées Délurées du Terroir) du petit peuple de la forêt…

            - Si c’est encore pour me réclamer une augmentation de la prime spéciale d’ensorcellement du solstice d’été, ou du paiement des heures supplémentaires de la nuit d’Halloween, cela pourrait attendre ! Fulmina Wanda, furieuse d’être encore arrêtée au bord de l’orgasme par son miroir. « La prochaine fois je le déconnecte avant ! » se dit elle.

            - Font chier les syndicats! Grommela Hélios, qu’elle venait d’éloigner de son sexe.

            - C’est bien plus grave, Ma Reine ! Sinon je ne vous aurais pas dérangée. Toute la forêt est en émoi. Ses habitant mâles nous délaissent, nous, les créatures féminines. Regardez plutôt ce qui se passe chez les sept nains chercheurs de diamants !

            Dans le miroir, Wanda vit la clairière où se dressait la maison des nains. Devant, s’étendait une longue file d’attente composée de lutins, d’elfes, de mages…A la porte, le chef des nains encaissait des poignées de pièces, des tonneaux de bière, des sacs de tabac ou d’herbe, comme prix d’entrée.

            - Poussez pas derrière, criait il. Surtout dans l’état d’érection où vous êtes ! Y’en aura pour tout le monde ! Chacun son tour comme à con-fesses !

            De l’intérieur de la maison, parvint une voix bien connue :

            - Ho la la, Messire Gandalf ! Comme votre bâton est noueux ! On vous appelle « Le gris » mais vous êtes encore vert ! Comment ? C’est mon anneau qui vous intéresse ? Et vous êtes un seigneur dans ce domaine ? Ho ben vous alors !

            - HA NON ! fit Wanda, levant les yeux au ciel. Encore elle !

            - Ma Reine, supplia la fée, cette mortelle a dévoyé tous nos maris et nos amants. Certaines sont furieuses et veulent jeter un sort sur le royaume d’où elle vient, en frapper les hommes d’impuissance, ou les rendre tous sodomites !

            - Pas question ! S’écria la reine. Ne craignez plus, je me charge de mettre un terme à cette chienlit !

            Wanda se mit donc à consulter frénétiquement ses grimoires, puis le « Magazine de la sorcière moderne », dans les pages « Vente par correspondance ».

            - Voyons… « Rouet ensorcelé …  Qui se pique le doigt avec s’endort pour au moins cent ans ! » Tu parles, elle risque pas de se piquer en filant, elle a jamais rien foutu de ses dix doigts… « Pomme empoisonnée» Elle croque la pomme tous les jours, mais pas comme ça !

            Elle tourne la page.

            - Ha ! Tiens ! Voila qui devrait faire l’affaire !

            D’abord elle se transforma, usant de sa magie elle prit l’apparence d’un mage barbu et se rendit à la maison des nains. Contournant la foule qui attendait son tour, elle sonna à la porte de derrière. Blanche vint ouvrir. Elle sortait du bain et n’avait qu’une serviette autour d’elle.

            - Alors, grand coquin, s’écria-t-elle en voyant un homme, comme ça on resquille en passant par derrière ? Mais par derrière… c’est plus cher ! Qu’est ce que vous m’avez amené comme petit cadeau ?

            -Je me présente, dit Wanda sous son apparence masculine. Je suis le mage Fallik, de la confrérie Démonia. Nous fabriquons des films, des gadgets, de la lingerie…

            Blanche prit un air offusqué.

            - Mais pour qui me prenez vous ? Je suis une fille honnête, moi ! J’ai du sang royal ! Je ne veux pas de vos cochonneries, j’attends mon prince qui viendra un jour et nous aurons beaucoup d’enfants…D’ici là je resterai vierge jusqu’au mariage, comme Britney Spears… Tiens, le premier je l’appellerai Britney si c’est une fille ! Et Brandon si c’est un garçon ! Et on vivra dans une chaumière à la campagne, en harmonie avec la nature, on fera du yoga, on mangera bio et…

            - Ne vous méprenez pas, répondit le « mage ». Voila mon cadeau. Un œuf vibrant super performant, avec télécommande et une pile magique dont la durée de vie est de cent ans !

            Il sortit de sa poche l’œuf en question, dont la forme était, allez savoir pourquoi, celle d’une petite pomme.

            Blanche battit des mains

            - Waouh ! Cent ans ? Quel beau cadeau ! Je peux l’essayer tout de suite ?

            - Bien sur !

            Et sans autre cérémonie, elle introduisit le gadget dans son vagin déjà trempé.

            Le faux mage appuya sur la télécommande

            Blanche ouvrit grand la bouche (bon, ça, elle avait l’habitude…)

            - HHHOOO !!!C’esssttt…TRRRROOOPPP BBBoooonnnn…Je déffaiillllleee !!!!

            Et elle tomba sans connaissance sur le sol.

            Wanda éclata de rire. Cet œuf-pomme diabolique émettait une vibration aux effets maléfiques qui plongeait la victime dans un profond sommeil. La reine repartit et jeta en passant la télécommande au fond d’un puit…La pile durait cent ans…Le problème Blanche était résolu !

            Quand les nains la trouvèrent, un peu plus tard, ils tentèrent de la réveiller par tous les moyens, en la giflant, en lui pinçant les seins, en criant « Oui, entrez, Monsieur Johnny Deep ! » mais rien n’y fit. Elle restait sans réaction, allongée sur le sol, sa serviette de bain avait glissé a coté…

            - Merde merde merde ! dit le chef. Qu’est ce qui est arrivé ? Une overdose ? Et tous les clients qui attendent…

            Dehors, on commençait à s’impatienter et à scander « Blanche ! Blanche ! »

            - Messieurs, cria le chef des nains, Blanche n’est malheureusement pas en mesure de continuer ses prestations !

            Hurlements dehors :

            - HHHOOUUUUU !!!! HHHOOOUUUU !!!! ON VEUT BAISER !

            - Calmez vous, Messieurs…en dédommagement je vous offre un autre petit cul bien dodu…Profitez en, c’est la maison qui régale ! Dit le chef en poussant Gogol dehors. Il se hâta de refermer la porte, derrière laquelle il y eu du remue-ménage.

            -Hummm…Dit il en regardant à nouveau Blanche inanimée…Remarquez; la voir comme ça, allongée à poil par terre, ça me donne une idée !

            - Bien sur, dit un autre, à moi aussi, mais si elle bouge pas, qu’on n’a pas ses coups de reins et ses petits cris aigus, c’est pas mieux qu’une poupée gonflable !

            - Mais non, pas ça ! Je pensais qu’on pourrait la mettre dans une châsse de verre et la montrer moyennant finance…Ca rapportera moins mais ça fera une petite rentrée d’argent quand même !

 

            Quelque temps plus tard, passa dans la région le prince Dark, du royaume des Goths. Son visage d’une grande beauté mélancolique était encadré de longs cheveux aussi noirs que ses vêtements et que son cheval. Il portait une petite barbiche et des anneaux métalliques transperçaient sa lèvre, son arcade sourcilière droites et son oreille gauche (Oui, c’est bien lui qui à lancé la mode !) Il sortait d’une déception sentimentale : Akasha, la Reine des vampires, n’avait pas voulu l’épouser, lui qui rêvait de vivre dans une grande nécropole et d’y faire venir Craddle of filth pour un concert d’enfer ! Il allait donc, traînant son spleen de par le monde, suivi de ses troubadours qui jouaient une musique décadente et morbide.

            A la croisée d’un chemin, il vit soudain un panneau publicitaire :

            A deux minutes d’ici :

            LA VERITABLE BELLE AU BOIS DORMANT !

            Exposée dans sa chasse de cristal

            NE PASSEZ PAS VOTRE CHEMIN SANS VENIR LA VOIR !

            (En effet, à l’époque, il n’existait pas de copyright, et les nains, cupides, n’hésitaient pas à usurper un titre pour attirer les touristes…)

            Piqué dans sa curiosité, le prince Dark suivit la direction indiquée et arriva à la maison des nains, qui était transformée en boutique. Ils y vendaient l’image de Blanche endormie, sous la forme de figurines, d’assiettes imprimées, de magnets, de T-shirts, etc…Il paya le prix demandé et fut introduit dans la chambre où elle reposait, nue dans sa boite translucide, éclairée par des bougies. Négligeant de louer le casque qui racontait l’histoire (considérablement enjolivée) de la princesse, il se mit à considérer, fasciné, sa beauté, la blancheur de sa peau, la noirceur de ses cheveux et de son pubis, son immobilité qui la faisait ressembler à une morte…

            - Puis je la toucher ? Demanda-t-il au chef des nains

            - Pas question ! Vous risquez d’abîmer la marchandise !

            Dark sorti un sac de pièces d’or et les tendit au nain.

            - Bien sur, Monseigneur, je vous laisse en sa compagnie…

            Le prince, resté seul, ouvrit la châsse et se mit à caresser Blanche comme un fou…Une érection monumentale souleva sa culotte. Depuis longtemps il se sentait des tendances nécrophiles, et il allait réaliser un de ses fantasmes les plus inavouables ! Emporté par une excitation hors du commun, il souleva les jambes du corps en léthargie et le pénétra avec force…

            Mais à peine son sexe était il arrivé au fond du vagin que le piercing qu’il portait au prépuce entra en contact avec un objet vibrant, provoquant un bruit similaire à la sonnerie d’un vieux réveil, tandis que des secousses désagréables le parcouraient.

            - Putaiiinnnnnnn….qqquu’’essstttt ccee qquuee ccc’’’essstt qqueeee cceee bbboorrddeeellll !!!!

            (Le style particulier de la ligne du dessus est censé suggérer un homme en train de vibrer, ce qui n’est pas facile à rendre en écriture…)

            Il se retira et fouilla avec ses doigts l’intimité de Blanche : il en sorti un gadget en forme de pomme, qui émettait des vibrations à grande vitesse. Il le jeta au loin, furieux de l’interruption, et se glissa à nouveau dans le coquillage de la princesse. Il fit deux allers-retours quand « la morte » se réveilla et l’emprisonna de ses jambes en criant :

             - HOOOOOO !!!!Mon prince ! Enfin te voila ! Ho la la j’adore ton look ! Mais dites moi Monseigneur, n’êtes vous pas en train d’abuser d’un instant s’assoupissement d’une jeune fille ? Ho dites donc c’est pas beau ça ! Mais ne ralentis pas le rythme voyons ! Dis donc tu es de quel signe ? Attends laisse moi deviner…Tu es cancer, non ? J’ai un bon feeling avec les cancers…Ou alors sagittaire ? Parce que moi j’ai la flèche du sagittaire en plein dans ma lune et j’ai une copine qui est très branchée astro qui me disais un jour : « Blanchette… »-oui parce qu’à l’école on m’appelait toujours « Blanchette » et même qu’un vieux du quartier, Monsieur Seguin, un jour m’a amené dans sa bergerie et…- Enfin là je m’égare donc ma copine elle me disait « Blanchette… »…

            - Princesse, l’interrompit Dark. Je veux vous emmener dans mon royaume et vous épouser. Je ne vous demande que deux choses…

            - Mais ce que vous voudrez mon Prince ! Moi je suis une romantique tu vois, du genre…

            - UN ! Cria le prince : QUE TU FERMES TA GEULE ! Deux : Quand on fera l’amour tu feras la morte, comme tout à l’heure ! Et nous vivrons heureux….

            Ainsi Blanche partit sur le cheval noir du prince Dark, tandis que les nains chantaient :

 

            Aïe ho Aïe ho

            Elle s’en va au galop

On a la gaule mais y’a Gogol

Pour se consoler

On va tous l’enculer !

 

Ainsi le royaume de Wanda, et la forêt avaient retrouvés leur harmonie. Blanche et le prince vécurent heureux, donnant des soirées gothiques où Dark, qui était généreux, la partageait avec ses amis et comme elle faisait la morte elle se taisait, mais appréciait de recevoir du monde dans son cercle (Attention, y’a une astuce). Quand aux nains, plutôt frustrés, leurs descendants se défoulèrent dans la guerre et la conquête ; un d’eux fut empereur des français au XIXeme siècle, un autre ministre de l’intérieur au XXIeme…Mais ceci est une autre histoire !
Par Shelly Doll - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Samedi 16 décembre 6 16 /12 /Déc 02:33
Notre soirée nocturne à 3 couples et + +, qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : » en 4 Séquences.

1ère Partie


Pour comprendre ce que nous avons vécu ce Vendredi 20 Mars, il faut vous dire qu’avec deux couples amis (de 25 à 55 ans) ayant les mêmes besoins (sexuels, fantasmes s’entendent…), aspirations mais parfois sur des orientations toutes aussi excitantes mais parfois différentes, avions prévus de dîner ensemble dans un restaurant anciennement routier, à environ 50-60 kms de Bordeaux en direction de Paris. Bien pratique, ce petit resto servant jusqu’à minuit trente. En fait tous les six, notre objectif était de nous retrouver ce soir là pour nous émoustiller, nous « chauffer » et que l’on parte après chacun de notre côté pour que couple par couple après, nous vivions un fantasme propre à chacun et que nous nous retrouvions 15 jours après chez l’un de nous, pour que nous puissions nous raconter nos aventures. Heureusement que nous avions réservé. Anne-Marie et moi (Bernard) avions rencontrés le patron (José), environ 60 ans, très sympa, pour lui expliquer que nous voulions dîner avec nos compagnes, mais tout en étant corrects, avions envie de nous amuser et que le thème de notre soirée, était le « libertinage gentil ». Il nous dit « Ok », mais pas d’orgie !!! » Et il rajouta, « J’attire votre attention quand même, en vous disant « tout d’abord bien qu’après votre arrivée je fermerai le resto, question de sécurité et pour éviter les problèmes avec la police je ne suis pas maître des réactions de mes clients, néanmoins je les connais pratiquement tous et je mettrai le HOLLA s’il devait y avoir des débordements. De plus sachez que dans mon restaurant il n’y a pas de tables distinctes, parce que les clients s’installent les uns à côté des autres au fur et à mesure qu’ils arrivent, néanmoins on lui avait demandé de nous laisser des places pour que nous soyons à côté les uns des autres ». Entendu nous dit-il ! Et nous avons bien sûr accepté. La petite salle était pratiquement pleine (environ 20 à 25 personnes avec nous).
Il faisait une chaleur exquise, un doux feu avait été allumé au fond de la salle dans la grande cheminée paysanne.
Nos amis Gérard et Eliane ( les plus âgés : 52 et 55 ans) arrivèrent les premiers vers 21h45, et nous attendirent au bar. Eliane ( 1,72 m) cheveux châtains, grande bouche rouge sensuelle avait une robe longue fendue sur le côté jusqu’à la hanche laissant apercevoir le lien rouge de son string, un chemisier vert/rouge bien échancré faisant ressortir sa poitrine avec ses seins généreux et bien sûr sans soutien-gorge
Quelques instants plus tard nous arrivions Bernard (53 ans 1,70) et moi (Anne-Marie 46 ans – 54 kg) dans la même voiture, qu’avec nos amis Christian et Katharina (lui 37 ans 1,96 m et elle 34 ans 1,65 m).
Ce sont nos meilleurs amis depuis plusieurs années avec qui nous partageons beaucoup de choses.
Moi Anne-Marie, toujours avec la même tenue qui émoustille toujours Bernard et les hommes en général : sans culotte jupe très mini noire avec un haut couleur verte fluo dont le bas était à mi-galbe de mes jolis seins tendus très échancré au-dessus ; quant à Katherina toujours hyper aguichante, elle aussi mini jupe très courte en coton noir (malgré la saison) assez serrée à la taille et fendue des côtés gauche et droit, recouverte d’un chemisier en soie blanche décolleté assez transparent, style « empire », très arrondi dont le liseré supérieur passait légèrement au-dessus de ses tétons laissant apercevoir une grande partie de l’aréole, donc bien sûr, elle aussi, sans « jule » mais avec un long châle jeté en biais sur sa poitrine.

Nous rejoignimes Gérard et Eliane qui nous attendaient un verre de champagne à la main. Nous fîmes de même et nous installâmes sur des tabourets de bar, haut sur pattes tournés vers la sale. Je ne vous dis pas le brouhaha et les regards / dévoreurs portés sur nous, qui ne se trouvaient à pas plus de 3 – 4 mètres de nous. Nous les filles étant assises assez haut, nos cuisses étaient à la hauteur des yeux des « mâles » qui étaient assis en face de nous. Je commençais comme Katherina, à être en feu. Je m’étais rapproché du bord du tabouret, et sans regarder la salle, j’entrouvrais légèrement mes cuisses pour faire apparaître quelques secondes ma toison et les refermais en croisant mes deux jambes l’une sur l’autre. Tout cela m’excitait d’autant plus que mon ami Gérard me caresser doucement les fesses par derrière… Katherina pendant ce temps là avait enlevé le châle qui recouvrait son buste, et mon diable de mari passait ses mains sur les flancs, sous le chemisier en palpant les seins de mon amie, qui elle aussi entrouvrait ses cuisses. La sale était en ébullition.. Nous finissions nos coupes de « champ » quand le patron nous demanda de nous installer et de prendre place à la table unique…. Et là qu’elle ne fut pas notre surprise… La table était pratiquement occupée par des hommes entre 30 et 60 ans, certains étaient réellement pas mal. Tous nous dévoraient des yeux. En fait nos six places n’étaient pas regroupées ; nos trois hommes se trouvaient d’un côté de la table, mais pas côte à côte et nous pratiquement en face d’eux, mais à chaque fois avec un ou deux routiers intercalés entre chacune de nous. Bernard, Gérard et Christian souriaient et paraissaient amusés de la situation de notre embarras.

Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ? Socratos007 ( Anne-Marie et Bernard


Suite 2ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »

Dès qu’ Eliane fut assise l’homme à sa gauche aux épaules de déménageurs, n’arrêtait pas de plonger son regard dans son décolleté profond et très ouvert, pendant que sa main commençait déjà à passer par la fente de sa jupe longue fendue et lui caresser sa cuisse droite et son bas ventre. Au sourire de Gérard qui était en face, elle comprit que cela l’excitait, et elle se mit à ouvrir ses cuisses largement. Le beau brun qui était à sa droite profita de l’aubaine pour y insérer sa main et glisser ses doigts sous son string… Je voyais Eliane qui commençait légèrement à osciller ses fesses.
Pendant qu’Eliane était très occupée… Christian s’est levé pour aller à la table du buffet où se trouvaient les nombreuses entrées. Je (Anne-Marie) le suivait accompagné de Katherina.
Quelques secondes après, plusieurs hommes se levèrent, prirent des assiettes et se mirent soit à côté de nous deux ou se mirent de l’autre côté de la table, en face de nous. Au bout d’un moment Katherina fit le tour. Nous étions ainsi toutes les trois réparties à peu près à égale distance les une des autres. Rapidement les espaces furent comblés par la gente masculine.
Tout d’un coup je sentis qu’une main effleurait mes fesses sur ma jupe. Me retournant je vis le joli sourire de Christian. Tout en continuant sa caresse il m’embrassa furtivement dans le cou. Sa main continua et passa sous ma jupe, elle était directement sur ma croupe. Puis je sentis sa deuxième main qui avec une extrême douceur glissa sur ma chatte qui déjà mouillait abondamment, ses doigts glissaient et tournoyaient légèrement sur mon clitoris. J’étais très excitée et fléchi légèrement sur mes jambes pour qu’il appuie plus encore son attouchement délicieux. Pour faciliter cet attouchement, je me penchais réellement en avant pour choisir en face de moi une tranche de jambon, mais surtout pour faire regarder mes seins qui sortaient pratiquement de mon chemisier vert fluo à l’homme qui était en face de moi (je suis très exhibitionniste, et j’adore m’exposer subjectivement devant des hommes…). Quand je relevais les yeux pour voir l’homme qui devait se rincer l’œil, j’ai eu un choc, mais au demeurant extra. Celui qui en fait était en face de moi, c’était Christian !!! J’étais persuadé que c’était lui qui me fouillait ma chatte humide, mais alors qui était-ce ? Je me retournais et j’ai vu que c’était deux routiers qui m’entreprenaient. J’étais tellement dans les nuages
et l’excitation forte que je les ai laissé continuer. Le deuxième routier ouvrit mon corsage et se mit à peloter mes seins tendus qu’il embrassait avec fougue. Il déposa mon assiette de jambon et tous deux m’amenèrent à l’arrière de la salle sur une banquette.

Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ? Socratos007 ( Anne-Marie et Bernard


Suite 3ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »
Je « cria » et appela Bernard qui vint nous rejoindre et participa un peu à la joute, mais surtout tint à affirmer qu’il était hors de question d’avoir un rapport sexuel, une pénétration. En dehors de cela la liberté était grande si elle était voulue, désirée par les trois femmes. De toute façon il fallait qu’au plus tard nous soyons partis avec l’accord du patron, à une heure du matin. Celui (Jean) qui m’excitait sur mon clitoris me demanda s’il pouvait me sucer et si la réciprocité était possible. Je leur répondit bien sûr qu’oui s’ils se lavaient avant et si au moment de la fellation cela me disait… Allongée complètement nue sur le dos sur la banquette, cuisses écartées, Jean enleva son jeans et je vis son sexe gonflé sous son boxer. Je lui pris la main pour le rapprocher de moi et lui caressa son sexe en mettant une main dessous pour le masturber un peut et sur son caleçon. Son deuxième copain Eloïd (camerounais de 41 ans) qui me caressait les seins au début, pris la place de Jean, mis sa main sur mon ventre et plaqua sa bouche charnelle sur mon clitoris et mes lèvres. Jamais je n’avais été sucée de cette façon là. Avec la langue sublime il allait de mon clitoris aux lèvres de ma chatte et quand il revenait sur mon clito il introduisait son index pour masturber mon point « G ». Il me fit jouir en me suçant pendant que Jean éjaculait sur mes seins sous le regard amoureux et sensuel de Bernard.
Ce fut vraiment l’extase. Après avoir enlevé le sperme de ma poitrine, toujours nue, je me blottis dans les bras de mon mari qui me caressait avec beaucoup d’amour et de douceur. Après quelques instants, je me rhabillais et allions remplir notre assiette pour nous restaurer. J’avais une fin de loup. Nous sommes revenus nous installer à la grande table commune, face à la table de hors d’œuvres où le « spectacle » continuait…
Pendant que je mangeais à côté de Jean, Eric un gars qui fait la liaison entre Bordeaux et
Vérone en Italie, frottait sa cuisse contre la mienne. Il prit ma main pour que je la pose sur son pantalon.
Il avait défait son pantalon, l’avait baissé. Il voulait que je le masturbe. C’était un beau barbus, j’étais épuisée, mais trouvant néanmoins très agréable la caresse que je lui faisais sur sa verge tendue et son gland rougeâtre et m’ouate ; je lui glissais à l’oreille que j’aimais bien le peloter mais que je n’irais pas plus loin. Il s’en contenta joyeusement en me caressant doucement les seins sous mon chemisier. Ces attouchements très doux continuaient et finissaient très agréablement l’envolée que j’ai faite tout à l’heure avec « mes 3 Hommes ».
Maintenant on regardait ce qui se passait devant nous. Pendant mes ébats, je n’ai pas vu comment les choses se sont terminées avec Eliane (mais ce qu’elle a fait est super je vous le raconterais peut-être une prochaine fois).

Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ? Socratos007 ( Anne-Marie et Bernard

Suite 4ème Partie « Notre soirée nocturne qui s’est déroulée le 20 Mars 2006 : »

José, le patron du resto/bar (réellement super cet homme là !) avait poussé la table à hors d’œuvre sur roulettes, et avait improvisé un espace de danse, et tout autour avait disposé des chaises pour délimiter et qui avaient été très vite occupées par une dizaine de gars de la salle. José avait mis une série de slows très langoureux et sensuels des années 60 (Alain Barrière, Adamo …) Katherina dansait et collait contre le torse poilu de José qui lui caressait les cuisses fermes et rebondies sous sa jupe noire. Gérard était plaqué contre elle par derrière, uniquement en caleçon.
Après deux trois tours de piste, Gérard laissa sa place et vint s’asseoir à côté de nous.
José toujours lové contre elle, dansant son slow, puis s’arrêtant devant la première chaise occupée, poussa légèrement Katherina qui s’assit sur les genoux de l’homme pendant 1-2 mn.
Celui-ci lui enleva sa jupe noire lui caressa les cuisses et les seins. Elle se releva toujours lovée contre José, sans jupe maintenant, uniquement avec son chemisier en soie blanche très transparent.

José refit le même scénario encore pendant 6 chaises. A cette chaise, le mec était nu faisant ressortir son « pieux », les bras levés en arrière. Katherina ne dis rien, se mis à genoux, et commença à lui faire une fellation torride et il jouit dans les deux mains de la belle danseuse.
Je vous rappelle que nous étions pour les plus éloignés au maximum à 3 m du spectacle.
Toujours à côté de Bernard que je branlais activement, l’envie m’étant revenue, aidée par tout ce spectacle, j’écartais grandes mes cuisses offrant mon sexe et ma toison épaisse à la bouche d’Eric, qui s’était mis sous la table et me suçait ma chatte et mon clito avec frénésie.
Que c’était bon!!! Voyant que Bernard allait y arriver, je pris la chevelure d’ Eric et appliqua de toutes mes forces sa tête sur mon sexe pour réellement sentir sa langue sur mon clito et ma vulve. D’autres mecs s’étaient rapprochés de nous, nous voyant en extase. Mes bras étaient levés en arrière et « des » mains se sont mises à me caresser partout, les seins, les flancs, le dos, les cuisses. Un de mes partenaires m’embrassa alors sur la bouche de façon très sensuelle, et tout en re sentant sa langue sur la mienne Eric me fit jouir et hurla de plaisir.

Je reviens à Katherina qui avait pratiquement achevé son petit tour. José l’avait déposée nue, allongée sur les trois dernières chaises occupées. Les trois types la caressaient , elle était très détendue, bras et jambes écartées. Le spectacle était super elle se faisait caresser, sucer par ces 3 hommes, pendant que José se faisait faire une fellation par elle. Katherina aimait ce genre de situation et de plus était très endurante.

José jouit dans la bouche et éjacula tout son sperme brûlant dans la gorge de Katherina, qui en même temps lui caressait les testicules énormes re sentant chacune des glandes des couilles de José.
On s’est tous rhabillés et après avoir soufflé un instant, nous embrassions nos hommes d’un instant et repartirent. Ils étaient 01h30.
Cette Soirée fut inoubliable. On est tous d’accord pour y revenir !! A nous maintenant comme prévu, de réaliser un fantasme par couple, et de nous retrouver dans quinze jours ou un mois pour tout nous raconter de nos « exploits ». Mais déjà, cette soirée très réussie, m’inspirait sur la suite de nos évènements.
A très bientôt.
Rappel : …Cette soirée c’est réellement déroulé comme racontée ici. Vous pouvez bien sur me répondre, nous apporter des suggestions ou des idées de fantasmes si vous le souhaitez, que nous pourrions réaliser s’ils nous plaisent, et qu’on pourrait après raconter sur ce site, qu’en pensez-vous ?
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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