Lundi 8 janvier
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18:31
Car grâce à vous, je viens de passer un week-end délicieux que je vais vous relater. Mes récits publiés dernièrement, bien appréciés des lecteurs (merci !) ont amené certains lecteurs à m’écrire des mails pour me dire combien mes récits leur avaient plu. Notamment un correspondant, Antoine, qui m’a laissé mardi un message très sympa auquel j’ai répondu. Le lendemain, j’ai trouvé de nouveau un long message de sa part et un numéro de téléphone. La conversation fut très agréable et nous avons convenus de nous retrouver samedi en fin d’après-midi pour prendre un pot.
J’avais répondu également à plusieurs autres correspondants dont un, François, qui m’avait expliqué qu’il avait eu une amie qui portait souvent elle aussi des débardeurs moulants à col roulé, et que cela l’excitait beaucoup. Je l’ai eu au téléphone vendredi et lui aussi m’invita à prendre un pot samedi. Sa façon de parler, sa douceur, m’attiraient beaucoup mais j’ai du lui expliquer que j’avais déjà pris rendez-vous. Nous avions envie de nous rencontrer, aussi nous avons décidé de nous retrouver en début d’après-midi dans un centre commercial car j’avais prévu de faire du shopping.
J’ai alors téléphoné à Antoine pour lui préciser le lieu du rendez-vous pour le pot. Après lui avoir donné quelques explications, il m’a proposé lui aussi de m’accompagner, avec François, durant ces soldes. Cela m’excitait un peu d’être avec eux deux, bien qu’en même temps j’étais inquiète de savoir comment nous allions nous entendre. Sans trop réfléchir, je répondis :
- pourquoi pas !
Samedi en début d’après-midi, nous nous sommes donc retrouvés et heureusement le premier contact a été excellent. Antoine était très baraqué et, beurette de petite taille, je semblais toute petite à côté de lui. François, un grand blond mince m’a tout de suite séduit par son charme, sa prestance, sa douceur. Je ne suis pas exhib mais j’ai aimé me promener ainsi entre mes deux hommes. L’insolite de la situation était grisant, d’autant plus que cela se passa avec grand humour, voire de franches rigolades !
Il faisait froid samedi mais je me doutais qu’il allait faire chaud dans le centre commercial. Aussi dans ces cas, je m’habille légèrement et par contre je prends un gros manteau bien chaud. J’avais donc mis un top moulant à col roulé à même la peau, je savais que ça allait plaire à François, une jupe évasée et mes bottes. J’ai effectivement passé l’après-midi, le manteau sur le bras.
Nous arpentons de nombreuses boutiques, échangeant quelques baisers ou de furtives caresses qui étonnent les personnes que nous croisons. Mais Antoine, toujours très pince sans rire, met une ambiance d’enfer. Ses mots très drôles m’amusent beaucoup et en surprennent plus d’un ! C’est souvent qu’il cite une pensée de Wolinski. Il en connaît des tonnes !
Nous nous arrêtons dans une bijouterie. Je désirais acheter depuis longtemps un collier que je vois à prix réduit ce jour-là. C’était l’occasion donc ! Après l’avoir sorti de son écrin, la vendeuse le pose sur moi. Elle frôle mes tétons qui pointent sous la maille et qui durcissent immédiatement. François s’en aperçoit vite et bien que très réservé me fait un clin d’œil. Antoine n’en rate pas une pour sortir une blague qui nous fait tous rire, la vendeuse également. Ces blagues auraient pu être salaces mais dites si joliment, elles mettent de l’ambiance ! Je suis assise à une petite table face à un miroir, François, debout derrière moi, vient de passer ses bras par-dessus mes épaules et tout en admirant le collier, me caresse les seins. La vendeuse, assise à côté de moi en rougit ... Antoine en rajoute en plaisantant sur moi, ce qui fait encore plus rougir la vendeuse !
- Vous êtes bien jolie ! "Un des derniers privilèges des hommes, c’est que nous n’avons pas besoin d’être beaux pour séduire" ... encore une pensée de Wolinski !
Poursuivant nos courses, je remarque qu’Antoine se retourne de temps en temps lorsque nous croisons une femme vêtue d’une jupe assez courte. Là aussi, ses remarques surprennent parfois l’intéressée, mais elles sont toujours très drôles et généralement cela amuse !
Passant devant une boutique de vêtements cuir, Antoine propose de m’offrir une jupe droite courte. C’est son truc me dit-il. En général, je préfère une jupe évasée, c’est plus facile pour s’asseoir.
- "Ce qui m’intéresse chez une femme, c’est ce que je n’ose pas lui demander", encore Wolinski me dit-il. Mais là, j’ai osé te le dire!
Je me laisse tenter, il y a plusieurs modèles et nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage. Là aussi, nos voisins de cabines s’étonnent du trio que nous formions. Après bien des essayages durant lesquels Antoine est entré dans la cabine pour me tenir les vêtements, et en profiter pour me faire quelques caresses ..., je me décide. Une fois la jupe achetée, Antoine demande à la caissière la possibilité de retourner dans la cabine de façon à ce que je la mette sur moi à la place de celle que je porte. Une fois le changement de jupes fait dans la cabine, Antoine me propose de retirer mon slip et de sortir ainsi. Il me le demande avec un tel entrain et un tel aplomb que je me laisse tenter. Ils sont tous les deux très sympas avec moi et j’aime me laisser ainsi séduire.
Quelque peu fatigués, nous nous arrêtons dans une croissanterie, attirés par la bonne odeur des pains qui cuisent. On s’assoit à l’une des premières tables. François est un peu en retrait mais Antoine et moi en plein dans le passage. Une fois assise, ma jupe remontée laisse entrevoir ma chatte, ce qu’Antoine apprécie beaucoup. Heureusement que je ne connais personne ici ! L’ambiance est au beau fixe et nous décidons de nous retrouver un peu plus tard pour dîner dans un resto voisin.
A ce moment, François reconnaît un couple qui passe et nous les présente, Françoise une collègue de travail et son mari Philippe. Antoine, toujours aussi amusant, les met immédiatement à l’aise et leur propose de partager un second gâteau avec nous. Tandis que nous papotons, Antoine devient plus entreprenant à mon égard. Ses mains parfois baladeuses viennent s’égarer sur mon corps et je devine qu’il aimerait bien aller voir sous la jupe ... Mais François m’attire plus, son charme est vraiment séduisant. La discussion s’anime avec nos invités surprise, ils me semblent vraiment sympathiques, spécialement Françoise avec qui nous discutons de mille choses. Nous leur proposons de rester avec nous pour dîner au resto. Finalement ils nous proposent d’aller dîner chez eux, ce sera plus convivial, nous disent-ils.
Ils n’habitent pas bien loin et c’est en effet une bonne idée ! je ne sais pas comment tout cela va se terminer, mais j’aimerais bien me faire le timide François. Par contre, j’ai l’impression qu’Antoine s’accroche dur !
Pendant le dîner, Antoine met une ambiance d’enfer. De temps en temps, il rappelle une pensée de Wolinski qui nous fait réagir.
- "Il y a deux sortes de femmes, celles qui sont trop bien pour moi et celles pour qui je suis trop bien".
Nous en discutons lorsqu’il nous en sort une autre :
- "Il y a deux catégories de femmes : les baisables et les imbaisables. Les meilleures ce sont les imbaisables, elles pleurent de joie quand on les baise !".
A la fin du dîner, tous assez réchauffés par l’alcool, Antoine suggère que l’on fasse une partie de strip poker. Jamais je n’accepte de m’adonner à ce genre de jeux, mais l’idée de les voir nus devant moi m’excite alors grandement. Naturellement, plus la partie avance et plus nous perdons des vêtements. Alors que je me retrouve avec mon seul top, mes deux hommes viennent de perdre leur main et s’affairent à retirer le dernier morceau de leur attirail. Qu’il est excitant de voir les sexes d’Antoine et François côte à côte ! J’imagine que la situation les excite eux aussi car ils sont déjà au garde à vous. Il faut dire que depuis les 10 dernières minutes, ils lorgnent sérieusement sur ma poitrine. Se sentant en désavantage, ils se décident à me retirer de force le dernier morceau qui me reste. Antoine me retient par derrière alors que François me retire mon top, non sans quelques difficultés tant il est moulant. Nos jeux excitent grandement mon cher François. Nous passons au salon. Je m’assois dans le fauteuil en face de lui. Ses yeux vont de mon visage à mon entre jambes et déshabillent ma chatte. Je suis très excitée et je n’en peux plus d’attendre, je ruissèle de plaisir. Enfin il se décide, il s'approche et m'embrasse d’un baiser fougueux et passionné. Il me caresse la poitrine, mes tétons sont durs et gonflés. François s’agenouille, mon clito est gonflé de désir. Sa langue me lèche maintenant, pénètre mon intimité. Ma chatte devient une fontaine d'où s'écoule la précieuse liqueur. Il me boit, le plaisir m'envahit et là j'ai moi aussi envie de le prendre dans ma bouche. Je le suce, aspire et j'insiste sur son gland que ma langue lèche avec volupté. Il est enfin à moi et je serai le premier à le baiser. J’en avais tant envie. Je cesse de le sucer car je le veux au fond de moi. Il me prend sur le sol. Je sens maintenant sa queue au fond de mes entrailles. Je le mords, crie, ne me maîtrise plus tant j’ai attendu. Je change de position et il me prend en levrette comme une chienne que je suis devenue.
- vas y baise-moi, plus fort, plus loin, oui encore ...
Le plaisir m'envahit d’une jouissance longue et intense. Je devine que François va lui aussi jouir. Je me retourne et prend sa queue mouillée de mon plaisir dans ma bouche et quelques instants plus tard il m'honore de sa jouissance par de longs jets chauds et puissants. Je veux tout, son jus m'appartient, je le bois et lèche jusqu'à la dernière goutte. Comblés nous nous embrassons, mais ce n'est que le début d'une très chaude soirée.
Le pauvre Antoine était resté spectateur. Philippe prend maintenant sa femme Françoise. Tous les deux partent dans un délire qui les conduit à des orgasmes répétés. Philippe s’aperçoit qu’Antoine bande toujours.
- Que dirais-tu de prendre Françoise, mon cher ami ? Je te sens très tendu et j’aimerais que cette grosse queue retourne à son état normal.
Antoine ne se fait pas prier deux fois. Philippe est à peine sorti de Françoise que déjà il s’affaire à la prendre par-devant. Françoise lui rend la tâche facile, ouvrant ses longues jambes du plus grand qu’elle peux. Philippe entend les gémissements d’Antoine alors qu’il pénètre sa femme. Mais c’est surtout les cris de plaisir de Françoise qui le rendent fou. Philippe se positionne derrière Françoise et la reprend encore une fois. Françoise est comblée par ces deux grosses queues qui la pénètrent encore et encore. Jamais elle n’a éprouvé un tel plaisir et les deux hommes s’en rendent compte par la fureur de ses cris :
- Ha, oui ... encore ... mmmmmmmm ... c’est tellement bon de vous avoir au fond de moi ... encore ... oui ... ouiiiiiiiiiiii... vous êtes tellement durs ... vos queues tellement bandées .... je vais jouir .... oui !!!
Par la puissance de ses cris, Philippe comprend que sa femme atteint l’orgasme. Par contre, lui n’a pas encore joui, Antoine non plus. Délaissant Françoise à son plaisir, les deux adonis s’embrassent d’un baiser passionné. Philippe se met à quatre pattes et il ne faut que quelques secondes à Antoine pour commencer à l’enculer. Les deux hommes éprouvent énormément de plaisir. La queue d’Antoine n’arrête pas de bander à la vue du cul de Philippe. Plus il l’encule et plus sa queue devient grosse. Mais à la vue de ces deux hommes ainsi positionnés, Françoise ne peux résister et se positionne sous son mari, de façon à ce qu’il puisse la prendre alors qu’il se fait lui-même enculer. Jamais il n’avait ressenti un tel plaisir. Voir la poitrine de sa femme, sentir sa queue toute bandée la pénétrer alors qu’il se fait lui-même enculer en était trop. Lorsqu’il éjacule, c’est dans un long cri de satisfaction. Après avoir déchargé, Philippe remercie très gentiment sa femme et Antoine pour de tels plaisirs partagés.
Cette fille me plaît vraiment, j’ai vraiment envie d’elle aussi. Pourtant les filles c’est pas trop mon truc, mais là elle m’excite un max. Je vais la rejoindre dans la salle de bains. Elle sort d’une bonne douche. Toute fraîche ainsi, elle m’excite encore plus. Je me plaque contre elle le long du mur et un désir fou se propage en moi. J'ai envie de poser mes lèvres contre les siennes et d'échanger plus d'un baiser langoureux. Je vois qu’elle en a envie aussi!!....hummmm! C'est fou comme elle se débrouille bien avec sa bouche et ses lèvres. J'ose imaginer ses mains se posant sur mon corps entier. Elles sont posées sur sa chatte pour de douces caresses. J'adore la voir faire, elle le fait si bien ! Françoise me demande de la rejoindre et d'y poser ma bouche, je la mange longuement, j'entend de petits gémissements qui sortent de sa bouche et qui me disent d'accélérer le mouvement ...Comme j'ai envie d’elle! Je la couvre de baisers.. ma langue parcourt l’entre-cuisses . Je m'installe tout près d’elle et c'est au tour de mes mains de la caresser. Des mouvements lents qui s'accélèrent de plus en plus vite se font sentir.. Je suis tellement occupée avec ce beau corps doux, chaud et sensuel que je ne sais plus où donner de ta tête.. Je prend sa main et la pose sur un de mes seins.. elle voit comme je suis excitée moi aussi. Je la désire et c’est réciproque. Sa langue maintenant se pose sur mes mamelons et suis bien les courbes de mon corps.. hummmm! Comme c'est bon.. elle m'écarte les jambes et découvre mon sexe rasé... Je sens les mouvements circulaires de sa langue sur mon clito, c’est délicieux... Grrrrr!!! Je pousse de long gémissements et tout mon corps en frissonne. Son visage se rapproche du mien et nous échangeons quelques baisers. Nous nous surprenons à prendre un tel plaisir, elle me regarde me caresser le clitoris. Je vais exploser d'une minute à l'autre tellement c'est bon. Ses mains se posent de nouveau sur mes seins et les caressent. Je me branle de plus en plus vite. Nous avons toutes les deux très chaud ! Je pousse un gémissement de plaisir, je viens, et elle aussi.. Quelle syncro! Je me pose sur elle et la couvre de mille et un baisers...Merci à toi mon amour! Quelle délicieuse découverte !