Vendredi 26 janvier
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Cette histoire remonte à une dizaine d'années. J'étais à l'époque célibataire géographique (me femme n'avait pas souhaité me suivre dans le nord-est de la France pour mon boulot), et j'en profitais largement. Un jour, j'ai rencontré, dans un supermarché, la femme d'un collègue de travail qui était parti pour plusieurs mois en mission dans un pays lointain. Cette petite brune au visage angélique et au corps superbe, malgré de petits seins, avait quelque chose d'envoûtant. Nous avons discuté un moment, puis elle m'a invité à dîner. Je n'ai pas refusé et à l'heure dite, je sonnais à la porte de Sandrine, qui m'a accueuilli dans une robe hyper courte et très moulante, qui ne cachait rien de son corps à la fois svelte et aux formes gracieuses, et sous laquelle elle ne portait pas de soutien-gorge. Surpris, je me suis dit que cette femme n'était peut-être pas aussi angélique qu'elle en avait l'air.
Pour me servir l’apéritif, Sandrine s’est accroupie face à moi, les cuisses assez écartées pour que je puisse voir sa culotte. J'en ai eu aussitôt le feu au joues, mais elle a continué son service, comme si de rien n'était. Le repas a été particulièrement sage, car elle avait ses enfants, puis quand elle les a eu couchés, nous nous sommes installés sur son canapé pour regarder la télévision en discutant de choses et d’autres. J’essayais de rester calme mais j’avais le cœur qui battait. Je sentais que Sandrine attendait de moi que je me jette sur elle. Et comme je n'arrivais pas à me décider, l’atmosphère devenait de plus en plus lourde.
Au bout d’un moment, Sandrine m’a demandé si ça me dérangeait qu’elle se mette en pyjama, car elle se sentait serrée dans sa robe. Je lui ai dit que nom, et elle est revenue quelques minutes plus tard en chemise de nuit encore plus courte que sa robe. Elle s’est assise en tailleur sur le canapé à mes côtés, si bien que je voyais de nouveau sa culotte, en permanence cette fois. Elle a fait mine de s’étirer en grimaçant, pour me dire ensuite qu’elle souffrait souvent de mal aux reins, que son mari n’était pas là pour la masser comme il faisait toujours dans ces cas-là, et m’a demandé brusquement si je pouvais la masser un peu. Des sirènes d’alarme se sont mises à sonner dans mon cerveau, mais déjà elle me repoussait pour s’allonger sur le ventre sur le canapé, et remonter sa chemise de nuit sur ses épaules, m’exhibant ses fesses menues et fermes à peine cachées par sa culotte. Immédiatement, je me suis dit que je n'avais pas le droit de faire ça à mon collègue, tout en sachant que je ne parviendrais pas à me retenir de le faire. Et tout en me traitant intérieurement d’idiot, j’ai plaqué mes mains tremblantes sur ses reins, et j’ai commencé mon massage (un détail en passant, il parait que je suis très doué pour ça).
Pendant quelques minutes, j’ai massé son dos, de ses épaules à la naissance de ses reins, puis voyant qu’elle s’abandonnait de plus en plus et creusait les reins à chaque fois que je passais dessus, je suis descendu petit à petit sur ses fesses. Puis je n’ai plus massé que son cul superbe qu’elle avait cambré au maximum, et peu à peu mes doigts se sont insinués entre ses fesses pour caresser l’intérieur de ses cuisses qu’elle a écartées de plus en plus. Quand je me suis attaqué à sa fente, elle a gémi de bonheur. Sa culotte était trempée. Je l’ai d’abord caressée à travers le tissu, puis j’ai glissé mes doigts dessous pour sentir le contact de sa vulve brûlante et ruisselante.
Je l’ai masturbée de longues minutes, mes doigts allant de son clito à son vagin que je pénétrais doucement. Elle s’est laissée faire, puis quand elle s’est sentie au bord de l’orgasme, elle a refermé ses cuisses et s’est retournée vers moi. Elle a plaqué sa main carrément sur ma braguette et a eu un sourire de satisfaction de sentir que je bandais ferme. Elle m’a alors retiré ma chemise, puis m’a fait m’allonger à sa place sur le canapé, a ouvert et baissé mon pantalon et mon string, puis s’est emparée de ma queue qu’elle a avalée d’un coup presque totalement. Le contact de sa langue et de ses lèvres était très doux, presque imperceptible, et pourtant il m'a amené rapidement au bord de l’éjaculation.
Me sentant bientôt prêt à exploser, Sandrine a abandonné ma queue pour finir de me déshabiller entièrement, a retiré sa culotte mais gardé sa chemise de nuit (j’ai su après qu’elle fait un complexe pour son ventre qui bien que plat avait été abîmé par ses grossesses), puis elle s’est installée sur moi, à genoux, a redressé ma queue et s’est empalée sur elle. Sa chatte étant très étroite, elle a mis un moment à s’empaler complètement. Pour ma part, je devais faire des efforts surhumains pour me contenir de jouir tellement le contact brûlant de son fourreau serré était délicieux.
Quand enfin j’ai atteint le fond de son vagin, elle s’est mise à aller et venir sur moi en râlant puis en criant de plaisir, et nous avons fini par jouir en même temps. Elle s’est ensuite allongée sur moi pour reprendre son souffle, gardant ma queue en elle jusqu’à ce qu’elle débande et s’éjecte d’elle-même de sa chatte. Nous sommes restés ainsi un long moment, et comme il était très tard, je me suis rhabillé et suis parti après lui avoir promis de nous revoir un autre soir.
Nous nous sommes revus plusieurs fois, et la veille du retour de Denis, son mari, Sandrine m'a avoué aimer particulièrement ma façon de lui faire l'amour et avoir trop envie de continuer à me voir pour cesser notre relation, me promettant de trouver rapidement une solution. Or, tout le monde le sait, "ce que femme veut, Dieu le veut". Sandrine avait déjà parlé à son mari de son désir de pratiquer l'échangisme, peu avant que celui-ci parte à l'étranger, et il lui avait proposé d'en reparler à son retour. Il était à peine rentré depuis quelques jours qu'elle est revenue sur le sujet, en lui présentant une revue d'annonces échangistes qu'elle venait soi-disant d'acheter pour lui montrer que beaucoup de gens pratiquaient ce type de relation. Or, cette revue, c'est moi qui lui avait apportée quelques semaines plus tôt, pour lui montrer une annonce que j'y avais fait paraître et sur laquelle j'étais en photo entièrement nu.
Bien sûr, Denis n'a pas manqué de tomber sur mon annonce et de me reconnaître, surpris de me trouver dans ce type de revue. Sandrine en a immédiatement profité pour lui suggérer de faire appel à moi pour les initier à l'échangisme, et quelques jours plus tard j'étais invité à dîner par Denis, sans qu'il me parle de quoi que ce soit. Quand je suis arrivé chez eux, la revue est négligemment posée sur une petite table près du salon, et j'ai fait mine de la découvrir en demandant à Denis s'il l'avait lue. Il m'a aussitôt avoué m'y avoir même vu, et la conversation pendant l'apéritif et le repas a tourné sur ce sujet. Finalement Denis m'a demandé si je serais d'accord pour les initier à l'échangisme, ce que je me suis empressé d'accepter.
Nous sommes retournés au salon pour boire le café, Sandrine et Denis côte à côte sur le canapé, moi en face d'eux sur le fauteuil, si bien que j'avais une vue imprenable sur les jambes de Sandrine qui, tandis que je leur racontais avec force détails mes aventures amoureuses, s'écartaient peu à peu pour offrir à mon regard son entrejambe. Elle ne les avait pas encore suffisamment ouvertes pour que me regard puisse plonger jusqu'à son ventre qu'elle a vu à la bosse que faisait le pantalon de Denis que celui-ci bandait en entendant mes récits. Sa main s'est aussitôt plaquée sur sa queue qu'elle s'est mise à masser doucement à travers le tissu. D'abord surpris et quelque peu gêné de ma présence, Denis à fini par se laisser aller en arrière sur le canapé tout en plongeant sa main entre les cuisses de sa femme. Celle-ci les à aussitôt écartées autant que sa jupe l'autorisait, et j'ai alors découvert qu'elle avait mis des bas et ne portait pas de culotte. Et sa fente soigneusement épilée était déjà entrouvante et luisante de mouille, traduisant son excitation.
Sentant son mari s'abandonner à ses caresses, elle s'est immédiatement penchée sur lui pour ouvrir son pantalon, en extirper sa queue raide et l'aspirer entre ses lèvres goulues pour entamer une lente fellation dont je connaissais l'infinie douceur. Je bandais ferme moi aussi, et pour ne pas être de reste j'ai sorti ma queue que je me suis mis à masturber lentement. Les regards du couple se sont alors tournés vers moi quelques secondes, admirant ma queue tendue que Sandrine a fait mine de découvrir. Les choses se sont alors précipitées : nous nous sommes déshabillés, puis Sandrine m'a invité à m'installer à côté d'elle, et tandis qu'elle s'emparait de nos deux bites dures qu'elle s'est mise à branler simultanément, Denis et moi avons commencé à caresser son corps, de ses seins à son entrecuisse de plus en plus trempé de mouille.
Rapidement, Denis et moi nous sommes trouvés au bord de l'éjaculation, et Sandrine a alors abandonné nos queues palpitantes pour se lever, pousser la table de salon et s'allonger à même la moquette en nous invitant à venir nous occuper d'elle. Denis m'a alors proposé de goûter à sa chatte que lui connaissait déjà (s'il avait su que moi aussi le pauvre!). Et tandis que je m'installais entre les cuisses ouvertes de Sandrine pour me mettre à lui lécher la chatte, il lui caressait les seins pendant que Sandrine le suçait doucement. Mes coups de langue sur ses lèvres, son bourgeon et ses orifices ont tôt fait d'exciter Sandrine, dont le corps s'est mis à s'agiter de plus en plus fort tandis qu'elle poussait des gémissements étouffés. Puis n'en pouvant plus, elle a fini par abandonner la queue de son mari pour crier son plaisir, pour finir par pousser un long feulement rauque quand elle s'est mise à jouir avec une violence telle que son corps tressaillait brutalement. Finalement elle a refermé ses cuisses, m'emprisonnant entre elles de longues secondes pendant qu'elle récupérait de son orgasme.
Elle était à peine remise qu'elle nous a fait part de son désir de se sentir pénétrée. J'étais le mieux placé, et tandis qu'elle se mettait en levrette, elle m'a demandé de la pénétrer doucement compte tenu de la taille de ma queue et de l'étroitesse de sa chatte, et de ne pas jouir en elle, prétextant qu'elle voulait réserver ce plaisir à son mari. Je me suis mis à genoux derrière sa croupe tendue, et j'ai présenté mon gland gonflé à l'entrée de son con trempé. Elle mouillait tellement que je me suis enfoncé en elle sans difficulté, écartant au maximum les parois de son étroit fourreau vaginal. Malgré ma furieuse envie de me vider en elle, je me suis mis à la besogner lentement, pour contenir mon éjaculation. Pendant ce temps Sandrine suçait Denis à genoux devant elle. Je l'entendais gémir sourdement, tandis que cramponné de mes deux mains à ses fesses tendues, je la pénétrais aussi profondément que possible, avant de ressortir ma queue luisante de mouille presque en entier pour la replonger dans ses chairs brûlantes. Celles-ci se contractaient de plus en plus rapidement, m'indiquant qu'elle approchait de l'orgasme, que j'espérais qu'elle allait atteindre très vite car j'avais de plus en plus de mal à me contenir. Soudain, Sandrine a relevé la tête en poussant un grand cri, tandis que son corps ssemblait parcouru d'ondes d'une violence incroyable. Elle a joui longuement, s'agitant dans tous les sens, puis sa tête est retombée entre ses épaules, et le silence a envahi la pièce, à peine troublé par nos respirations haletantes. J'étais resté planté en elle jusqu'à la garde et je ne bougeais plus, de peur d'éjaculer aussitôt.
Une fois de plus, Sandrine a repris rapidement ses esprits, a avancé son corps pour se dégager de ma bite tendue à l'extrême et luisante de mouille, a demandé à Denis de venir prendre ma place, et m'a fait signe de m'allonger sous elle, ma queue au niveau de sa tête, afin qu'elle soit à l'aise pour me sucer pendant que son mari allait la baiser. Denis était déjà à genoux entre ses cuisses écartées, et j'étais à peine installé qu'il plantait son pieu tendu el elle d'un coup, jusqu'à la garde, avec une facilité qui semblait déconcertante à Sandrine. Son regard est resté braqué quelques secondes sur ma queue palpitante, puis ses yeux se sont plongés dans les miens, et tout en me fixant intensément, elle a demandé à Denis de l'enculer. Et tandis que celui-ci s'enfonçait lentement dans son étroit fourreau, elle continuait de me fixer d'un regard étrange. Puis quand il s'est mis à aller et venir en elle, elle a glissé une main entre ses cuisses pour se branler le clito, et sa bouche s'est emparée de mon pieu tendu.
J'attendais cette douce caresse avec impatience, et j'ai longuement gémi en sentant ses lèvres aspirer mon gland gonflé à l'extrême, et sa langue jouer avec tandis que sa bouche allait et venait sur ma colonne de chair avec une lenteur infinie. Son excitation est remontée très vite, et alors que j'allais exploser dans sa bouche, elle a abandonné ma queue palpitante pour hurler son plaisir. Denis la besognait à grands coups tandis qu'il se vidait en elle en poussant des grognements sourds. J'accompagnais le plaisir de Sandrine en lui triturant les seins dont j'agaçais les pointes tendues et dures.
Quand Denis a cessé de bouger en elle, gardant sa queue plantée dans son cul, Sandrine a posé quelques instants sa tête sur mon ventre pour reprendre sa respiration. Puis elle s'est redressée doucement, et sa bouche est revenue s'emparer de ma queue, qu'elle s'est mise à sucer plus profondément, plus rapidement qu'avant, sa main venant accentuer mon plaisir en allant et venant sur ma colonne de chair. J'étais tellement excité que j'ai senti que j'allais jouir très vite, et comprenant alors que Sandrine avait envie de me faire gicler dans sa bouche, je me suis laissé aller à mon plaisir. Sentant les palpitations de ma queue s'amplifier, Sandrine a accéléré le va-et-vient de ses lèvres sur ma hampe, m'aspirant de plus en plus profondément. Le plaisir m'a atteint brusquement, et je me suis mis à crier. Je sentais ma queue envoyer de puissants jets de foutre dans la bouche de Sandrine qui les avalait au fur et à mesure tout en continuant de me sucer, m'envoyant de délicieuses ondes dans tout le corps. Elle a continuer de jouer avec ma queue bien après la fin de mon éjaculation, jusqu'à ce qu'elle la sente enfin débander entre ses lèvres.
Nous étions épuisés, et après nous être rhabillés et avoir bu un dernier verre, j'ai quitté le couple heureux de sa découverte du triolisme, à tel point que l'un et l'autre m'ont demandé d'accepter de revenir régulièrement passer une soirée avec eux. Autant dire que je n'ai pas refusé une proposition aussi alléchante !