Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 20:50
Ceci s'est passé il y a quelques années, avec une collègue de travail que je nommerai Corinne. Nous avions eu une rapide aventure un soir après une réunion suivie d'un apéritif bien arrosé. Quelques jours plus tard, et alors qu’il me semblait qu’elle était devenue distante avec moi, nous sommes partis ensemble à une réunion de travail à Paris. Nous avions à peine pris l’autoroute qu’elle m’a avoué avoir beaucoup apprécié d'avoir fait l'amour avec moi quelques jours plus tôt, qu'elle avait joui très vite parce que la situation l'excitait (cela s'était passé dans mon bureau, une fois que tout le monde était parti) et que bien que mariée, comme moi, elle avait envie que l'on continue cette relation qu'elle considérait comme purement sexuelle. Je suis ai dit que j'étais d'accord, car moi aussi j'avais apprécié notre relation furtive.
Ravie de ma décision, elle m'a alors annoncé n’avoir mis ni culotte ni soutien-gorge, pour me faire plaisir. Elle portait une mini-jupe remontée jusqu’à mi-cuisses, qui me permettait de constater qu’elle portait des bas, comme à son habitude. Consciente de mon trouble naissant, elle a posé sa main gauche sur ma braguette et s’est mise à me tripoter jusqu’à ce que je sois bien tendu, me rassurant alors sur mes capacités d’érection.
Puis elle m’a demandé si ça m’exciterait de la voir se caresser à mes côtés, et sans attendre ma réponse a retroussé sa jupe jusque sur son ventre, ouvert largement ses cuisses et glissé sa main droite dans son entrejambe, la gauche continuant de me masturber à travers mon pantalon. Inutile de dire que je commençais à avoir du mal à conduire, et qu’il m’a fallu ralentir considérablement mon allure.
Quelques kilomètres plus loin, j’avais le pantalon ouvert, mon sexe raide se dressant hors de mon slip baissé, un long filet de sperme coulant de mon gland violet et gonflé à l’extrême. Corinne avait cessé de me branler et de me sucer quand elle m’avait senti au bord de l’explosion, et s’affairait maintenant de ses deux mains sur sa vulve et sur ses seins qu’elle avait extirpés de son chemisier ouvert. Tout en la regardant faire, je me suis mis à doubler lentement un semi-remorque qui peinait dans une montée, et quand nous sommes arrivés à hauteur de la cabine du routier, celui-ci s’est mis à klaxonner en découvrant le spectacle que nous lui offrions. Au lieu de paniquer, Corinne l’a regardé avec un sourire quelque peu crispé par le plaisir, puis a fermé les yeux pour se caresser de plus belle. Volontairement, je suis resté à hauteur du routier jusqu’à ce que ma compagne jouisse de s’exhiber à lui. Puis quand ses cuisses se sont refermées sur sa main prisonnière de son entrejambe, j’ai repris de l’allure pour m’éloigner du routier qui nous faisait de grands appels de phares pour nous faire signe de nous arrêter sur la prochaine aire de repos. Nous avons ri de cela, ce qui nous a permis d’évacuer la gêne qui com-mençait à nous envahir après cette séance imprévue.
Après avoir refermé son chemisier et baissé un peu sa jupe, Corinne a jeté un coup d’oeil vers mon sexe toujours aussi tendu, et s’est penchée vers moi pour me sucer de nouveau avec beaucoup de douceur afin de me maintenir au bord de l’éjaculation. Finalement, n’en pouvant plus, j’ai pris la première sortie, puis le premier sentier isolé, et nous avons fait l’amour dans la voiture, avec une violence indescriptible. Nous avons joui en même temps, en criant aussi fort l’un que l’autre.
Pendant que nous mangions au restaurant le soir-même, Corinne m’a reparlé de son exhibition, m’a avoué n’avoir jamais osé se masturber devant quelqu’un avant ce jour-là, et avoir connu l’orgasme le plus puissant de sa vie de s’exhiber et à moi et à cet inconnu. Elle réalisait soudain qu’elle avait un penchant exhibitionniste, et cela l’affolait et l’intriguait à la fois. Elle se demandait jusqu’où elle était capable d’aller, et a fini par m’avouer qu’elle avait envie d'aller plus loin.
Dans les semaines qui ont suivi, nous avons souvent fait l’amour dans sa voiture dans des petits chemins forestiers connus de quelques voyeurs. Nous nous y rendions séparément afin de ne pas être découverts dans notre adultère. Un jour, quand je suis arrivé dans notre petit bois où elle m’attendait déjà, Corinne semblait un peu affolée, car un homme était venu rôder près de sa voiture quelques minutes plus tôt. Il était encore là, à quelques mètres, caché derrière un arbre. Je l’ai rassurée en lui disant que ce n’était rien d’autre qu’un voyeur, mais je voyais qu’elle avait eu vraiment peur de le voir s’approcher de la voiture alors qu’elle était seule. Je l’ai serrée contre moi pour la réconforter, et nous avons commencé à nous embrasser et à nous caresser furtivement.
Tout en se collant à moi, je sentais qu’elle lançait des regards fréquents du côté de l’homme qui nous observait, et je croyais que c’était encore dû à sa peur. Or, quand j’ai glissé ma main sous sa jupe pour atteindre sa fente, j’ai été surpris de constater qu’elle ruisselait. Je me suis détaché d’elle pour plonger mon regard dans le sien, et elle s’est mise à rougir. J’ai compris alors qu’elle mouillait déjà à l’idée de s’exhiber à l’inconnu, et qu’elle l’observait non pas par peur, mais pour voir ce qu’il allait faire en nous regardant. Bien sûr, je n’ai pas manqué de le lui faire remarquer, pour accentuer son trouble. Elle a admis que j’avais raison, et s’est jetée sur moi avec une véritable fureur. Elle m’arrachait presque mes vêtements, et en un rien de temps nous nous sommes retrouvés nus sur la banquette arrière de la voiture. Elle m’a alors repoussé et s’est penchée sur moi pour me sucer avec une frénésie inhabituelle.
Nous étions nus l’un et l’autre, et nous avions ouvert la portière arrière du côté du voyeur, les journées commençant à devenir chaudes. Autant dire que l’homme ne manquait pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Pendant que Corinne avalait presque entièrement ma colonne de chair tendue, je me suis mis à fixer ce voyeur caché dans son buisson pour lui faire voir que nous l’avions repéré. D’abord paniqué, il a cherché à se cacher un peu mieux, avant de comprendre que nous acceptions sa présence.
Corinne a interrompu sa fellation dès qu’elle a senti que je n’allais plus tarder à éjaculer, et en relevant la tête elle a regardé à son tour le voyeur, avant de me fixer d’un regard étrange. L’homme s’était approché de la voiture dont il était à quelques mètres à peine, avait ouvert son pantalon et extirpé son membre court et épais qu’il masturbait d’un va-et-vient rapide de sa main droite. J’ai senti mon excitation monter d’un cran, et réalisé que Corinne le fixait à nouveau d’un oeil effaré, oubliant presque ma présence. Elle mouillait tellement que sa cyprine coulait le long de ses cuisses écartées. N’en pouvant plus, je l’ai attirée sur moi pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. Elle était vraiment trempée ! Elle s’est mise à agiter nerveusement son bassin d’avant en arrière pour me faire aller et venir en elle, et nous avons joui très vite et très fort, une fois de plus. Quand je suis revenu à moi, le voyeur n’était plus là. Il avait dû éjaculer lui aussi, et disparaître aussitôt. Corinne m’a avoué avoir joui avant même que je la pénètre, lorsque l’homme a éjaculé sous ses yeux. Elle savait maintenant qu’elle avait aussi un penchant pour le voyeurisme.
Par Shelly - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Images aléatoires

  • krystalrcb.jpg
  • 0006.jpg
  • 04.jpg
  • vtl010-067.jpg
  • 6-1.jpg
  • barn8.jpg

Calendrier

Juin 2025
L M M J V S D
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus