Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 16:57
C’était un samedi après-midi. Il faisait froid, mais pas trop. C’était, selon moi, une très belle journée d’hiver québécois. Le soleil commençait à se coucher mais la journée était encore jeune. Étant seule à la maison, je commence à ramasser des choses ici et là et à les ranger à leur place. Ayant terminé le salon et la cuisine, j’entre dans ma chambre. Petit moment de découragement, j’ai du linge sur le lit, le bureau et la chaise. J’entreprends de mettre les morceaux sur des cintres. Sous quelques chandails, je découvre mon corset préféré. Cela fait bientôt deux semaines que je suis en vacances et je me souviens l’avoir mis à mon premier souper, mon premier soir en vacances dans un petit restaurant chique de la région. Ça avait bien été. Un souper avec deux couples d’amis. De beaux souvenirs.

Je regarde mon corset et j’ai envie de le mettre. J’enlève ma robe de chambre en satin que je laisse glisser jusqu’à mes pieds. Je pose le corset sur mes seins en exerçant une pression sur ceux-ci pour voir le galbe qu’il fera. J’aime bien. Deux grosses boules bien hautes émanent du corset. J’agrafe donc chacune des petites agrafes et me tourne face à mon miroir pour en voir le résultat. Je me tourne et me regarde le dos. J’adore la couleur, je trouve qu’il me fait une belle silhouette. La couleur sombre du corset – entièrement noir avec des fleurs subtiles vertes-dorées avec de la dentelles en haut et en bas pour faire une belle finition – mélangé avec la fonction de comprimer amincie. Étant bien en chaire, ça laisse rêver.

J’ai envie de me préparer comme si j’allais sortir, tenter les hommes. J’ouvre mon tiroir de sous-vêtements et en sort une petite culotte noire mi-fesses en dentelle qui rappelle celle de mon corset. Je continue à fouiller dans mon tiroir et en sort de grands bas de nylon noirs avec environ dix centimètres de dentelles en haut et les enfilent sur les jambes. Je prends le porte jarretelle qui était déposé à côté des bas et l’installe par-dessus ma culotte et les y attachent. J’ouvre ma penderie et en sort une robe que j’ai déjà porté à une seule reprise, parce que trop osée. Noire, mi cuisse, décolletée. Je me sens vraiment vilaine avec cette robe.

Le téléphone sonne. C’est un ami. Il me demande ce que je fais. En bégayant un peu, je lui explique en riant maladroitement que je suis en train de m’habiller sexy parce que j’en avais envie. Que je m’apprêtais à me maquiller et ensuite, me peigner pour ensuite aller faire je ne sais quoi, je ne sais où. Il me demande si ça me tente d’aller souper. Il dit que le temps que je termine de me préparer il fera des poitrines de poulet au vin blanc avec des petits légumes vapeurs. Je m’empresse d’accepter. Après avoir raccroché, je me regarde dans le miroir et je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Pourquoi venais-je d’accepter ? Aucune idée mais cette soirée me tentais. Après l’avoir rappelé pour lui demander s’il voulait que j’apporte une bouteille de vin (ou deux…) ou s’il désirait que j’apporte autre chose il me dit : « Ton corps et ta tête, c’est tout ce que je demande ». Parfait.

Je m’assieds donc à ma petite table de maquillage et commence à poser un peu de fond de teint et de far à joues sur mon visage. Je mets de l’ombre à paupière sombre dans les coins extérieurs, frise mes cils et mets du mascara pour avoir un regard charbonneux. Tout est bien. Il me reste à mettre du brillant sur mes lèvres et placer mes cheveux et tout sera parfait. Je vais à la salle de bain et prend un fer pour friser grossièrement quelques mèches de cheveux. Je regarde le miroir et après être tournée quelques fois sur place pour voir le résultat final, je me dis qu’il appréciera probablement.

Je passe au vestibule, enfile mes bottes noires aux genoux, mon foulard rouge, mon manteau long et pour terminer le tout, mes gants rouges pour ne pas avoir froid en conduisant jusqu’à chez lui. Je passe le seuil de la porte, referme derrière moi et démarre la voiture pour faire les 10 minutes de route. Dans la voiture, je mets un CD de musique qui ne contient que des ballades.

Enfin arrivée, je me regarde dans mon miroir, retouche mes lèvres et va cogner à son appartement. Il ouvre et me regarde en me faisant un beau sourire. Il enlève mon manteau que je déboutonnais quelques secondes auparavant et lorsqu’il est enlevé, me donne une petite tape sur les fesses. Ça me surprend. Je ne m’attendais pas à ça. Il me prend pas le bras et m’amène à la cuisine. Je jette un coup d’œil au salon au passage pour voir si son colocataire était présent et ensuite dans la salle d’ordinateur pour finalement regarder rapidement dans sa chambre. Tout était vide. Il me regarde et me dit : « il n’est pas là. Il est parti pour la fin de semaine ».

À ma surprise, la table est mise et le vin est déjà servi. Il s’approche de la table, prend les deux coupes de vin, m’en offre une et prend l’autre. Il passe sa main dans mon dos et embrasse mon cou, tout près de la clavicule droite. Des millions de frissons se promènent à ce moment sur mon corps. Après s’être redressé, il tire une chaise et me montre de la main de m’assoir. Ce que je fais. Des mains se déposent sur mes épaules et commencent à les masser en montant à mon cou et allant jusqu’à la limite de ma robe qui descend au quart de mon dos. Après quelques minutes, ses mains quittent mon dos et ses lèvres viennent déposer un baiser sur mon front.

« Tu as faim ? » me demande-t-il.
« Je commence, effectivement, à avoir faim. »
« Je propose maintenant puisque le dessert ne pourra pas durer éternellement. »
Innocemment, je lui dis d’accord en ne sachant pas trop ce qu’il insinuait.

On mange alors une poitrine de poulet dans une sauce avec des brocolis, carottes et choux-fleurs cuits à la vapeur. C’est très bon. Je déguste chaque bouchée avec soin en faisant attention pour le regarder et lui montrer que j’aime bien.

Il me regarde et je sens ses arrières pensées. Il me regarde et me déshabille des yeux. Il boit son vin et je vois à chaque gorgée son envie de passer par-dessus la table et venir à moi. Je dois dire que le regarder avec son jeans et on chandail en laine ne me laisse pas indifférente. Plus je bois ce vin et plus j’ai envie qu’il passe par-dessus la table aussi. Dernière gorgée de vin et une grosse goute coule le long de ma coupe. Je le regarde dans les yeux et passe ma langue de bas en haut. Il me regarde, baisse le regard et fais des signes de négations avec la tête. Il met ses mains sur les accoudoirs de sa chaise, se lève et passe de mon côté de la table. Il va en arrière de moi, prend la bouteille de vin et tout en versant de l’alcool dans ma coupe, dépose de langoureux baisers dans mon cou. Ne pouvant plus me retenir face à ses actions, je tourne ma figure pour pouvoir l’embrasser sur la bouche. Il tire ma chaise et me permet de me lever.

Il passe ses mains autours de mes hanches et me tourne. Je le regarde dans les yeux et approche ma bouche de la sienne. Je m’approche de lui et colle mon corps au sien. Même si j’y suis collée à lui, je continue d’avancer pour l’accoter sur le mur qui se trouve derrière lui. Rendu au mur, je lève une jambe pour qu’il la prenne dans sa main, ce qui rend plus facile pour moi de coller ma chatte à son membre bien dur. On s’embrasse, nos mains se baladent, on se tient l’un à l’autre pour ne plus se laisser. Il redépose ma jambe et ri timidement. Je le regarde et ne comprends pas pourquoi il ri comme cela. Il me fait un clin d’œil et me dit de le suivre.

N’ayant jamais vécu un moment comme celui là avec mon ami, je suis anxieuse. Je n’aime pas l’inconnu et son sourire me dit qu’il y a quelque chose qui va se passer. Maintenant dans la chambre, il se retourne et me dit « tu te souviens m’avoir dit que tu aimais sucer… ? ». Comment dire que je ne me souviens pas. C’est tellement exquis avoir une queue dans la bouche, pouvoir la sucer, la masturber, l’embrasser, la titiller. Alors je lui fais un signe discret d’approbation. Il me dit : « et tu te souviens de ce que tu m’as dit à propos de ça ? » en posant sa main sur sa caméra. Je commence à comprendre.

Je passe ma main dessous mon bras et descends la fermeture éclaire de ma robe. Je laisse les bretelles tomber sur mes épaules et fais glisser la robe le long de mes hanches, mes cuisses et jusqu’à mes pieds. Je le regarde dans les yeux. Je suis debout, plantée devant lui en corset, petite culotte et en bas mi-cuisses. J’avance face à lui et lorsque je suis assez près de lui, je me tourne et prends ses mains dans les miennes. Je colle mes fesses à son sexe et commence à faire bouger mes hanches tout en restant collée à lui. Ses mains, sous mes mains, sont posées sur mon ventre. Doucement je sens une de ses mains qui tente de se dégager pour venir agripper un de mes seins. Ses mains, si douces et si excitantes.

Quand je sens son membre bien dur, je me tourne face à lui et commence à le déshabiller. Il ne bouge pas et suis lentement mais surement mes mouvements. J’enlève tout d’abord son chandail. Quand il est torse nu, je commence à balader ma bouche et ma langue sur son cou, son ventre en n’oubliant pas de titiller ses seins au passage.

Je dépose mes mains sur ses jeans et entreprends de déboutonner et descendre sa fermeture éclair. À ma grande surprise, il m’interrompt. Étant à genoux, il me prend une main et me tire pour que je me lève. Il pose ses mains sur mes hanches et me pousse un peu pour m’écarter de son chemin. Il se dirige vers son bureau et active sa caméra pour enregistrer ce que nous ferons. Quand la caméra est en marche, il se tourne vers moi et attends que je vienne le rejoindre. Je dépose un baiser sur sa bouche et me mets immédiatement à quatre pattes. Je recommence à déboutonner ses jeans pour pouvoir sortir son pénis que je sens bien dur. Lorsque je peux retirer son pantalon, je l’assied sur le lit et le fais glisser jusqu’à ce que son pénis soit complètement libre.

Je le couche sur le lit et mets mon cul face à la caméra pour me pencher sur sa bite. Je me dandine un peu pour que la caméra voit bien mes petites culottes et mon porte jarretelle. Je laisse un pied par terre et passe l’autre par-dessus son corps. Il se retrouve alors avec ma chatte proche de la figure. Sans lui indiquer que j’allais engouffrer son pénis dans le fond de ma gorge, je lui prends et le rentre jusqu’au maximum. Je l’entends soupirer. J’ai envie de lui faire plaisir ! Je sors sa verge de ma bouche et me penche pour licher ses balles bien dures. Comme je ne suis pas très à l’aise, je change de côté. Je prends sa queue d’une main et commence à lui licher encore plus les testicules. Elles sont douces. J’entends sa respiration et je sais que c’est difficile pour lui de se contrôler. Il aimerait que j’engouffre son pénis dans ma bouche mais j’ai envie de le faire languir.

Ma langue passe sur sa queue en partant de ses testicules jusqu’au bout de son volcan. Je sens son cœur battre à chaque coup de langue que je donne. Ses soupirs m’excitent. Je prends son gland entre mes lèvres et commence à tourner ma langue tout autours. Pendant ce temps, je continue à lui masser les testicules et mets beaucoup de bave sur sa verge. J’aime quand c’est très glissant. Les sensations sont toujours plus fortes parce que rien n’empêche les lèvres de bien glisser. Quand la bave se rend jusqu’à ses testicules, je passe mon autre main pour en récupérer un peu et glisse un doigt entre ses fesses. Je sais qu’il n’a jamais été chaud à l’idée. Peut-être pour ne pas gâcher le petit vidéo qui tourne ou parce qu’il a bu de l’alcool… ou parce qu’il a décidé d’essayer, il se laisse faire. Il écarte même une jambe pour me laisser plus de place.

Je commence à faire tourner mon doigt en petits ronds sur son anus. Au même moment, trop excitée à l’idée qu’il m’ait laissé faire, je prends sa queue entièrement dans ma bouche et continue à le sucer de plus en plus fort. Plus je le suce et plus je sens son anus se dilater sous le massage que mon index lui offre. Son anus se dilate tellement que même sans forcer, mon doigt pénètre tout seul. Je le sens soupirer et retenir quelques bruits qui se fraient tout de même un chemin jusqu’à mes oreilles.

Je ne peux arrêter de le sucer. Ma langue descend parfois jusqu’à ses testicules pour les humidifier un peu avant de reprendre leur massage et que ma main remonte à son pénis pour le masturber pendant que ma bouche retourne à son gland. Il gémit, je ne peux pas faire autrement de mon côté parce que je suis excitée aussi.

Je me relève la tête lui demande s’il peut patienter quelques instants. Il me regarde et me dit oui. Je me lève, passe à l’entrée et fouille d’une main pressée mon sac à main. J’y trouve mon vibrateur que je garde souvent pour de petits parties de plaisir solitaires loin de chez moi. Je reprends mon chemin vers sa chambre. Sans lui indiquer ce que je venais de faire, je me replace comme si je n’étais jamais partie. Lorsque mon doigt est bien entré dans son cul et que je sens qu’il apprécie, je prends mon autre main et place le vibrateur serré entre mes deux pieds. Lorsqu’il entend la machine se mettre en marche, il relève la tête et je ne peux m’empêcher de lui faire un sourire en ayant toujours sa queue dans la bouche. Je commence à m’assoir sur le vibrateur et me relever doucement. Je pousse quelques soupirs. Plus je me pénètre, plus je le suce, plus je le suce, plus je suis excitée et plus je suis excitée plus j’ai envie de me pénétrer,… C’est une roue de plaisir.

Je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois que je suce, je ne peux m’empêcher de fantasmer. Je pense à tout ce qui est offert à moi. Présentement, j’entre deux doigts dans son petit cul. Il retient son souffle quelques secondes, et gémit doucement. J’augmente alors la force de la vibration de mon vibrateur tout en sachant qu’il ne pourra pas tenir encore longtemps. De mon côté, toujours pris entre mes pieds, je le sors complètement et l’amène à titiller mon clitoris qui est bien gonflée de plaisir. Sentant que j’allais bientôt exploser, je mets toutes les énergies qui me restent à sucer mon cher ami. J’entre son pénis dans ma gorge, je tourne ma langue autours, je lui masse les couilles, je lui pénètre le cul de mes deux doigts bien humides, je le suce… Je le sens commencer à se tortiller et à lever les hanches. Pour la première fois depuis que j’ai commencé à le toucher, j’entends clairement un « aahhh » et quelques secondes après, je sens quelques jets bien chauds sur mon palais.

Je continue doucement à le sucer tout en sentant la chaleur monter en moi. Je sens que j’y arriverai bientôt mais il se relève et passe sa main entre mes jambes pour m’arracher le vibrateur. Il me pousse sur le dos et commence à entrer et sortir le jouet magique de ma chatte qui est très humide. Quand il le ressort, il le lève suffisamment pour stimuler mon clitoris et sans crier gare, il l’entre complètement et joue avec en dedans de moi comme s’il avait fait ça toute sa vie.

Je ne pouvais plus me retenir. Il jouait avec ma chatte de façon magique, irrésistible, majestueuse. J’ouvris la bouche pour respirer, manquant d’air et senti mon jus se projeter et s’étendre sur ses genoux en face de moi. J’éclatais. Tout mouillé, il vient s’étendre à mes côtés et caressa un de mes seins et mon ventre.

L’amitié offre parfois de bons moments. Comme j’étais exténuée, je m’assoupie un instant. Je continuais à sentir ses mains expertes sur mon corps, doucement. La soirée était jeune… et son colocataire ne revenait pas avant encore au moins une journée
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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