histoire Érotique-Nasty story

Dimanche 28 janvier 7 28 /01 /Jan 17:07
Mon métier m'amène à beaucoup m'absenter de chez moi. Mon épouse et moi aimons à nous retrouver plus qu’à passer de longs moments ensemble, notre vie de couple surprend bien du monde en effet mais nous la menons ainsi depuis toujours. Notre vie sexuelle est donc un éternel re mariage et nous nous en accommodons bien. Certes des disputes et moments moins doux arrivent parfois je dirais durant la deuxième semaine, lorsque chacun de nous ne prête plus attention au fait que nous venons de nous retrouver.
Là il faut admettre qu’elle affirme sa position de maîtresse de maison, de femme libre et très indépendante.
Je ne suis pas d’un tempérament hostile avec les femmes et j’avoue user de mon charme pour retrouver le calme et la douceur. Il faut plus ou moins de temps parfois mais en règle générale je suis tellement câlin que je trouve le moment opportun pour venir me faire pardonner. Je déploie alors énergie et ruses mais cela fonctionne à merveille.
Je vais vous raconter une querelle qui c’est terminé en soirée romantique.
Nous nous étions disputé pour un sujet très souvent inutile une banale histoire de rangement certainement.
La soirée qui s’en suivi fut sans commentaires pas de dialogues chacun restant sur ses positions. Puis le lendemain je décidais de la séduire. Je m’organisai pour lui trouver un RDV chez son esthéticienne prétextant que je la trouvais moins resplendissante. C’était arrangé avec le salon, une après midi de calme, de massages et autre, épilation manucure …
J’en profitais pour faire le tour des restaurants sur Pau, et réserver une table dans une salle, puis une soirée Cheephandel avait lieu non loin de chez nous dans un club où nous allions souvent étant plus jeune.
Elle ne savait rien de cela
Vers 17 h00 j’allais la récupérer en ayant au préalable pris le soin de préparer sur notre lit sa tenue de soirée. Nous flânions un moment en ville puis vers 19 h00 je luis disais : allons nous changer je t’invite au restaurant ce soir. Elle adore. Entrant dans notre chambre elle a été surprise de voir déposés sur le lit ce qu’elle devait porter. Sans dire mot elle a enfilé sa tenue alors que je me préparais dans l’autre coté de la chambre. Tenue un peu moins « de soirée » pour moi mais non pas cool. Elle sait qu’elle ne peut rien me demander au sujet du lieu, de l’organisation de la soirée je reste alors muet et secret. Nous partons au restaurant où nous étions attendus. Chandelles, menu commandé à l’avance type gastronomique. Arrive la fin du repas durant le quel nous rigolons un peu de cette querelle de la journée précédente. Nous sortons vers 22h30, et lui propose de sortir le trajet se déroule bien elle est contre mon épaule, douce quelques bisous des caresses mais pas trop à cause de cette route sinueuse. Nous arrivons au club elle sourie en reconnaissant l’endroit. La musique qui y passe est des années 60 à 80 nous aimons bien plus que la musique actuelle. A l’entrée elle aperçoit une copine à elle et son ami. Nous discutons à l’extérieur quand arrive le moment où je dis : Mesdames je dois vous laisser, les hommes ne sont pas admis ce début de soirée. Elle râle évidement son caractère ressort mais son amie est au courrant. Nous les quittons et je dis à plus tard en lui volant un baiser. Mon amis vient avec moi nous allons dans un bar prendre un pot, discuter puis vers 00h00 revenons le show est fini les stripteaseurs masculins ont regagné leurs loges, les hommes peuvent entrer. Nous retrouvons nos épouses à une table. Discussion animée, critique des ces jeunes femmes qui soit disant hurlaient lorsque ces cheepandels se mettaient à nu devant elles, enfin des femmes excitées…. Mais pas elles bien évidement vous imaginez !!
Nous continuons la soirée, slows langoureux baisers et bien sur mon épouse de me dire que j’étais un cokin. Je la caressai elle était réceptive, mais ne voulait pas se donner en tableau. Nous partons en fin de soirée. Une fois dans la voiture elle me dit doucement. C’était merveilleux très excitant tu es un diable, je démarre reprends la route de notre maison. Je passais par la même route que celle que nous employons autre fois dans la campagne. Je percevais à un moment une caresse étrange sur mon cou. Elle avait enlevé son string j’étais prudent car l’endroit regorge de chevreuils et il faut être attentif de nuit. Je n’ai donc rien vu. Je m’en suis rendu compte lorsqu’elle m’a passé son sous vêtement sur le visage en fait. Elle souriait se caressait et gémissait.
Elle me demande alors de m’arrêter et me dis vite je t’en prie. Je faufilai alors le scénic dans un chemin puis stoppait. Elle m’embrasse alors avec fougue, me disant que je suis un diable que je savais exactement ce que je faisais et qu’elle ne pouvait pas résister. Nous nous enlaçons, puis elle prend le temps de défaire mon pantalon. Sort mon sexe durci par cette ambiance et ses touchers. Sa bouche ne tarde pas à se poser sur mon gland humide et elle laisse alors glisser ses lèvres vers le bas lentement. Je ne peux que passer mes mains dans ses cheveux la position est inconfortable et dire qu’autre fois nous faisions l’amour dans une Mini cooper …. !!! Elle me laisse enfin en paix ouvre sa porte et me demande de la rejoindre. J’obéis et j’arrive à son niveau elle se tourne en me prenant par les épaule et se pose sur le petit capot du scénic, écartant ses jambes longues. Je glisse ma tête entre ses cuisses et la trouve ouverte, offerte épilée de cet après midi donc douce, très douce. Elle saisi ma tête la plaque sur son abricot elle je cambre. J’aimerais la prendre mais elle a une idée en tête.
Je la suce avale son jus précieux et doux. Elle est onctueuse, son bassin roule sous mes coups de langue. Parfois ma langue descend plus bas trouvant et caressant sa rosette. Soudain elle se raidit, pousse un feulement tire mes cheveux elle joui, coule. Je suis excité au plus haut point mais elle me cramponne. Je glisse un doigt entre ses cuisses, lui caresse les lèvres soyeuses, la pénètre elle râle, mais ne lâche pas prise. Je lui caresse la rosette elle se donne en gémissant je ressent ses contractions. Puis elle se détend, me libère. Je voudrais la pénétrer là encore j’ai une érection dure. Mais rien n’y fait elle rentre dans la voiture. Je n’ai pas pour habitude de la forcer alors je suis penaud et me rhabille. Elle s’essuie avec son petit string rigole et me le passe sous le nez.
Vite j’ai sommeil mon amour.
Nous arrivons je ne pense plus à cela un peu sur ma faim tout de même. Nous arrivons je file à la chambre commence à m’endormir elle est à la salle de bain. Je la sens se faufiler dans le lit.
Il est 5h00 du matin environs. Un dimanche. Elle se colle à moi et me dis :
J’ai adoré notre soirée je voulais te le dire, je sent alors sa main froide prendre mon sexe, puis elle bouge et je sens ses lèvres douces prendre possession de mon sexe ramolli. Ses cheveux glissent sur ma peau, caresse douce et existante.
Elle m’amène doucement à l’orgasme et au moment opportun garde ma verge qui se déverse en saccades dans sa bouche. Elle aspire et le bout de sa langue touche mon mea. C’est insupportable, elle masse mes bourses les caresse comme pour en extraire mon sperme. Elle gémi ondule elle aussi. Puis relâche son étreinte. Avale ma liqueur ce qui est rare mais arrive lorsqu’elle est existée. Et vient me lécher le corps en remontant doucement vers mon visage. Je frémis encore quelques convulsions, sa main froide continue à caresser mes bourses elle sait que j’aime beaucoup cela. Elle pose sa bouche sur la mienne et nous nous embrassons langoureusement.
Nous trouvons le sommeil, je sent mon pénis doucement qui décroît dans sa main, elle aime ce contact, le garde elle me tient souvent ainsi.
Une soirée comme j’aime lui préparer et une fin de soirée comme elle aime me faire découvrir.
J’espère que vous pouvez après tant d’années de mariage et de vie commune encore faire succomber votre partenaire, mais surtout qu’elle est aussi espiègle que la mienne. Une femme adorable un caractère dur mais une douceur et des envies imprévisibles si l’on sait la provoquer.
Si tel n’est pas le cas, surprenez là elle vous le rendra au centuple croyez moi.



Par Shelly Doll - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Vendredi 26 janvier 5 26 /01 /Jan 17:26
Cette histoire remonte à une dizaine d'années. J'étais à l'époque célibataire géographique (me femme n'avait pas souhaité me suivre dans le nord-est de la France pour mon boulot), et j'en profitais largement. Un jour, j'ai rencontré, dans un supermarché, la femme d'un collègue de travail qui était parti pour plusieurs mois en mission dans un pays lointain. Cette petite brune au visage angélique et au corps superbe, malgré de petits seins, avait quelque chose d'envoûtant. Nous avons discuté un moment, puis elle m'a invité à dîner. Je n'ai pas refusé et à l'heure dite, je sonnais à la porte de Sandrine, qui m'a accueuilli dans une robe hyper courte et très moulante, qui ne cachait rien de son corps à la fois svelte et aux formes gracieuses, et sous laquelle elle ne portait pas de soutien-gorge. Surpris, je me suis dit que cette femme n'était peut-être pas aussi angélique qu'elle en avait l'air.

Pour me servir l’apéritif, Sandrine s’est accroupie face à moi, les cuisses assez écartées pour que je puisse voir sa culotte. J'en ai eu aussitôt le feu au joues, mais elle a continué son service, comme si de rien n'était. Le repas a été particulièrement sage, car elle avait ses enfants, puis quand elle les a eu couchés, nous nous sommes installés sur son canapé pour regarder la télévision en discutant de choses et d’autres. J’essayais de rester calme mais j’avais le cœur qui battait. Je sentais que Sandrine attendait de moi que je me jette sur elle. Et comme je n'arrivais pas à me décider, l’atmosphère devenait de plus en plus lourde.

Au bout d’un moment, Sandrine m’a demandé si ça me dérangeait qu’elle se mette en pyjama, car elle se sentait serrée dans sa robe. Je lui ai dit que nom, et elle est revenue quelques minutes plus tard en chemise de nuit encore plus courte que sa robe. Elle s’est assise en tailleur sur le canapé à mes côtés, si bien que je voyais de nouveau sa culotte, en permanence cette fois. Elle a fait mine de s’étirer en grimaçant, pour me dire ensuite qu’elle souffrait souvent de mal aux reins, que son mari n’était pas là pour la masser comme il faisait toujours dans ces cas-là, et m’a demandé brusquement si je pouvais la masser un peu. Des sirènes d’alarme se sont mises à sonner dans mon cerveau, mais déjà elle me repoussait pour s’allonger sur le ventre sur le canapé, et remonter sa chemise de nuit sur ses épaules, m’exhibant ses fesses menues et fermes à peine cachées par sa culotte. Immédiatement, je me suis dit que je n'avais pas le droit de faire ça à mon collègue, tout en sachant que je ne parviendrais pas à me retenir de le faire. Et tout en me traitant intérieurement d’idiot, j’ai plaqué mes mains tremblantes sur ses reins, et j’ai commencé mon massage (un détail en passant, il parait que je suis très doué pour ça).

Pendant quelques minutes, j’ai massé son dos, de ses épaules à la naissance de ses reins, puis voyant qu’elle s’abandonnait de plus en plus et creusait les reins à chaque fois que je passais dessus, je suis descendu petit à petit sur ses fesses. Puis je n’ai plus massé que son cul superbe qu’elle avait cambré au maximum, et peu à peu mes doigts se sont insinués entre ses fesses pour caresser l’intérieur de ses cuisses qu’elle a écartées de plus en plus. Quand je me suis attaqué à sa fente, elle a gémi de bonheur. Sa culotte était trempée. Je l’ai d’abord caressée à travers le tissu, puis j’ai glissé mes doigts dessous pour sentir le contact de sa vulve brûlante et ruisselante.

Je l’ai masturbée de longues minutes, mes doigts allant de son clito à son vagin que je pénétrais doucement. Elle s’est laissée faire, puis quand elle s’est sentie au bord de l’orgasme, elle a refermé ses cuisses et s’est retournée vers moi. Elle a plaqué sa main carrément sur ma braguette et a eu un sourire de satisfaction de sentir que je bandais ferme. Elle m’a alors retiré ma chemise, puis m’a fait m’allonger à sa place sur le canapé, a ouvert et baissé mon pantalon et mon string, puis s’est emparée de ma queue qu’elle a avalée d’un coup presque totalement. Le contact de sa langue et de ses lèvres était très doux, presque imperceptible, et pourtant il m'a amené rapidement au bord de l’éjaculation.

Me sentant bientôt prêt à exploser, Sandrine a abandonné ma queue pour finir de me déshabiller entièrement, a retiré sa culotte mais gardé sa chemise de nuit (j’ai su après qu’elle fait un complexe pour son ventre qui bien que plat avait été abîmé par ses grossesses), puis elle s’est installée sur moi, à genoux, a redressé ma queue et s’est empalée sur elle. Sa chatte étant très étroite, elle a mis un moment à s’empaler complètement. Pour ma part, je devais faire des efforts surhumains pour me contenir de jouir tellement le contact brûlant de son fourreau serré était délicieux.

Quand enfin j’ai atteint le fond de son vagin, elle s’est mise à aller et venir sur moi en râlant puis en criant de plaisir, et nous avons fini par jouir en même temps. Elle s’est ensuite allongée sur moi pour reprendre son souffle, gardant ma queue en elle jusqu’à ce qu’elle débande et s’éjecte d’elle-même de sa chatte. Nous sommes restés ainsi un long moment, et comme il était très tard, je me suis rhabillé et suis parti après lui avoir promis de nous revoir un autre soir.

Nous nous sommes revus plusieurs fois, et la veille du retour de Denis, son mari, Sandrine m'a avoué aimer particulièrement ma façon de lui faire l'amour et avoir trop envie de continuer à me voir pour cesser notre relation, me promettant de trouver rapidement une solution. Or, tout le monde le sait, "ce que femme veut, Dieu le veut". Sandrine avait déjà parlé à son mari de son désir de pratiquer l'échangisme, peu avant que celui-ci parte à l'étranger, et il lui avait proposé d'en reparler à son retour. Il était à peine rentré depuis quelques jours qu'elle est revenue sur le sujet, en lui présentant une revue d'annonces échangistes qu'elle venait soi-disant d'acheter pour lui montrer que beaucoup de gens pratiquaient ce type de relation. Or, cette revue, c'est moi qui lui avait apportée quelques semaines plus tôt, pour lui montrer une annonce que j'y avais fait paraître et sur laquelle j'étais en photo entièrement nu.

Bien sûr, Denis n'a pas manqué de tomber sur mon annonce et de me reconnaître, surpris de me trouver dans ce type de revue. Sandrine en a immédiatement profité pour lui suggérer de faire appel à moi pour les initier à l'échangisme, et quelques jours plus tard j'étais invité à dîner par Denis, sans qu'il me parle de quoi que ce soit. Quand je suis arrivé chez eux, la revue est négligemment posée sur une petite table près du salon, et j'ai fait mine de la découvrir en demandant à Denis s'il l'avait lue. Il m'a aussitôt avoué m'y avoir même vu, et la conversation pendant l'apéritif et le repas a tourné sur ce sujet. Finalement Denis m'a demandé si je serais d'accord pour les initier à l'échangisme, ce que je me suis empressé d'accepter.

Nous sommes retournés au salon pour boire le café, Sandrine et Denis côte à côte sur le canapé, moi en face d'eux sur le fauteuil, si bien que j'avais une vue imprenable sur les jambes de Sandrine qui, tandis que je leur racontais avec force détails mes aventures amoureuses, s'écartaient peu à peu pour offrir à mon regard son entrejambe. Elle ne les avait pas encore suffisamment ouvertes pour que me regard puisse plonger jusqu'à son ventre qu'elle a vu à la bosse que faisait le pantalon de Denis que celui-ci bandait en entendant mes récits. Sa main s'est aussitôt plaquée sur sa queue qu'elle s'est mise à masser doucement à travers le tissu. D'abord surpris et quelque peu gêné de ma présence, Denis à fini par se laisser aller en arrière sur le canapé tout en plongeant sa main entre les cuisses de sa femme. Celle-ci les à aussitôt écartées autant que sa jupe l'autorisait, et j'ai alors découvert qu'elle avait mis des bas et ne portait pas de culotte. Et sa fente soigneusement épilée était déjà entrouvante et luisante de mouille, traduisant son excitation.

Sentant son mari s'abandonner à ses caresses, elle s'est immédiatement penchée sur lui pour ouvrir son pantalon, en extirper sa queue raide et l'aspirer entre ses lèvres goulues pour entamer une lente fellation dont je connaissais l'infinie douceur. Je bandais ferme moi aussi, et pour ne pas être de reste j'ai sorti ma queue que je me suis mis à masturber lentement. Les regards du couple se sont alors tournés vers moi quelques secondes, admirant ma queue tendue que Sandrine a fait mine de découvrir. Les choses se sont alors précipitées : nous nous sommes déshabillés, puis Sandrine m'a invité à m'installer à côté d'elle, et tandis qu'elle s'emparait de nos deux bites dures qu'elle s'est mise à branler simultanément, Denis et moi avons commencé à caresser son corps, de ses seins à son entrecuisse de plus en plus trempé de mouille.

Rapidement, Denis et moi nous sommes trouvés au bord de l'éjaculation, et Sandrine a alors abandonné nos queues palpitantes pour se lever, pousser la table de salon et s'allonger à même la moquette en nous invitant à venir nous occuper d'elle. Denis m'a alors proposé de goûter à sa chatte que lui connaissait déjà (s'il avait su que moi aussi le pauvre!). Et tandis que je m'installais entre les cuisses ouvertes de Sandrine pour me mettre à lui lécher la chatte, il lui caressait les seins pendant que Sandrine le suçait doucement. Mes coups de langue sur ses lèvres, son bourgeon et ses orifices ont tôt fait d'exciter Sandrine, dont le corps s'est mis à s'agiter de plus en plus fort tandis qu'elle poussait des gémissements étouffés. Puis n'en pouvant plus, elle a fini par abandonner la queue de son mari pour crier son plaisir, pour finir par pousser un long feulement rauque quand elle s'est mise à jouir avec une violence telle que son corps tressaillait brutalement. Finalement elle a refermé ses cuisses, m'emprisonnant entre elles de longues secondes pendant qu'elle récupérait de son orgasme.

Elle était à peine remise qu'elle nous a fait part de son désir de se sentir pénétrée. J'étais le mieux placé, et tandis qu'elle se mettait en levrette, elle m'a demandé de la pénétrer doucement compte tenu de la taille de ma queue et de l'étroitesse de sa chatte, et de ne pas jouir en elle, prétextant qu'elle voulait réserver ce plaisir à son mari. Je me suis mis à genoux derrière sa croupe tendue, et j'ai présenté mon gland gonflé à l'entrée de son con trempé. Elle mouillait tellement que je me suis enfoncé en elle sans difficulté, écartant au maximum les parois de son étroit fourreau vaginal. Malgré ma furieuse envie de me vider en elle, je me suis mis à la besogner lentement, pour contenir mon éjaculation. Pendant ce temps Sandrine suçait Denis à genoux devant elle. Je l'entendais gémir sourdement, tandis que cramponné de mes deux mains à ses fesses tendues, je la pénétrais aussi profondément que possible, avant de ressortir ma queue luisante de mouille presque en entier pour la replonger dans ses chairs brûlantes. Celles-ci se contractaient de plus en plus rapidement, m'indiquant qu'elle approchait de l'orgasme, que j'espérais qu'elle allait atteindre très vite car j'avais de plus en plus de mal à me contenir. Soudain, Sandrine a relevé la tête en poussant un grand cri, tandis que son corps ssemblait parcouru d'ondes d'une violence incroyable. Elle a joui longuement, s'agitant dans tous les sens, puis sa tête est retombée entre ses épaules, et le silence a envahi la pièce, à peine troublé par nos respirations haletantes. J'étais resté planté en elle jusqu'à la garde et je ne bougeais plus, de peur d'éjaculer aussitôt.

Une fois de plus, Sandrine a repris rapidement ses esprits, a avancé son corps pour se dégager de ma bite tendue à l'extrême et luisante de mouille, a demandé à Denis de venir prendre ma place, et m'a fait signe de m'allonger sous elle, ma queue au niveau de sa tête, afin qu'elle soit à l'aise pour me sucer pendant que son mari allait la baiser. Denis était déjà à genoux entre ses cuisses écartées, et j'étais à peine installé qu'il plantait son pieu tendu el elle d'un coup, jusqu'à la garde, avec une facilité qui semblait déconcertante à Sandrine. Son regard est resté braqué quelques secondes sur ma queue palpitante, puis ses yeux se sont plongés dans les miens, et tout en me fixant intensément, elle a demandé à Denis de l'enculer. Et tandis que celui-ci s'enfonçait lentement dans son étroit fourreau, elle continuait de me fixer d'un regard étrange. Puis quand il s'est mis à aller et venir en elle, elle a glissé une main entre ses cuisses pour se branler le clito, et sa bouche s'est emparée de mon pieu tendu.

J'attendais cette douce caresse avec impatience, et j'ai longuement gémi en sentant ses lèvres aspirer mon gland gonflé à l'extrême, et sa langue jouer avec tandis que sa bouche allait et venait sur ma colonne de chair avec une lenteur infinie. Son excitation est remontée très vite, et alors que j'allais exploser dans sa bouche, elle a abandonné ma queue palpitante pour hurler son plaisir. Denis la besognait à grands coups tandis qu'il se vidait en elle en poussant des grognements sourds. J'accompagnais le plaisir de Sandrine en lui triturant les seins dont j'agaçais les pointes tendues et dures.

Quand Denis a cessé de bouger en elle, gardant sa queue plantée dans son cul, Sandrine a posé quelques instants sa tête sur mon ventre pour reprendre sa respiration. Puis elle s'est redressée doucement, et sa bouche est revenue s'emparer de ma queue, qu'elle s'est mise à sucer plus profondément, plus rapidement qu'avant, sa main venant accentuer mon plaisir en allant et venant sur ma colonne de chair. J'étais tellement excité que j'ai senti que j'allais jouir très vite, et comprenant alors que Sandrine avait envie de me faire gicler dans sa bouche, je me suis laissé aller à mon plaisir. Sentant les palpitations de ma queue s'amplifier, Sandrine a accéléré le va-et-vient de ses lèvres sur ma hampe, m'aspirant de plus en plus profondément. Le plaisir m'a atteint brusquement, et je me suis mis à crier. Je sentais ma queue envoyer de puissants jets de foutre dans la bouche de Sandrine qui les avalait au fur et à mesure tout en continuant de me sucer, m'envoyant de délicieuses ondes dans tout le corps. Elle a continuer de jouer avec ma queue bien après la fin de mon éjaculation, jusqu'à ce qu'elle la sente enfin débander entre ses lèvres.

Nous étions épuisés, et après nous être rhabillés et avoir bu un dernier verre, j'ai quitté le couple heureux de sa découverte du triolisme, à tel point que l'un et l'autre m'ont demandé d'accepter de revenir régulièrement passer une soirée avec eux. Autant dire que je n'ai pas refusé une proposition aussi alléchante !
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Vendredi 26 janvier 5 26 /01 /Jan 17:24
Ma copine Marei et moi,on est allé veiller la semaine passé.Apres la soirée on est allé chez moi.Il restait un peu d'alcool,apre s'etre servi un verre et mis de la musique on c'est assis sur le sofaet on a jasé de tout et de rien.Bien surtout des gars et de sexe.
Bizarement sa présence me dérangeait un peu,ca devait etre l'alcoolet le fait de parler de sexe.Je sentais une chaleureintence dans mon corp.A ce momnet elle me regarde et me dit.
-Il fait chaud,tu ne trouve pas?
-Un peu mal a l'aise,je lui répond que oui.
-Je peux me metre a mon aise?
-Bien sur gene toi pas,que je lui dis...
Elle enleve sa camisol noir.Elle est tres grande les cheveux noirqui lui retombe sur les épaules,des yeux couleur noisette.Et de belle,de ters belle levres pulpeusent.Un frisson me parcoure le corp quand mes yeux descende et sur sa poitrine.Je releve les yeux un epu honteuse.Mais elle,sa l'amuse.
-Tu n'as pas chaud toi?Allez enleve ta chemise toi aussi!
Je m'execute sans vraimetn me faire prier.On s'est retrouver tout les deux en soutiegorge.La discutiona repris sur le sexe.Spontanement elle me jete un regard et me demande.
-As-tu deja fait l'amour avec une femme?
-Abasourdi je lui répond que non.
-Aimerais-tu esseyer?
-Je lui répnds que les vapeur d'alcool lui monte a la tete et éclate de rire.
-Nonet je suis sur que tu aimerais,j'ais vu la facon donc tu regardais mes seins tantot.
Marie s'aproche de moiet commence a me caresser les épaule du bout des doigts.Dans ma tete sa tourne ters vitte.Je sens que je suis exiter,car depuis qu'elle a enlevé sa camisol,je sens ma chatte tout humide.Ellele sais,elle le sent.Elle dessent les bretelles de mon soutien-gorges,approche ses levres des miennes.Je sents son soufle pres de mon visage,sa respiration devien plus forte et plus rapide.Sa m'allume encore plus.Mais elle ne va pas plus loing.Et puis merde je fais le pas,et l'embrasse tendrement.Sa langue entre dans ma bouche et cherhce la mienne qui ne tarde pas a ce manifester.Sa langue si douce,ce baiser si tendre et sensuel rempli d'érotisme.Je sents mes mamelons se durcir,elle raproche son corp du mien et ce qui fait que je sents ses seins contre mon corp.Ma chatte innode de plaisir,mon coeur bat dans mon clito.J'approche doucement mes mains sur ses seins,ils sont tres fermeet tres exiter aussi.
Je dessensd les bretelles de sont soutien-gorges en dantel noir.Lembrasse sur les épaules et en dessendant vers ses seins.Je les trouve tes beau avec des mamelons brun pale et les pointes tes dur.Elle me regarde et me dis.
-Allez manges-les.
Sans esiter je pose mes levres sur ses seins.Quel plaisir,je les leche.je passe ma langue sur le bout des mamelons.les suce et le caresse de mes mains.Je la sents frisonner de plaisir.Tout comme moi d'ailleur,jamias je n'aurais pencé aimeravoir des seins dans ma bouche.Elle pose ses mains sur mon visage et l'amene vers le sien,m'embrasse tendrementet me dit.
-Couche toi sur le dos et laisse toi faire.
J'aquiece et me couchesur le dos.Marie ce couche sur moi,m'embrasse sur la bouche,sur les épaules et dessent sur mes seins.Tout dure exiteJ'ai des spasmes dans le ventre.Elle pose sa bouche sur la pointe de mes seins et les mordille tendrement,les caresse fermement.Apres quelque temps sur mes seins.elle commence a me lecher le ventre et detacher mes jeans,apres les avoir enlever elle embrasse mes pieds en remontant vers mes cuisses ce qui me fait gemir un peu.L'exitationque je ressent me devore le ventre.Ma chatte est exiter et humide comme jamais.Elle la caresse a travers mon string.Qui lui est toute mouiller.Je l'entand dire tout bas.
-Hummmmm,ume belle chatte mouiller et chaude de plus bien rase...j'aime te chatte elle est ters belle...
Maire enleve mon string,écarte mes levres er approche sa bouche,je sent sont respire sur ma chatte.Elle sort sa langue et la pose doucement sur mon clitoet la leche en me penetrant de deux de ses doigts,moi je caresse mes seins.Sa langue va de plus en plsu rapidement et me mange toute la chatte.Elle me demande de me metre a 4 pattes pour bien voir mon petit cul.Alors le cul dans les aire,elle continue de me bouffer mais remonte vers mon anus.Elle pousse dessus avec sa langue,ce qui me faids gemir plus for.Sa langue passe de ma chatte amon cul qui ce dilate doucement.Elle peu meme y incere un doigts,qu'elle fait remuer dans mon cul.Ma chatte va exploser,elle me vois avoir des spasme incontrolable dans le bassin.Alors elle s'active a me sucer le clito et lecher ma chatte,sont doigt tjrs dans mon cul,je n'en peux plusma chatte explose dans sa bouche en meme temps que me bouche lache un grand cri de soulagement.Marie leche toute mon jus et remonte m'embrasser.Je peux me gouter er j'aime sa,je reprends un peu mes esprit,je doits la remercier a mon tour pour tout ce plaisir.
Marie s'etait etendu pres de moi tout en continuant d eme caresser.Apres avoir quelque peu repris,a mon tour de lui donner autant de plaisir que j'en ai recu.
Mais mains parcour sont corp plein de jolie ronduer,sa peua si douce au toucher,si chaude.Mes levres sur les siennes,et ma bouche qui dessent maladroitement vers sa genereuse poitrine,je ne veux que les prendre dans ma bouche,ma mains continue l'exploration vers le bas de sont ventre.Sa chatte est devetu de poiles,J'aime le toucher c'est tres differant quand ce n'est pas la tienne,car je conais ma chatte et la sienne je me doits de tout découvrir.J'y enfonce deux doigt,elle frisson,je le sents ma chatte redevien tres exiter,je veux la manger,sentir sont ofeur.la gouter.Ma bouche est attirer pas le desir de la lecher,mes doigts caresse tjrs sont bouton,j'embrasse sa petite merveille.Hummm ce nectare délicieux,j'écarte ses levres et fais parcourir ma langue a l'interieurd'elle,sur sa bille je sais qu'elle aime.avec les coup de bassin qu'elle donne,de la voir ce cramponer sur le soffa,je lui ecate les jambes pour aller a l'exploration de son cul,ses belle fesse dodues,je passe ma langue sur son cul et revien a sa chatte de plus en plus exiter,je veux qu'elle explose dans ma bouche.Mes doigts chatouille tjrs sont cul,s'est gemissement sont plus fort,mon exitationest a son paroxisme,j'enfonce un doigts dasn son cul,elle m'en demande encore.
-Mest-en un autre...et mange bien ma chatte
Avec de tel encouragemetn je me mets a l'oeuvre,j'ensere un autre doigt,enfonce ma langue dasn sa chatte et retourne a sont clito,de l'entendre crier me fait mouiller encore plus.Puis soudin les jambes lui tremble et elle hurle un oiiiiiiiiiii...Elle explose dans ma bouche,je leche tout avec gourmendise.Marie me tire vers elle et m'embrase goulument,moi je veux juste me masturberpour sortir l'exitation en moi.Jeme couche pres d'elle et poursuit les caresseses,je me masturberai plus tard pour l'instant je savoure le momenr.Je me colle vers elle et lui chuchote a l'oreille.
-Merci,merci pour tout...
-Note silence etait comblé par des respiration d'exaltationet d'un doux fond de misique douce.On s'est endormiel"une contre l'autre.
Et depuis on projette de se voir tres souvent.


Par Shelly Doll - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Jeudi 25 janvier 4 25 /01 /Jan 21:03

Bi

Bi
En 1996, j’étudiais l’anthropologie à l’Université de Montréal. Les étudiants de mon groupe étaient sympathiques et j’espérais bien en trouver un en particulier à conquérir. Dès mon premier cours de la session, je l’ai repéré. Guy : beau, grand, cheveux blonds et regard sauvage. J’appréciais les hommes dans ce genre-là, animal fauve prêt à vous sauter dessus à l’instant propice. Les gars ne semblent pas vraiment compliqués sur ce point. On lève le petit doigt et hop! ils vous font monter au septième ciel. Il ne nous reste qu’à choisir lequel nous ouvrira les portes du paradis. J’en parlais avec mes nouvelles copines d’anthropo et elles demeuraient toutes du même avis. Les gars, on doit se les taper et en prendre plaisir, sinon on risque d’y laisser notre peau. Toutes restaient unanimes: Guy se classait parmi les hommes virils bien membrés. Était-il intelligent? Je m’en moquais, ce n’était pas ce que je recherchais. Surtout pas un type plus malin que moi. Tant qu’il fera voler les draps, je le garderai sous mon aile, ou je devrais plutôt dire, dans mon lit! Après quelques démarches pour séduire Guy, il m’invita machinalement à sortir. Ce n’est pas peu fière de moi que je fouillais dans mon agenda à la recherche d’un semblant de rendez-vous. Son regard trahissait cette supposée confiance inébranlable qui, il espérait, n’allait pas flancher aujourd’hui. Ça m’amusait de le voir frémir ainsi, crispant ses muscles, gardant la tête droite et haute. Et puis, je refermais finalement mon horaire du temps pour lui proclamer avec mon sourire charmeur qu’il n’y avait pas de problème. Le soir même, on s’est retrouvé dans un bistro coquet à discuter de ce qui le branchait, le football. Des heures à répéter des « ho! » et des « ah! oui! » d’enthousiasme simulé. Ah! Que de sacrifices pour avoir au bout du compte ce que je désirais le plus : une bonne baise! Enfin, le retour à l’appartement pour un dernier verre se faisait imminent. Guy commençait à devenir collant et il me toisait, l’air béat. Sa main me frôlait au passage lorsque nous marchions côte à côte. Je croyais que l’affaire était dans le sac… Une fois chez lui, Guy, la tête dans le frigo, cherchait quelque chose pour se rincer le gosier. J’entendais sa respiration prenant des airs de panique. Puis, il m’annonça, avec un petit sourire gêné, qu’il devait se rendre au dépanneur. M’installant confortablement dans un gros fauteuil, je commençais à feuilleter un magazine. Un cliquetis dans la serrure me surpris; il devait avoir oublié son portefeuille. Je m’élançais telle une jeune gazelle dégourdie dans sa direction. Je m’arrêtais net en apercevant une jeune femme. Elle me dévisagea, confuse, puis ses traits se détendirent ayant l’air d’avoir saisi. Elle se présenta; elle s’appelait Shala. Elle s’est mise à rire lorsque je lui ai raconté les bévues de son coloc, un rire doux, dégagée de toute pudeur. Pendant les va-et-vient de Shala dans le logement, je me suis surprise à la contempler. Oui, en effet, elle était resplendissante. Les cheveux noirs de jais, les yeux clairs, la peau basanée, sa mini-jupe flottait gaiement autour de ses cuisses satinées. On discuta de tout et de rien. Je me sentais merveilleusement à l’aise, tellement que j’avais oublié Guy. Lors d’un instant de silence, je ne pus me retenir de porter mes yeux sur ses jambes. Ensuite, je fis un effort pour regarder distraitement ses seins. Je l’enviais, elle semblait parfaite en tout point. La sonnerie du téléphone me ramena à la réalité. Tout en conversant avec son interlocuteur, Shala, tournée vers moi, me souriait. C’était Guy; il avait rencontrer un copain en chemin, le radiateur de sa voiture était tombé en panne. Soudain, je pris conscience que je n’avais plus envie de me faire baiser par lui. Non, pas de baise pour ce soir. J’étais définitivement hypnotisée par la beauté chaude de Shala, ses yeux, sa peau, son odeur. Comme si elle lisait mes pensées, elle s’approcha de moi. Je ne savais pas ce qu’elle désirait. J’avais le souffle court, les mains moites et mon corps transpirait comme jamais. Elle était maintenant tout près, assez pour me toucher, me sentir à tout le moins. Elle entreprit alors de passer sa main sur mon bras droit, remonta jusqu’à mon épaule prenant le soin d’effleurer mon sein au passage. Mes bouts se dressèrent fièrement pour révéler leur présence et leur désir de se faire prendre à pleine main. Elle souriait, me contemplait. Une haleine chaude coula dans mon cou. Ensuite, des mains s’y posèrent comme si elles voulaient m’étrangler. Loin de moi l’idée d’esquiver cette imposition charnelle; j’aimais mieux mourir ici que de repousser cette prise de contrôle enivrante. La belle détacha un à un les boutons de mon chemisier. Mes seins se découvrirent peu à peu. Shala semblait satisfaite de les voir ainsi dénudés, excitée de constater que je ne portais pas de soutien-gorge. Ses touchers se firent oppressants, voulant tâter chaque bout de chair vierge de tout toucher féminin et délicat. Comme si les hommes avaient les mains sales et n’appréciaient pas les beautés de la femme, sa fragilité, ses subtilités. Les gestes de Shala devinrent plus précis. Celle-ci contournait la rondeur de mes deux oranges. Des frissons incroyables parcouraient maintenant tout mon corps. Ses lèvres charnues s’approchèrent des miennes. Je voulais la goûter, mêler ma salive à la sienne, lécher sa bouche, ses lèvres, posséder sa langue. Le lesbianisme se révélait à moi en une foule de petites attentions. Je ne me sentais pas obligée de rendre ses caresses, ou de partager des baisers oppressants, des positions acrobatiques. Shala me prit la main et m’entraîna sur le canapé. De la sueur ruisselait entre mes seins. On la voyait reluire à la lumière tamisée de la lampe. Elle s’affaira à lécher mon ventre puis mon bas-ventre près de mon pubis. J’avais bien peur qu’elle ne descende plus bas. Que ferais-je si elle se décidait à enlever mon jeans et ensuite ma culotte pour... Ha! mon Dieu! je ne pourrais pas la laisser me brouter comme mes amants sans scrupules savaient si bien le faire! C’est assez embarrassant une femme entre tes jambes qui savoure tes organes génitaux et qui veut te faire jouir par-dessus le marché! Comment pourrais-je m’éclater à la seule pensée que c’est une femme qui me fait ça? Elle continuait son ascension vers mon Mont de Vénus, elle gravissait les échelons un à un vers l’atteinte de l’apogée; à partir de là, je ne pourrai plus faire marche arrière. Soudain, un doigt s’introduisit en moi sans crier gare. Il fouilla chaque recoin de la paroi de mon vagin, tâta ses imperfections, sa rugosité, ses points sensibles. Shala cherchait ce qui me plaisait, ce qui me ferait jouir. Un doigt de son autre main commença à rouler mon clitoris doucement, puis il accéléra jusqu’à exprimer un mouvement de moulinet à ce petit bout de chair enfoui dans mon coquillage. Au bout de quelques minutes de ces caresses, je me suis redressée sur les coudes, haletante, ne pouvant en supporter plus. Elle me scruta attentivement pour savoir si j’étais satisfaite ou non. Elle en déduit rapidement que oui : lasse et exténuée, j’avais néanmoins les joues en feu. Elle attendait mon approbation, prête à se lancer à nouveau, tête première, dans le régal de ma tendre vulve. Sa langue frétillante cherchait mon clito. Une fois sur le point sensible, elle n’hésita pas et l’enroba de salive, de caresses buccales, de mordillements. Je me laissais bercer sur les vagues du plaisir, les lèvres frémissantes, les yeux révulsés. Mes mains s’agrippaient tant bien que mal aux rebords du canapé, aux coussins qui y étaient éparpillés. Elle ne lâchait pas prise, la belle. Et moi qui ne faisait rien pour qu’elle jouisse elle aussi! Non, je me devais d’être égoïste, de profiter de ces instants de bonheur divin. Alors que j’allais atteindre le nirvana, elle arrêta son manège brusquement. J’ai failli à cet instant lui crier : « Hey! Tu n’as pas le droit de te retirer! Continue! C’est moi qui commande! » La porte venait de se refermer et Guy se tenait là, la gueule pendante, gelé sur place. Me ressaisissant après quelques secondes, je me rhabillai en vitesse. Je quittais l’appartement prestement, sans rien ajouter. Moi qui croyais dominer sauvagement un homme au lit, je suis tombée sous l’emprise d’une femme. Qui l’aurait cru?

Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Dimanche 21 janvier 7 21 /01 /Jan 16:47
- Quand on est sortis de la piscine, j'ai remarqué que son sexe était encore assez gros, c'est pour ça que je pense qu'il était en érection dans l'eau. Il m'a dit qu'il allait chercher des serviettes, et qu'en attendant je n'avais qu'à m'allonger sur un des chaises longues qui étaient au bord de la piscine. C'est ce que j'ai fait et je me suis mis sur le ventre pour cacher mon sexe. Il est revenu peu de temps après avec les serviettes et m'a essuyé le dos et les jambes. Je n'ai pas osé bouger de peur qu'il m'essuie aussi le ventre. J'ai alors ressenti un truc frais dans le dos et ses mains ont commencé à me masser. Il était en train de m'étaler de la crème solaire sous le prétexte que je risquais un coup de soleil en restant allongé ainsi. En fait, il en profitait pour me tripoter. Il m'a aussi étalé de la crème sur les jambes et pour finir sur les fesses.

Marie commence à trouver de plus en plus d'intérêt au récit de son mari.

- Et ensuite, il t'a mis aussi de la crème de l'autre côté ?
- Non. J'ai préféré rester sur le ventre. Plus il me massait, plus son sexe grossissait. Quelquefois il se retrouvait assez près de moi, je ne pouvais pas m'empêcher de regarder du coin de l'œil sa queue qui ne cessait de grossir. J'angoissais, j'avais peur qu'il me la foute dans la bouche ou dans le cul, j'ai préféré ne pas bouger.
- Et ça s'est terminé comment ?
- Il s'était installé sur la chaise longue à côté de moi après s'être enduit de crème solaire sur tout le corps, n'hésitant pas à se caresser le sexe au passage. Il était allongé sur le dos ce qui faisait que je voyais parfaitement son queue. Je n'arrêtais pas de le regarder, par curiosité. Au bout d'une demi-heure, j'ai voulu me retourner, c'est alors que je me suis rendu compte que j'avais le sexe presque en érection. J'ai préféré me mettre la serviette autour de la taille.

- Puis, comme pour rigoler, on s’est mit à se raconter des histoires de cul. A cet âge là, on bande avec n’importe quoi, et en un rien de temps, on était bandé tous les deux! On s’est regardé et il m’a alors demandé.

- Es-tu aussi excité que moi?
- Oui, je le suis
- Tu es sérieux!!? Aimerais-tu qu’on se masturbe tous les deux!
- Habituellement quand je suis excité, je me retiens pasr
- Niaise pas, je suis sérieux, j’aimerais te masturber
- Hein? Tu veux me masturber? Non, je ne veux pas
- Il n’a alors plus posé de question, mais après 5 minutes de silence, je lui ai dit :
- Je suis encore bandé
- Niaise pas je t’ai dit
- Regarde!! Et j’ai enlevé la serviette pour lui montrer ma queue qui était encore toute dure
- Garde, je n’ai pas envie de niaiser, si tu en as envie, que tu es sérieux, je vais faire une chose. Je m’en vais dans le salon juste là, et si tu as vraiment envie que je te crosse, tu viens me rejoindre, sinon, tu restes ici, et on se rhabille

- Il s’est alors levé et je l’ai vu marché la queue dure pour rentrer chez lui par la porte-patio donnant sur sa cour. Je suis resté immobile une minute, puis je me suis levé, attiré, excité par l’idée de me faire crosser. J’étais encore puceau à l’époque. En entrant dans le salon il m’a dit

- Tu sais ce que tu fais, je suis sérieux!!

- Oui, je le sais, mais je ne veux pas qu’on s’embrasse

- ok

- Je me suis alors assis à côté de lui, la queue en extension et lui, il s’est mis à genoux sur le plancher devant moi. Il a écarté les jambes et avec une main, il a pris ma queue et il a commencé à me masturber. Avec son autre main, il s’est mis à me caresser les couilles!! Après une ou deux minutes de ce petit manège, où il était bandé bien dure lui aussi juste à me masturber, il s’est assis à coté de moi, et ma dit de croiser ma jambe avec la sienne, et de prendre ma queue avec ma main tandis qu’il prenait ma bite avec sa main! Et on s’est crossé mutuellement comme ça jusqu’à ce que j’éjacule. Après avoir éjaculé, j’ai augmenté le rythme de mon mouvement sur sa queue et je l’ai fait éjaculé à mon tour! Il s’est alors levé pour aller à la salle de bain, et est revenu avec une boite de kleenex sans s’être essuyé. Il a pris quelques kleenex et ma tendu la boite et il a commencé à s’essuyer debout devant moi! J’ai fait de même en restant assis.


- Après cela, je suis allé reprendre mes vêtements qui étaient secs. On a continué à faire des maths pendant encore deux heures. Mais disons que notre concentration n’était pas au beau fixe. Je ne voulais surtout pas qu’il en parle à nos amis. Et il se mit à me raconter tout plein d’histoire concernant des aventures semblables entre confrères et consoeurs de classe. J’insistais à chaque fois pour qu’il ne dise rien et à chaque fois, il me racontait une anecdote sexuelle sur untel ou unetelle. De temps en temps, c'était plus fort que moi, je souriais de gêne. Je suis ensuite rentré à la maison, il avait insisté pour que je reste à manger, mais j'avais peur de me faire violer avant la fin de la soirée.

- Dis plutôt que tu avais peur de craquer et de lui sucer la bite.

- J'ai préféré partir avant d'avoir à me poser la question. L’examen était le lendemain. La question n'arrêtait pas de me hanter l'esprit. Heureusement, je t'ai rencontré par la suite dans une fête qu'on avait organisée avec des copains pour fêter l’halloween et je n'ai plus repensé à ce garçon jusqu'à maintenant.

- En quelque sorte, je t'ai sauvé de l'homosexualité ?
- Peut-être.
- Tu n'as jamais regretté de ne pas avoir poussé plus loin ?
- Je ne sais pas.

Denis a suivi ce récit avec étonnement.

- Après tout, il voulait peut-être juste te sucer.
- Et alors ? Tu te serais fait sucer, toi ?
- Peut-être. Pourquoi pas ?
- Tu t'es déjà fait sucer par un mec ?
- Ben...

Isabelle réagit immédiatement.

- Hein quoi!!? C'est intéressant ça. Raconte!!!

- J'étais en camping à Old Orchard avec ma famille et la famille de ma tante, cousins, cousines. On avait sympathisé avec des Américains qui étaient nos voisins. Il y avait deux filles et un garçon. Un soir, je me suis retrouvé sur la plage avec l'une des deux filles. Elle me dit qu'elle voulait me faire un petit plaisir, mais qu'elle préfèrerait me bander les yeux. Évidemment, j'accepte. Elle a ouvert mon zip sortis ma queue déjà bandée de mon pantalon. Elle a commencé à me masturber, puis s’est mise à me sucer. Une magnifique fellation. Au bout de quelques minutes elle me demande si j'aime, je lui dis que j'adore, tellement c'est bon. Elle me retire mon bandeau. Ce n'était pas elle, mais le mec qui était en train de me sucer ! Le choc. En plus, il m'a demandé s'il pouvait continuer.

- Et qu'est-ce que tu as fait ?

- J'ai dit « yes, yes, continue!!! ». Il m'a sucé jusqu'au bout. J'ai prévenu que j'allais jouir en disant, « wait, i will jouisss » mais il est resté en position et je lui ai tout giclé dans la bouche. C'était trop bon. Ces deux pervers se sont alors embrassés devant moi pour partager le sperme, et elle m'a embrassé ensuite, ce qui fait que je me suis retrouvé à goûter à mon propre sperme.

- C'est tout ?
- Oui.

Philippe intervient.

- C'est déjà pas mal. Je ne suis pas allé aussi loin.

Sa femme se fait curieuse.

- Et si tu avais été dans cette situation, tu te serais laissé sucer jusqu'au bout?
- Peut-être. Je ne sais pas.

Isabelle reprend la parole.

- Ça m'a bien excité vos histoires, les gars. Maintenant, je voudrais bien qu'on s'occupe un peu de moi.

Marie répond la première.

- Je peux te lécher, si tu veux.
- Pourquoi pas ? Je te rendrai la pareille. Allons dans la chambre.

Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir en se tenant la main et retirent le peu de vêtements qu'elles portent. Elles se placent à genoux l’une en face de l’autre sur le lit. Marie commence doucement par caresser Isabelle sur les bras, les épaules et elle descend très lentement, avec une main sur les seins de sa partenaire et les caresses du bout des doigts! Puis, avec son autre main, elle refait la même chose et lui caresse l'autre sein! Tout ça dans le but de s'entendre gémir un peu, car tous savent maintenant que Marie fantasme sur les seins d’une femme.

Après quelques minutes de caresse, Isabelle rend la pareille à Marie. Toujours dans la douceur, les deux filles augmente la cadence et se caressent le ventre, les hanches, les fesses, le dos, les épaules, le cou et le visage.

Marie s'approche alors d’Isabelle et remplit sa promesse faîte à son mari en commençant à embrasser dans le cou son amie. Puis, en léchant tranquillement chaque partie du visage de la fille, elle se dirige ainsi sur la bouche de Marie, et elles se frenchent toutes les deux, la langue sortie de leurs bouches. Pendant ce temps, les deux gars regardent leur conjointe et se retrouve en moins quelques secondes avec une de leur plus grosse érection de leur vie.

Les filles s'allonge alors sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Marie s'adresse alors à eux.

- Ne restez pas plantés comme ça, faites comme nous.

Son mari se refuse à comprendre.

- Comment ça ?
- Faites un 69.
- Entre gars ?
- Ben oui.

Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu'ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se manger leur font également énormément d'effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement flyée que ce serait dommage de ne pas s'amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux en pleine érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l'autre, découvrant pour l’un, redécouvrant pour l’autre, le plaisir de caresser un sexe masculin, imberbe en plus. Une minute s'est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant le sexe de l’autre bien raide dans leur main et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s'interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Denis s'approchent du lit et s'allongent l’un à coté de l’autre en position inversé. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite tendue au max n'est plus qu'à quelques centimètres de sa bouche. Denis a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l'autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.

Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Marie et Isabelle s'en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Tout en étant par-dessus Isabelle, Marie ne peut s’empêcher de regarder les deux hommes se sucer ensemble! Son excitation est à son plus haut point! Quant à Philippe, il commence à s'inquiéter, car lui aussi ressent la même chose que sa blonde!

- On va jusqu'où comme ça ? Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi, tu n'oserais quand même pas m'éjaculer dans la bouche ?
- C'est ton problème. Pas le mien.

Marie leur répond.

- Hé, pas si vite. Moi aussi, je voudrais y goûter à vos bites. Isabelle, tu me prêtes ton mari ?
- Bien sûr, et je t'emprunterai le tien.

Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l'autre. Au bout de quelques minutes Isabelle sent qu'elle veut passer à autre chose.

- J'ai comme un manque. Je voudrais bien sentir une queue dans ma plote. Je sais, je suis vulgaire quand je suis en manque!

Elle s'adresse alors à Philippe.

- Avez-vous apporté des capotes ?
- Ben non. On n'en a pas besoin.
- C'est embêtant ça. Je me méfie quand même des MST. Tant pis, je me contenterai de Denis cette fois-ci.
- Je peux en acheter pour la prochaine fois.

Denis intervient alors.

- Personnellement, je ne suis pas trop capote. On ne pourrait pas plutôt faire des tests de MTS pour être tranquilles une bonne fois pour toutes ?

Marie acquiesce.

- C'est vrai ça. Il n'y a rien de meilleur que de sentir le sperme chaud gicler au plus profond de soi.

Isabelle se contente de confirmer.

- C'est vrai.

En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l'autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur ses magnifiques seins. Épuisé, il va l'embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu'à arriver au contact de son propre sperme qui s'est répandu sur les seins de Marie. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Denis. Philippe le sait, c'est pour ça qu'il l'a fait, et il en fait part à son ami.

- Et ça tu le fais ?

Denis était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.

- Tiens. Voilà une dose supplémentaire.

Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.

- Calva……, toi.

Pour équilibrer le tout, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Marie. Denis atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.

- C'est moins drôle, hein ?
- Bah ! T'es dégueulasse ! Et tu goûtes à ton sperme, toi ?
- Comme toi. Tu y as bien goûté quand tu t'es fait sucer par un mec.

Denis se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.

- C'est vrai. Goûte aussi le mien, tu pourras comparer.

Philippe s'approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.

- Alors, toi aussi, il faut que tu essayes.

Marie est ravie.

- Oh oui. Quelle bonne idée. Sucez-vous donc mutuellement !

Les deux hommes se replacent l’un en face de l’autre, comme ils l'ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l'autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Et de plus, Marie se place pour aider Philippe à sucer Denis, et Isabelle aussi aide Denis à sucer Philippe. Les gars s'avancent simultanément, comme ils l'ont déjà fait, chacun observant l'autre. Chacun s'avance encore un peu, ouvre la bouche et lèche la queue devant eux. C'est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Sous l'effet de la succion, chacun a repris de l'ardeur dans la bouche de l'autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Ils ne peuvent plus se retenir et se laisse jouir à nouveau et les 4 bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, les gars s’approchent de leur femme en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective.

Puis les femmes prennent la position de leur homme et on refait le même manège mais à l’inverse, les hommes léchant la chatte de l’une et l’autre avec leur femme respective.

Marie jouit à nouveau, grâce aux langues de son couple d’ami, tout en continuant de partager la chatte d’Isabelle avec Philippe pour la faire jouir à son tour! Elle est particulièrement excitée à voir son mari manger une chatte devant elle! Encore étourdis pas des émotions aussi intenses, elle demande alors à Isabelle quelque chose de surprenant.

- Tu peux me pincer ?
- Encore un nouveau fantasme ?
- Non, je veux juste vérifier que je ne rêve pas.
- Comme tu veux.

Isabelle pince Marie qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.

- Tout va bien. Je me sens guérie. Je vais beaucoup mieux. Je vais maintenant pouvoir profiter des plaisirs de la vie.

Isabelle conclut alors.

- C'est vrai. Je te sens beaucoup mieux. En plus, cette petite thérapie aura profité à tout le monde, y compris à nos maris. N'est-ce pas, messieurs ?

Les deux hommes acquiescent de la tête, les yeux ébahis, couchés sur le lit sans rien dire, sauf de respirer très fort!!!! Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !


- à suivre -
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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