histoire Érotique-Nasty story

Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 17:36
Des cris émanant du jardin parviennent jusqu'à la chambre en passant par la fenêtre entr'ouverte. Ce sont les enfants d’Isabelle qui appellent leur mère, elle se lève et s'adresse une dernière fois à son amie avant de quitter la chambre.

- Je vais voir ce qui se passe en bas. Allonge-toi si tu veux. Tu m'as l'air assez pâle.
- Je ne sais pas si c'est le manque de sommeil où ce que l'on vient de faire, mais c'est vrai que je ne me sens pas très bien.
- Repose-toi un peu. J'en aurai peut-être pour un certain temps.

Isabelle a quitté la chambre. Marie, qui n'a pas eu le courage de remettre son tanga et sa jupe, s'est allongée sur le lit. Elle s'efforce de reprendre ses esprits et de se décontracter. Ça y est, la thérapie du psy a commencé à être appliquée. Il fait beau, l'air est chaud, il est agréable de rester allongée à ne rien faire.

Quelques instants plus tard, Isabelle est de retour. Marie est plutôt surprise car son amie s'est entièrement déshabillée.
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Il faisait chaud, alors je me suis mise à l'aise.
- En effet, tu t'es vraiment mise à l'aise.
- À propos... J'ai bien aimé ton épilation... J'essaierais bien, moi aussi.
- Tu as un épilateur électrique ?
- Non, mais j'ai un rasoir et de la mousse.
- Ça ira, mais le poil repoussera plus vite.
- C'est juste pour essayer, mais j'ai peur de me couper, je n'ai pas l'habitude.
- Tu veux que je t'aide ?
- Je veux bien. Tu m'accompagnes à la salle de bains ?

Les deux femmes ressortent de la chambre et traversent le couloir en direction de la salle de bains. Isabelle, complètement nue, est suivie de Marie qui ne porte plus que son chemisier. Isabelle entre la première et se dirige vers un placard où elle prend une serviette ; elle va ensuite à un autre placard d'où elle sort un rasoir et de la mousse à raser. Elle pose le tout au bord de la baignoire et se retourne vers son amie.

- Bon. Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait ?
- Voyons... Assieds-toi au bord de la baignoire, ce sera plus pratique.
- D'accord.

Tandis que Isabelle prend place à côté de la serviette, Marie fait couler de la mousse à raser dans le creux de sa main. Elle s'approche ensuite de son amie et commence à recouvrir sa toison pubienne. Le contraste entre les poils noirs et la mousse blanche est net, mais le blanc prend progressivement le dessus. Marie prend alors le rasoir en mains et commence son travail de débroussaillage. Les poils noirs disparaissent au fur et à mesure de l'avancement du travail. Simultanément, sa fente commence à apparaître. Marie lui fait bien écarter les jambes pour accéder aux moindres replis, et du coup le sexe d’Isabelle s'entrouvre sous les yeux de Marie qui parvient difficilement à cacher son excitation.

Par deux fois, Marie remet de la mousse pour affiner le rasage. À la fin, il n'y a plus de contraste entre le noir et le blanc, tous les poils ont disparu, la peau est à nu. Isabelle enjambe alors la baignoire et se rince l'entrejambe à l'aide de la pomme de douche. Son sexe est devenu imberbe, plus aucun poil ne cache ses parties les plus intimes, et ce pour le plus grand plaisir de son amie qui ne peut s'empêcher de lui dévorer le sexe des yeux. Marie prend la serviette et se charge elle-même d'essuyer son amie, une façon très intime de la caresser. Elle repose ensuite la serviette et, sans un mot d'explication, se met à caresser le pubis de son amie puis, descendant vers le sexe, elle lui parcourt la fente de haut en bas. Bien qu'elle se laisse faire, car cela est très agréable, Isabelle est néanmoins surprise de ce traitement.

- Qu'est-ce qui te prend ?
- Rien. Je vérifie si j'ai bien travaillé.

Ses doigts se font plus précis, elle commence même à en faire pénétrer un à l'intérieur de la fente de son amie, à la recherche de son clitoris. Toujours aussi surprise, Isabelle ne peut s'empêcher d'être gagnée par le plaisir qui monte en elle.

- Attends. Pas ici. Allons plutôt dans la chambre.

Marie, qui entre temps a déboutonné son chemiser, le jette négligemment sur le fauteuil. Elle se retrouve alors totalement nue car elle ne portait pas de soutien-gorge. Les deux jeunes femmes se place d’abord à genoux devant l’une et l’autre. De cette façon, chacune peut explorer à loisir le sexe de son amie avec leur main. Les petites caresses du début se transforment rapidement en masturbation prononcée, chacune introduisant d'abord un doigt dans la chatte de sa partenaire, puis deux, puis trois. N'y tenant plus, Marie se couche sur le dos et Isabelle monte sur Marie et les deux femmes se mettent à se lécher mutuellement le sexe sans retenue en 69. Les langues remplacent les doigts, parcourant les lèvres avec fébrilité, titillant le clitoris, s'insinuant au plus profond de l'intimité. Tout à coup, Marie ressent une présence, elle tourne la tête, un garçon et une fille sont sur le pas de la porte, les enfants d’Isabelle sont en train de les observer. Surprise et honteuse, elle tressaillit, pousse un cri et ouvre les yeux. Elle est seule dans le lit, plus personne à la porte, elle porte à nouveau son chemisier, elle vient de se réveiller. Tout ceci n'était qu'un rêve. Encore un rêve !

Isabelle arrive quelques instants plus tard.

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Je t'ai entendue crier.
- J'ai encore fait un rêve.
- C'était un cauchemar ?
- Non. C'était plutôt agréable. On était ensemble, je t'avais rasé le sexe et puis nous avons fait un 69 sur le lit.
- Et c'est pour ça que tu as crié ?
- J'ai rêvé que tes enfants nous avaient surpris.
- Ne t'inquiète pas, ils sont partis jouer avec les enfants de la voisine, c'est pour cela qu'ils m'appelaient.
- Bon... En tout cas, encore un drôle de rêve.
- Plutôt prémonitoire. J'avais justement l'intention de me raser le sexe.

Marie regarde le pubis de son amie, il a l'air largement moins fourni que tout à l'heure.

- Tu as déjà commencé ?
- J'ai enlevé le plus gros avec la trimeuse de Denis. Comme j'ai vu que tu dormais, j'ai préféré ne pas te réveiller. Mais je veux bien que tu m'aides pour le rasage.

Une fois dans la salle de bains, Isabelle s'assied au bord de la baignoire. La serviette, la mousse à raser et le rasoir sont déjà sortis. Marie a l'impression d'avoir déjà vécu cette scène.

- C'est curieux, c'est presque comme dans mon rêve.
- Alors, fais comme dans ton rêve. C'est ce que mon patron t'a dit de faire.
- Tu es sûre ? Dans ce cas, il faut que je te lèche et que tu fasses de même.
- On verra bien jusqu'où on ira, mais on peut toujours commencer par le début.
- D'accord.

Marie reprend alors la bombe de mousse en main et en fait couler sur ses doigts. Elle étale ensuite la mousse sur la toison pubienne de son amie jusqu'à ce qu'elle ait recouvert tous les poils. Pendant cela, Isabelle écarte les cuisses pour faciliter le travail de son amie. Ce faisant, elle lui dévoile encore plus profondément ses parties les plus intimes. Ses lèvres s'entrouvrent, dévoilant partiellement son clitoris et le reste de l'intérieur de sa fente. Troublée, Marie se ressaisit et prend le rasoir en main pour passer à la partie la plus importante, la suppression totale des poils pubiens de son amie.

Tout en maniant le rasoir, Marie demeure pensive.

- C'est troublant, cette impression de déjà-vu.
- Moi, c'est plutôt que tu me rases le sexe qui me trouble.
- Je comprends, j'avais aussi cette sensation dans mon rêve.
- À propos de tes rêves. Je suis descendue sans culotte tout à l'heure.
- Oui, et alors ?
- C'est très excitant. Évidemment les enfants ne se sont doutés de rien, la voisine non plus. Je sentais l'air passer sous ma jupe et me caresser le sexe. Jamais je n'avais ressenti cela jusqu'à présent.
- Et ça t'a plu ?
- Beaucoup. Je pense que je vais recommencer. La plote à l’air!!! Tu devrais essayer toi aussi. Je sais, je suis vulgaire quand je parle de cul!!!!
- Pourquoi pas...

Tout en discutant, Marie a fini de raser le sexe de son amie. Il est dorénavant aussi lisse que le sien, aussi lisse que dans son rêve. Va-t-elle aller plus loin et continuer à faire ce qu'elle a rêvé ?

- Voilà, ça y est. C'est fini.

Isabelle porte la main à son sexe et commence par se caresser le pubis, puis les lèvres, elle s'introduit ensuite nonchalamment un doigt devant les yeux éberlués de son amie.

- C'est très agréable. Je sens que je vais aimer. Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu es toute rouge.
- Je te fais remarquer que tu es en train de te masturber devant moi.
- Et alors, ce n'est pas ce qui s'est passé dans ton rêve ?
- Non, c'est moi qui te masturbais.
- Alors, fais-le.
- Ah non. Je ne veux pas. Je ne suis pas lesbienne!
- Ça rien à voir! C'est pour ton bien. Tu dois suivre ta thérapie.
- Pas ici. Retournons plutôt dans la chambre.

Arrivée dans la chambre, Marie retire son chemiser comme elle l'a déjà fait dans son rêve. La seule différence c'est que, cette fois-ci, elle porte un soutien-gorge qu'elle retire également. Une certaine appréhension la gagne.

- Tu es sûre que tes enfants ne risquent pas de débarquer sans prévenir ?
- Aucun risque, ils sont chez la voisine.
- Et ton mari, il ne risque pas de rentrer ?
- Pas à cette heure-ci.
- Tu penses que c'est nécessaire ?
- C'est fini d'angoisser ? Mon patron est un très bon psy. S'il t'a dit ça, c'est que c'est vrai.
- Mais je ne voudrais pas t'obliger à faire des choses que tu ne veux pas faire.
- Je ne me force pas. Si je le fais, c'est que j'en ai envie. Tu vas bientôt arrêter d'angoisser ? Relaxe-toi et allonge-toi.

Obéissant à son amie, Marie s'allonge sur le lit. Isabelle se place à côté d'elle. Les deux femmes se regardent, Marie commence à se calmer. Isabelle approche sa main du corps de son amie et commence à le caresser. Tremblante et hésitante, Marie fait de même. Sa main touche enfin la peau de son amie, puis ses seins et elle se met alors à parcourir son pubis rasé. Isabelle écarte les jambes pour faciliter les caresses qu'elle reçoit. Marie fait de même, ce qui permet à son amie de laisser pénétrer le bout de ses doigts entre ses lèvres. Elle laisse Isabelle enfoncer progressivement un de ses doigts plus profondément, puis un second. Tandis qu'elle est partie à la recherche du clitoris de son amie, cette dernière se décide enfin à découvrir l'intimité de sa partenaire de façon plus approfondie. Les deux femmes ont maintenant chacune deux doigts dans le sexe de l'autre.

Le temps s'écoule tranquillement. La chambre est calme, les enfants étant sortis il n'y a plus de bruits qui viennent du jardin. Les deux femmes peuvent profiter pleinement du temps présent en se masturbant mutuellement. Les mouvements se font plus rapides et plus profonds. De deux doigts, on passe à trois. La caresse du clitoris se fait plus insistante et précise. Les deux femmes ne cessent de laisser échapper des petits cris de jouissance. De leur main libre, elles se caressent le corps et les seins. La tension monte encore, les cris se font plus forts. Maintenant elles se caressent mutuellement les seins de leur main libre tout en continuant de se masturber de l'autre. Les bruits qui émanent de leurs sexes laissent deviner qu'elles sont complètement mouillées, d'ailleurs leurs mains ruissellent de leur jus intime. L'excitation est à son comble. Marie ne pense plus qu'à son plaisir et à celui de son amie. Par moments, des flashs fugaces lui rappellent brièvement des extraits de ses rêves passés et cela l'excite encore plus.

C'est trop, elle n'en peut plus, elle ne cesse de gémir et de crier, tant la sensation de jouissance traverse son corps de part et d'autre. Un dernier cri. Violent. Rauque. Brutal. La jouissance aura été totale. Elle gémit encore tandis que Isabelle jouit à son tour. Elle non plus ne ménage pas ses cris de jouissance. Intenses. Bruts. Bestiaux. Ils emplissent la pièce. Heureusement, les enfants ne sont plus dans le jardin, ils auraient tout entendu.

Épuisées, les deux femmes restent allongées sur le lit de longues minutes, la main dans la main, le temps de reprendre leurs esprits et de retrouver leur souffle. Sortant de sa léthargie, Marie reprend la parole la première.

- Qu'est-ce que c'était bon !
- Extra. Ça faisait longtemps que je n'avais pas joui ainsi.
- J'ai quand même un peu honte. On a eu des rapports lesbiens et j'ai trompé mon mari.
- C'était nécessaire pour ta thérapie. On n'a jamais fait qu'appliquer un traitement médical. Une masturbation mutuelle, c’est pas si pire!!
- Tu n'as pas l'impression d'en faire trop ?
- Pour une fois qu'un traitement est agréable et gratuit...
- Ça doit être ce que l'on appelle de la médecine douce...
- Pour sûr.
- Je pense que je vais en parler à Philippe.
- Alors je mettrai aussi Denis au courant, c'est mieux.

Alors qu'elles sont en train de se rhabiller, Isabelle se tourne vers son amie.
- Je crois que je ne vais pas remettre de culotte.
- Vraiment ?
- Oui. C'était trop agréable. Tu n'as qu'à essayer.
- Je ne sais pas. Je ne me sens pas prête.
- Tu dois le faire, c'est pour ton traitement.

Dans le même temps, Isabelle subtilise le tanga de son amie avant qu'elle ait eu le temps de l'enfiler.

- Comme ça, tu devras rentrer le cul nu.
- Rends-le-moi !
- Plus tard. Venez donc manger ce soir à la maison.
- Pourquoi ?

Tout en s'expliquant, Isabelle raccompagne son amie jusqu'à la porte d'entrée.

- Pour suivre ton traitement. Je vais aller déposer les enfants chez la baby-sitter, nous serons tranquilles pour la soirée. Tu ne mets pas de sous-vêtements, je n'en mettrai pas non plus.

Alors qu'elle est en train de réajuster son soutien-gorge, Marie s'inquiète.

- Et la brassière?
- Non plus. On ne met pas de brassière.
- Ce sont nos maris qui vont être surpris.
- Moi, je pense surtout qu'ils vont être excités.
- Bon. Si tu penses que c'est ce qu'il faut.
- J'en suis sûre.
- Alors, à ce soir.
- A ce soir.

Les deux amies se séparent. Sur le trajet du retour, Marie ne peut s'empêcher d'être perplexe. Que va-t-elle faire ? Jusqu'où cela va-t-il aller ? En tout cas, ce qui est certain, c'est que se balader dans la rue le cul à l'air, c'est très agréable. Le vent qui passe sous sa jupe lui caresse sans cesse les fesses et le sexe. Isabelle avait raison, une fois de plus...


7. Discussion

Marie est tellement excitée en arrivant chez elle, qu'elle va immédiatement dans la chambre, s'allonge sur le lit et se masturbe sans plus attendre. Il ne lui faut que quelques secondes pour jouir et elle pousse encore un grand cri rauque comme elle l'a déjà fait chez son amie. Épuisée, elle retire son chemisier et son soutien-gorge et sa jupe. Cela ne dure pas longtemps, elle se relève encore une fois, reprend son chemisier sans mettre de soutien-gorge et le boutonne. Elle commence alors à se toucher les seins à travers le chemiser. C'est agréable. Ses tétons se mettent rapidement à pointer et deviennent tout durs et sensibles. Elle s'allonge et continue de se caresser les seins. L'excitation monte à nouveau. Tandis qu'elle continue de se caresser la poitrine de la main gauche, sa main droite descend vers son sexe et commence à l'explorer. Cela va vite : deux doigts, trois doigts, puis quatre, elle mouille énormément et ne cesse de gémir. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle jouit pour la troisième fois en moins d'une heure. Elle est épuisée, mais... qu'est-ce que c'est bon !

Après s'être reposée un bon quart d'heure, Marie se lève, retire son chemiser et quitte la chambre en direction de la salle de bains. Une douche bien fraîche lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Elle ressort de la cabine de douche et prend sa serviette pour se sécher. L'envie de se caresser en même temps traverse son esprit, mais elle préfère néanmoins se retenir. Ses jouissances ont été assez intenses aujourd'hui, ce qui l'épuise un peu plus à chaque fois. Une fois bien sèche, elle quitte la salle de bains et retourne dans la chambre.

Quelle tenue va-t-elle bien pouvoir mettre ce soir ? Marie regarde l'heure sur le cadran de la radio. Déjà 17 heures, Philippe ne devrait plus tarder. L'armoire est grande ouverte, le choix n'est pas facile. Une jupe courte ou longue ? Ou alors une robe ? En tout cas, pas un pantalon. Quitte à ne pas porter de sous-vêtement, autant avoir le cul à l'air. Les idées se bousculent dans son esprit. Faut-il mettre des bas ou un collant ? Porter un collant sans culotte dessous, c'est assez excitant, mais on a moins les fesses à l'air. En plus, c'est beaucoup moins pratique en cas de rapport sexuel. Donc plutôt des bas. Avec un porte-jarretelles ? C'est plus excitant, mais sous un vêtement moulant c'est trop visible. Et d'ailleurs, quel vêtement choisir ? Pourquoi ne pas commencer par là ?

Donc une jupe ou une robe, mais pas trop longue. Pas trop courte non plus, à moins de vouloir montrer sa chatte chaque fois qu'elle écartera un tant soit peu les jambes. Et si l'on commençait d'abord par essayer de choisir le haut ? Un chemisier ? Pourquoi pas... Il y en a un blanc, légèrement transparent qui serait du plus bel effet, en tout cas pour ce qui est de dévoiler discrètement ses seins en liberté. C'est vrai, après tout, quitte à ne pas porter de soutif, que faire ? Cacher ses seins derrière un haut opaque et épais ? Ou au contraire laisser deviner qu'on ne porte pas de soutien-gorge en laissant deviner leur forme derrière un tissu légèrement transparent, ou bien derrière un tissu opaque mais moulant ? Marie a le bout des seins qui pointent facilement, elle le sait, et les montrer à travers un tissu moulant ne serait pas pour lui déplaire. Elle pourrait aussi mettre un top à bretelles, elle en a plusieurs qu'elle n'hésite pas à mettre en été, quelquefois même sans soutien-gorge, pendant les vacances, loin de chez eux et du regard des voisins, la proéminence de ses tétons n'étant pas sans la gêner dans sa vie de tous les jours. Non, pas assez habillé, tant pis pour le top à bretelles.

Finalement, l'attention de Marie finit par se concentrer sur une robe moulante en satin noir. Descendant jusqu'au-dessus des genoux, elle a l'air assez sage, mais le décolleté en V qu'elle a dans le dos la rend nettement plus sexy lorsqu'on la regarde par-derrière. Elle l'enfile. Sans soutien-gorge, ses seins pointent effrontément à travers le tissu. Quand elle bouge, ils bougent aussi sous le tissu. On ne les voit pas mais on les devine facilement. Plus elle bouge, plus les tétons durcissent et pointent. À peine se passe-t-elle les doigts sur le bout des seins qu'elle se sent déjà mouiller. Bon, le choix est fait.

Marie redescend au rez-de-chaussée, va au salon et s'installe sur le canapé, les jambes serrées, une posture bien sage. Puis elle croise les jambes, les décroise, change de place. La constatation est terrible : quoi qu'elle fasse, où qu'elle se mette, qu'elle bouge ou pas, elle ne cesse d'être excitée. Pour l'instant, c'est agréable, mais à la longue cela pourrait finir par être pénible. Elle n'a pas le temps d'y penser plus longtemps, la porte d'entrée vient de s'ouvrir, Philippe vient d'arriver. Que va-t-il penser de cette tenue ? Faut-il tout lui dire ? De toute façon, il faut bien qu'elle lui annonce qu'ils sont invités ce soir. S'il ne veut pas être surpris, il faudrait le prévenir du thème de la soirée. Pour qu'il comprenne le sens de ce thème, il vaudrait mieux tout lui expliquer depuis le début. Ce serait plus simple.

Marie se lève alors et va à la rencontre de son mari.

- Bonjour, mon chéri.
- Bonjour, ma chérie.
- Alors, ce voyage ?
- Bien. Intéressant. C'est pour fêter mon retour ?
- Quoi donc ?
- Que tu t'es habillée comme cela ?
- Pas tout à fait. Mais on peut quand même le fêter.

Philippe prend sa femme dans ses bras et pose les mains sur son dos. Il a déjà remarqué qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui lui permet de lui parcourir le dos sans entrave. Il laisse alors descendre une de ses mains plus bas, pour lui caresser les fesses. Surprise ! Il ne ressent pas la couture de la culotte. Curieux, il descend plus bas, passe sous la robe et fait remonter sa main. Il parvient sans difficulté jusqu'au sexe abondamment mouillé de sa femme.

- Pas de culotte ? C'est une grande occasion ! Je sens que je ne vais pas pouvoir résister.

Philippe retire alors son pantalon et son caleçon, son sexe est déjà raide, en érection. Ne prenant pas le temps de retirer sa cravate, sa chemise et ses bas, il entraîne Marie vers la cuisine. Il lui remonte sa robe et l'assied sur le bord du comptoir. Sans plus de préliminaires, bien qu’il adore cela, surtout quand il s’agit de donner du plaisir à sa femme en lui caressant les seins et la chatte, il s'introduit sans aucune difficulté dans le sexe détrempé de sa femme. Philippe se met aussitôt à la fourrer tandis que Marie ne cesse de crier très fort l'intensité de sa jouissance. Il ne tarde pas à jouir, remplissant de sperme la chatte de sa femme. Quand il se retire, la fente de Marie est toujours aussi dégoulinante d'un mélange de sa mouille et de sperme qui s'écoule lentement sur le comptoir. Épuisée par sa jouissance, elle ne parvient pas à bouger tandis que Philippe lui apporte quelques essuie-tout pour qu'elle se nettoie ainsi qu'il le fait lui-même.

Remis de leurs émotions, ils montent jusqu'à leur chambre. Tandis que Philippe range dans l'armoire les vêtements qui ne lui ont pas servi, Marie lui raconte sa nuit, puis sa journée. Cette énumération détaillée de tous les fantasmes de sa femme ne cessent de l'épater.

- C'est incroyable tout ce que tu as comme idées.
- Tu n'as pas été trop choqué ?
- Non, ça va. Pas trop. Encore que sucer Denis ou me faire enculer par lui, ça ne me tente pas vraiment.
- Vous êtes tous les mêmes, les gars. Quand il s'agit de regarder des femmes se manger la chatte, ça vous excite. Mais s'il s'agit que vous fassiez la même chose, il n'y a plus personne.
- Il ne faut pas exagérer. Il y a quand même des limites à ne pas dépasser. C'est une question de dignité humaine.
- Et pour nous, les femmes ? Il n'y a pas de limites ?
- Ce n'est pas pareil. Il y a de la sensualité. C'est ce qui rend un rapport sexuel entre femmes beau et esthétique. Tu sais, dans ce genre de rapport, tu as en même temps la femme passive et la femme active! C’est ce qui rend ce fantasme si attrayant pour les hommes! Entre hommes, ce n'est pas pareil.
- Évidemment. C'est toujours comme ça. Quand il s'agit de faire un effort, il n'y a plus personne.
- Mais je vais en faire des efforts. Repose-toi donc un peu, tu as l'air épuisée.

Marie s'allonge alors sur le lit tandis que son mari quitte la chambre. Qu'est-il parti faire ?

Peu de temps après, Philippe revient dans la chambre, suivi par le psy.

- Voilà, elle est ici. Je vous laisse.

Il repart aussi vite qu'il était arrivé, laissant sa femme avec le psy, ce qui ne manque pas de la surprendre.

- Docteur Paradis!!??? Que faites-vous là ?
- J'avais oublié votre ordonnance. Comme je passais dans le quartier, j'en ai profité pour m'arrêter chez vous.
- Une ordonnance ?
- Oui, des infusions de produits naturels que vous pourrez prendre pour calmer vos ardeurs.
- Bon.

Marie s'attend alors à ce qu'il quitte la chambre, mais il n'en est rien. Au contraire, il s'avance encore un peu plus vers elle.

- D'après vous, j'ai le sexe rasé ou pas ?
- Drôle de question. Qu'est-ce qui vous prends ?
- C'est la suite de votre traitement. Alors ? Rasé ou pas ?
- Je ne sais pas. Peut-être bien que vous êtes rasé.

Sans lui répondre, le psy retire sa chemise.

- Juste avec votre pantalon comme ça, vous avez le look d’un eunuque dans les contes des mille et une nuit. Tout ce qui vous manque, ce sont des souliers à pointe retroussée et une grosse plume pour servir d’éventail pour rafraîchir les femmes du harem.
- Ah, mais j’ai pas la petite voix qui vient avec le look!

L’instant de rigolade passé, il retire son pantalon sous les yeux étonnés de la jeune femme. Il ne semble pas très poilu sur le torse, en tout cas moins que bien des hommes avec les mêmes rondeurs. Après avoir également retiré ses bas, il ne lui reste plus que son caleçon. Il le fait alors glisser sensuellement avec le bout de ses doigts. Son pubis apparaît, on y voit des poils pubiens, foncés. Marie semble déçue. Il continue à faire descendre son sous-vêtement et son sexe se dévoile. Il est épilé. En fait, le psy n'a gardé qu'un carré de poils coupés court sur le pubis, tout le reste a été rasé. Son torse a un peu de poils, mais ses bras, ses jambes, tout son corps est imberbe, à l'exception d'un carré intime. S'épile-il tout le corps ? Marie ne va pas tarder à avoir la réponse à cette question incongrue qui lui a traversé l'esprit.

- Je pratique le naturisme, c'est pour cela que je m'épile tout le corps. C'est plus facile pour bronzer égale et mettre de la crème.
- Mais vous avez gardé des poils pubiens et une ligne sur le torse?
- Oui, c’est pour ne pas passer pour un malade atteint du cancer en phase de chimio.
- Mais vous avez quand même épilé le reste de votre sexe.
- C'est une question de préférence personnelle.

Alors qu'elle est en train de discuter, Marie ne s'est pas rendu compte qu'il s'est rapproché lentement d'elle pendant la conversation. Sa robe est suffisamment relevée pour que le psy puisse voir son sexe. Il approche ses mains des cuisses de la jeune femme et commence à les masser. Marie est surprise mais ne dit rien. Son regard est captivé par cette queue qui commence à grossir. Ce matin, elle n'avait rien remarqué de son pénis, mais c'est vrai qu'il était en grande partie caché par son pantalon. C'est quand il commence à faire remonter ses mains en direction de l'entrejambe de Marie qu'elle manifeste enfin son désaccord.

- Mais enfin ! Qu'est-ce qui vous prends ?
- Je vous relaxe. Ça vous fait du bien ?
- C'est possible. Mais je ne veux pas que vous me touchiez.
- Pourquoi ?
- Ce n'est pas bien. Vous n'avez pas le droit. Si vous continuez, j'appelle mon mari.

Il ne tient pas compte de ce qu'elle dit et continue son massage. Ses doigts arrivent au contact de la fente de Marie tandis que son sexe commence à être réellement en érection, une très belle érection. Marie ressent le contact de ces doigts étrangers qui cherchent à s'insinuer en elle à la recherche de son clitoris. C'est trop, elle ne peut pas laisser faire ça. Elle se met alors à crier.

- Philippe ! Chéri ! À moi ! Au viol !

Philippe arrive instantanément. Marie a l'impression qu'il était caché derrière la porte, peut-être en train d'observer ce qu'elle était en train de subir. Pourquoi n'est-il pas intervenu spontanément ? Prenait-il du plaisir à les observer ?

- Qu'est-ce qui se passe ?
- Ben, tu ne vois pas ce qui se passe ?
- Ton psy s'occupe de ton traitement.
- C'est comme ça que tu vois les choses ?
- Ben oui.

Le psy prend la parole.

- C'est vrai. C'est pour son bien. Il faut qu'elle laisse libre cours à ses désirs les plus profonds.

Marie est stupéfaite d'une telle réponse.

- Et là, quand vous me masturbez, c'est un désir de ma part ?
- Oui. Tout à fait.
- Et c'est quoi mon prochain désir ?
- Que votre mari me suce.
- Tu entends ça, chéri ? Maintenant, il voudrait que tu le suces !

Philippe corrige ce qu'elle vient de dire.

- Ce n'est pas lui qui le voudrait, mais toi.
- Pas du tout. Je n'ai rien dit.
- Monsieur connaît tes désirs. S'il le dit, c'est que c'est vrai.

Et, dans la foulée, Philippe s'approche du psy. Il s'agenouille devant lui, ouvre la bouche et y laisse pénétrer le sexe en érection du praticien.

Stupéfaite, Marie assiste alors à la fellation que son mari prodigue au psy. Et c'est que Philippe s'y prend bien, elle le voit faire, il pompe comme s'il l'avait toujours fait. Voir son mari comme ça lui donne les mêmes envies de se masturber que ce matin au téléphone avec Marie. Le psy apprécie visiblement les talents de Philippe, il ne cesse de gémir. Sur la fin, il en oublie même Marie, à la place il préfère utiliser ses mains pour tenir la tête de Philippe, qui se laisse faire, et lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Cela ne dure guère car, dans un dernier soubresaut accompagné d'un cri rauque et puissant, le psy éjacule dans la bouche du mari de Marie.

D'où elle est placée, elle ne remarque que le filet de sperme qui commence à couler le long de la bouche de son mari. Le jet a dû être considérable et il n'a pas pu tout avaler, à moins qu'il n'ait essayé de recracher. Le psy se retire alors de la bouche de Philippe et va vers Marie, le sexe encore érigé et couvert de restes de sperme. Marie recule.

- Qu'est-ce que vous voulez ?
- Que vous me léchiez la queue.
- Quoi ? Pas question.

Philippe essaye de la raisonner mais, la bouche pleine de sperme, sa diction n'est pas très claire. Il essaye d'en avaler le maximum pour parvenir à mieux parler.

- Enfin, ma chérie. Fais donc ce qu'on te dit. C'est pour ton bien.

Dégoûtée, Marie s'exécute quand même et lèche tout le jus souillant la verge du médecin. Elle ne peut pas s'empêcher de manifester son désaccord tandis qu'elle lui suce le gland.

- Je ne vois pas pourquoi ceci serait un de mes fantasmes. Après tout, cela pourrait aussi être le contraire.
- C'est exact. Monsieur... déshabillez-vous.

Philippe s'exécute et retire ses vêtements. Son sexe est intégralement rasé, ce qui surprend un peu plus Marie.

Une fois que Philippe a fini de se mettre nu et que Marie a terminé de nettoyer le sexe du psy, ce dernier s'approche du mari, le fait s'allonger sur le lit et se met à le sucer à son tour. Le gros bonhomme semble être un spécialiste de la fellation, il arrache immédiatement des cris de plaisir à Philippe. Marie qui est allongée à côté d'eux peut profiter à loisir du spectacle. Il a l'air de se débrouiller aussi bien que les cochonnes que l'on voit dans les films pornos et cela finit par l'exciter. Machinalement, sans réellement s'en rendre compte, Marie laisse une de ses mains s'avancer vers son sexe et elle commence à se masturber tout en regardant ces deux hommes s’amuser ensemble. Elle ressent une gêne, mais aussi beaucoup de plaisir. Peut-être même que c'est la gêne qui entraîne le plaisir. C'est contradictoire, mais qu'est-ce que c'est bon... Philippe ne tarde pas à crier, de plus en plus fort, il ne crie jamais comme ça quand c'est sa femme qui le suce. Peut-être qu'elle ne sait pas s'y prendre ? Les cris de Philippe cessent soudain tandis que la bouche du psy se remplit de sperme. Son mari vient de jouir dans la bouche d'un autre homme, peu de temps après avoir lui-même fait jouir ce même homme dans sa bouche. Marie repense à tout ça, en observant le sperme de son mari couler sur la joue du praticien. Elle jouit à son tour, laissant échapper un cri de plaisir.

Le psy ne manque pas de remarquer ce cri et ce qui en est la cause. Il se relève et s'adresse à Marie, la bouche pleine de sperme, comme l'avait fait son mari auparavant.

- Vous voyez que ce sont bien vos désirs. Vous en avez même joui.
- C'est vrai. C'est indéniable.
- Et maintenant, vous allez sucer votre mari. Je pense que vous avez l'habitude.
- Oui, bien sûr.

Elle se penche vers Philippe et lui nettoie la bite de la même façon qu'elle l'a fait au psy peu de temps auparavant.
Une fois le sexe de son mari bien propre, elle termine d'avaler le sperme qui lui reste dans la bouche et s'allonge sur le lit, pensive.

Soudain, on lui tape sur l'épaule. Marie sursaute. Qu'est-ce qui se passe ? C'est Philippe, toujours à côté d'elle, qui vient de la réveiller. Le psy n'est plus là. C'était bien un rêve. Un 7e…….

- J'ai rêvé ?
- Oui, je crois bien.
- Comment tu le sais ?
- Tu as parlé en dormant. J'ai suivi presque tout ton rêve.
- Non ? !
- Si !
- Alors tu sais ce que tu as fait avec le psy dans mon rêve ?

Il lui répond tout en se levant pour faire le tour du lit.

- Oui. Je l'ai sucé et ensuite il m'a sucé. Ça t'a excité, tu t'es masturbée et tu as joui aussi.

Philippe a fait le tour du lit, Marie peut enfin le voir de face. Il a le sexe rasé ! Elle rêve encore !

- Non, pas ça ! Je veux me réveiller pour de vrai !
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Je rêve encore ! Tu as le sexe rasé. Dans mes rêves tu as toujours le sexe rasé, mais dans la réalité, ce n'est pas le cas.
- Rassure-toi, tu ne rêves pas. Je viens de me le raser pendant que tu t'endormais.
- C'est vrai ?

Marie s'avance, sent le sexe de son mari, elle reconnaît l'odeur de la mousse à raser. C'est exact, il vient de se raser le sexe. Tout est trop réaliste pour être un rêve. Elle lui caresse le sexe, curieuse et ravie.

- Quelle bonne idée. C'est agréable comme tout.

Elle se penche en avant et commence à le sucer.

- Ça donne envie.

Philippe se laisse faire. Il retire la robe de Marie en un seul coup et elle se retrouve nue en moins de temps que pour dire « ouff ». Le plaisir de Philippe monte rapidement, accompagné de gémissements rauques. Quelques minutes plus tard, il laisse éclater son plaisir en éjaculant sur les seins de sa femme. Ravi, Philippe se penche vers elle et l'embrasse alors qu'elle a les seins dégoulinant de sperme. Il se penche et lèche les seins de sa femme! Elle en est surprise.

- Mais enfin ! Qu'est-ce qui te prend ?
- Ben quoi ? Je goûte. Il vaut mieux que je me prépare.
- À quoi ?
- Au goût du sperme. Si je veux t'aider à suivre ta thérapie.
- Tu crois ?
- Oui. Je t'aime et je pense que c'est important. Je ne veux pas que nous nous séparions parce que tu aurais refoulé tes fantasmes.
- C'est gentil à toi.
- Et nous allons aller chez Isabelle et Denis. Ça te fera le plus grand bien.
- Tu es sûr de ça ? Tu ne vas pas le regretter ?
- On verra bien. Le plus important, c'est que tu ailles mieux.
- Bon. Alors on va se préparer pour y aller.

Marie se rhabille de sa robe moulante. Elle ne porte toujours rien dessous. Philippe, toujours nu, se dirige vers la commode, en sort un boxer-short et des chaussettes et commence à s'habiller. Sa femme l'interrompt.

- Tu mets un boxer ?
- Oui. Pourquoi ?
- Tu pourrais ne pas en mettre.
- Pourquoi pas ? Si ça te fait plaisir.

Il range alors le boxer, ouvre l'armoire et choisit un pantalon ample et léger.

- Avec ça, j'aurai vraiment le pénis en pleine liberté.
- En effet. On peut presque le deviner tellement le tissu est léger.
- Je sens l'air me caresser les couilles. Le tissu aussi me caresse, c'est très agréable.
- Surtout avec le sexe rasé. Je connais.
- Oui, je pense que ça y est pour quelque chose. Je vais finir par bander, si ça continue.
- Attends d'être arrivé chez Denis et Isabelle.
- Ça devrait aller. Tu viens de me vider, alors je peux attendre un peu.

Philippe termine de s'habiller, choisissant un polo de couleur pâle. On devine le contour de son corps quand il se place devant la lumière de la fenêtre. Marie le remarque et trouve cela aussi érotique qu'une femme habillée d'une robe moulante. Encore un fantasme ?



Il est donc 19 heures 30, Marie et Philippe sont plutôt nerveux, ils arrivent devant la maison de leurs amis pour y passer une soirée qui risque d'être assez chaude. Leur appréhension est grande, ils ne sont pas du tout adeptes de ce type de soirée. Ce qui les rassure un peu, c'est que leurs amis ne le sont pas non plus. Ce sera une découverte pour tout le monde. Ils sont certainement tout aussi nerveux qu'eux. Marie sonne. Les dés sont jetés.

C'est Isabelle qui vient leur ouvrir. Sa tenue n'a rien à envier à celle de Marie. Elle porte un petit haut en dentelle noire et une minijupe, noire également. Les deux femmes s'observent. Chacune semble rassurée de constater que son amie a opté pour des vêtements tout aussi osés que les siens. Philippe observe également Isabelle. Il ne peut s'empêcher d'observer la poitrine de la jeune femme, visible par transparence. Cela l'excite déjà pas mal mais, quand il se rappelle qu'elle ne porte certainement pas de culotte sous sa minijupe, cela achève de lui faire de l'effet. En l'absence de sous-vêtement, son sexe se redresse promptement dans son pantalon, il se forme alors une bosse très visible au niveau de sa braguette.

Les deux femmes se font la bise, puis c'est au tour de Philippe d'embrasser la copine de sa femme. Isabelle remarque immédiatement l'érection de Philippe, elle est tellement visible qu'on ne voit que cela. Tout en l'embrassant, elle le complimente mais sans oser y toucher.

- Ben dis donc ! C'est moi qui te fais cet effet-là ?
- J'en ai bien l'impression.

Marie remarque à son tour la bosse dans le pantalon de son mari.

- Ça promet !

Tous les trois vont dans le salon. Denis ne tarde pas à arriver, une bouteille de vin en main. Un vin blanc de très bonne qualité, Bourgogne Montrachet 1987, domaine Jacques Prieur.
- J’avais cela dans ma cave depuis un certains temps, c’est ce soir qu’on se débarrasse de cette vieille affaire!

Philippe, qui apprécie le vin, connaît bien la valeur et la rareté de ce vin et ne dit pas un mot pour ne pas éveiller Denis et le faire changer d’idée.
- Ouin, ça va être bon en maudit ce vin, tu l’as pris dans quel dépanneur?
- Je l’ai eu quand j’ai acheté la cave de mon ex-associé
- Ah ok, je comprends

Côté vestimentaire, Denis a opté pour une tenue assez proche de celle de Philippe. Marie s'en rend compte.

- T'es habillé presque comme Philippe. C'est pareil en dessous ?
- C'est-à-dire ?
- Regarde.

Et d'un seul mouvement, elle montre la bosse dans le pantalon de son mari, la saisit à pleine main et entame un mouvement de masturbation qu'elle interrompt après quelques allers et retours. Il n'en faut pas plus pour qu'une bosse se forme également dans le pantalon de Denis, trahissant par là même le fait que lui non plus ne porte pas de sous-vêtement, ce que remarque Philippe.

- Toi non plus, tu n'as pas mis de caleçon ?
- euhh!!! Pas tout à fait, j’ai mis un J-string pour homme reçu en cadeau à Noël.
- ah oui, mais c'est pas évident non plus il paraît?
- C'est vrai. Alors, on ouvre cette bouteille!!??

Denis reste encore un instant à la cuisine, le temps de déboucher la bouteille qu'il vient d'apporter, et vient la poser sur le bar. Il rejoint alors ses amis qui ont pris place autour de la table du salon. Les deux femmes sont assises sur le sofa tandis que Philippe s'est vautré dans un fauteuil. Même si les deux femmes ont gardé bien sagement leurs jambes serrées, leurs tenues très courtes ne parviennent pas à masquer totalement leur intimité, dès lors que l'on est juste face à elles. Et c'est justement ce que fait Denis, il s'assied face à Marie et se penche ostensiblement. Il arrive ainsi à entrevoir en partie le pubis épilé de la copine de sa femme, ce qu'il n'hésite pas à dire à ses amis.

- Ouin!! Depuis que je te connais, tes seins ont toujours été à leur avantage mais pour le reste, je n'aurai pas dû attendre longtemps pour m'en rendre compte.

Marie ne comprend pas immédiatement.

- Quoi donc ?
- Que tu as fait comme Isabelle.
- Tu as tout vu ?
- Pas tout. Juste un petit peu, mais c'est déjà un début.

Il se tourne alors vers Philippe, qui est placé entre lui les femmes, sur le côté de la table.

- Mais tu es mal placé où tu es. Viens donc ici, à côté de moi.

Philippe se lève et déplace son fauteuil.

- Je me mets où ?
- Ici, face à Isabelle.

Après s'être déplacé, Philippe peut à son tour bénéficier d'une vue sur l'entrejambe de l'amie de sa femme. Il peut alors remarquer qu'elle semble elle aussi épilée, ce qui confirme ce que lui a dit sa femme.

Au cours de l'apéritif, le vin aidant, tout le monde commence à se détendre. Les deux femmes se contrôlent moins et il est de plus en plus facile pour Philippe et Denis de fixer les seins ou l'entrejambe de la femme de l'autre et cela commence à les exciter. Philippe commence même à discrètement se caresser le sexe à travers son pantalon, ce qui est facilité par sa tenue. Isabelle s'en rend compte et décide de réagir.

- Et si nous passions à table ?

Philippe est déçu. Ça commençait à devenir intéressant. À moins qu'elle ne veuille plus de cette soirée débridée... Isabelle se lève. Ce qu'elle lui glisse à l'oreille en passant le rassure.

- Pas si vite... La soirée ne fait que commencer.

Les quatre convives se dirigent donc vers la table ronde de la salle à manger.

Denis dit à Philippe de venir avec lui dans la cave à vin pour choisir les vins pour accompagner le repas.

Philippe se plait à admirer les nombreuses bouteilles couchées! Il s’arrête sur des bouteilles de Pétrus. Denis le voit regarder les bouteilles et dit;
- Ça c’est mon vin préféré! Ça coûte cher, mais c’est bon en maudit
- Oui, je sais

Philippe pointe plusieurs bouteilles et s’aperçoit de la qualité des vins dans la cave de Denis. Il aperçoit un Bordeaux St-Julien Léoville-Barton 1997 et un Château Margaux 1990!
- Ça serait pas mal ces deux vins-là
- Ouin, aussi bien de les sortir, trop vieux ça sera plus bin bin bon! Et ça devrait aller avec la bouffe.
- Ça vient de la cave de ton ex-associé
- En plein ça, ce n’est pas le genre de vin que j’achète habituellement
- Tu achètes quoi d’habitude?
- Je laisse le conseiller en vin de la SAQ faire les choix pour moi et Isabelle fait le reste.
- Ta femme a bien des talents dans ce cas
- Ça, je peux le certifier!!!

Le repas, qui fut préparé par Isabelle et Denis, se déroule normalement et l’alcool ne tarde pas à monter à la tête de chacun. La discussion devient de plus en plus frivole et quelque peu grivoise. Le principal sujet est bien évidemment le sexe. Marie et Isabelle sont de vieilles copines d'enfance. À l'occasion de cette journée, d'anciens souvenirs leur remontent à l'esprit. C'est Isabelle qui en parle la première.

- Tout à l'heure, pendant que vous étiez à la cave, j’ai remémoré un souvenir de ma jeunesse à Marie. Quand nous avions fait du camping entre copines.

Les deux gars se concentrent alors sur les propos d’Isabelle

- Ça fait une quinzaine d'année, si je ne me trompe pas?
- Oui, c'est ça. Quinze ans. Nous avions été en vacances chez ma grand-mère, près de la mer.
- On avait mis la tente dans la cour de ta grand-mère.
- Et nous avions dormi ensemble.
- C'est vrai.
- Et on s'était masturbées avant de s'endormir.
- J’avais oublié cela
- C'est si loin. J'avais oublié avant qu’Isabelle m’en parle tout à l’heure.
- C'est notre branlette de cet après-midi qui me l'a rappelé. Je me suis souvenue que nous nous étions déjà masturbées mutuellement.
- C'est vrai. On avait essayé pour voir l'effet que ça fait.
- Oui. C'était agréable.

Les deux hommes commencent à s'intéresser vivement à la conversation, en particulier Denis.

- Et vous vous étiez léchées aussi ?

Sa femme lui répond.

- Eh que t’es con ! Non!!! T'es déçu ? D'ailleurs on ne s'est pas léchées cet après-midi.

Marie complète ce qu'a dit son amie.

- Mais on s'était quand même senti le doigt par curiosité. D'ailleurs, le lendemain matin au réveil, j'avais la main près de la figure, et je sentais toujours l'odeur sur mon doigt.
- Ça t'a drôlement marquée. Tu t'en souviens encore ?
- Je me souviens bien des odeurs. C'est l'effet "Madeleine de Proust".
- Et cet après-midi ? Ça ne t'a rien rappelé ?
- Je n'ai pas pensé à sentir mon doigt.

Philippe a alors une idée saugrenue.

- Essaye maintenant. Tu nous diras si ça t'évoque des souvenirs.

Marie ne peut cacher sa surprise.

- Drôle d'idée !
- Mais si ! Vas-y. Essaye.
- Pourquoi pas, après tout ? Tu veux bien, Isabelle ?
- Pas de problème.

Marie se lève, fait le tour de la table et s'approche d’Isabelle. Elle se penche, approche sa main de l'entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l'a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Isabelle ne peut s'empêcher de réagir.

- À l'époque, un doigt avait suffi.
- A l’époque, tu étais vierge.
- Plus pour très longtemps
- Et depuis? Tu ne préfères pas en avoir plus ?
- Ouiiiiii.

Marie retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.

- Hum... C'est incroyable, tous ces souvenirs qui me remontent à l'esprit. Tu sais qu'après cette expérience j'avais souvent rêvé que nous nous masturbions mutuellement.
- Déjà des rêves érotiques à cette époque...
- Oui, c'est à croire que mes rêves ont commencé depuis longtemps.

Philippe ne comprend plus.

- Je croyais que c'était nouveau, ces rêves érotiques ?
- C'est la première fois que c'était aussi intense. Et c'est aussi, je pense, la première fois depuis que nous vivons ensemble.

Isabelle reprend la conversation avec son amie.

- Tu te souviens d'autre chose ?
- Pendant nos vacances ?
- Oui.

Isabelle, qui s'est rassise entre-temps, se flatte la chatte et porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l'aider à se remémorer d'autres souvenirs.

- On allait à la plage tous les après-midi. Elle n'était qu'à quelques centaines de mètres, on prenait nos vélos ou on y allait à pied.
- C'est vrai. À cette époque, on ne parlait pas encore d'agressions sexuelles à la télé, alors grand-maman nous laissait y aller seules. Elle préférait y aller plus tard dans l'après-midi, quand le soleil commence à taper moins fort.
- C'était cool. On se faisait de grandes marches à pied sur le sable, le long de l'eau. Une fois on a été assez loin et on a remarqué qu'il y avait des gens tout nus sur la plage.
- Oui. Exact. Il y avait une plage naturiste un peu plus loin. Elle existe toujours d'ailleurs, elle est même indiquée depuis la route maintenant.
- On avait continué à marcher tout en essayant de regarder discrètement les quéquettes des hommes qui étaient allongés, ou celles de ceux qui se baladaient sur la plage.
- C'était la première fois qu'on en voyait. Certains en avaient des toutes petites, d'autres des très longues. C'était rigolo car, quand ils marchaient, elles se balançaient de droite à gauche. Ça m'avait marquée.
- Moi aussi.
- Tout ça nous avait excitées. Alors on était allées se cacher dans les buissons.

Philippe est impatient.

- Et ensuite ?
- Ben on s'était masturbées en repensant à ce que l'on avait vu sur la plage. C'est à ce moment-là que deux hommes sont arrivés. Ils étaient nus, comme les autres, mais en plus ils avaient le sexe rasé. Je pense qu’ils nous avaient vus nous masturbés, mais on ne le saura jamais

Isabelle se souvient à son tour de tout cela.

- Ouais, connaissant les hommes maintenant comme je les connais, ils ton dû nous voir, et ils sont venus se montrer pour qu’on leur voit leur sexe rasé. C'était rare à l'époque.

- Ça devait être les seuls de toute la plage. Maintenant c'est beaucoup plus fréquent.
- Comment tu sais ça, toi ? demande Denis
- Je suis retournée voir ma grand-mère de temps en temps.
- Et tu en profites pour aller épier les hommes tout nus sur la plage ?
- Ben, oui.
- C'est du voyeurisme. Tu n'as pas honte ?
- C'est-à-dire que...

Marie réalise qu'elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.

- La dernière fois qu'on y a été, Marie voulait retourner sur la plage naturiste pour voir si elle existait toujours. C'est comme ça qu'on sait qu'il y a une indication sur la route. Une fois qu'on y était, on s'est sentis bin épais de rester habillées. Alors on s'est foutus à poil tous les deux! On ne l’aurait pas fait si les enfants avaient été avec nous par contre.

- Je comprends. Bien que ce n’est pas cela qui risque de les marquer le plus à leur âge
- Bien, si je me fis au psy que j’ai vu, l’attitude et le comportement des parents à une grande influence sur les fantasmes sexuels une fois adultes
- Oui, mais il vaut mieux des parents avec une ouverture d’esprit et une sexualité saine et respectueuse comme exemple pour leur enfant que des parents strictes et inconscients qui bousillent l’épanouissement de leur enfant!!! S’cusez, défaut professionnel, je suis en vacance de la job, j’en parle plus.


Marie reprend alors son récit.

- Donc, les deux gars avaient le sexe rasé. Ça m'a paru bizarre. J'avais l'impression qu'il y avait quelque chose de pas normal. C'est quand ils ont déroulé leur serviette, qu'ils se sont assis dessus et ont commencé à se masturber mutuellement, que je me suis dis qu'en effet, ce que je regardais était inhabituel.

Isabelle confirme.

- Surtout à l'âge qu'on avait. Mais moi j'étais mal placée, je n'arrivais pas à tout voir.
- C'est vrai que j'étais du bon côté, à même pas deux mètres d'eux. Quand ils ont été en érection, ils se sont sucés chacun leur tour en se mettant à genoux devant l’autre. Ça a duré un certain temps. On ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais on n'osait pas bouger de peur d'être repérées. Ensuite, ils se sont relevés, ont repris leur serviette et sont repartis comme ils étaient arrivés, sauf qu'ils avaient encore le sexe à moitié en érection. Je suppose qu'ils se sont éjaculé dans la bouche et ont avalé.
- C'est bien possible. Maintenant que j'y pense, je me demande si ceci n'est pas à l'origine d'une bonne partie de tes rêves.
- Tu parles de ceux de cette nuit ?
- Oui.
- C'est bien possible. Déjà, à l'époque, j'en avais rêvé durant les jours qui avaient suivi. Je m'étais masturbée en repensant à ces deux hommes mais sans bien comprendre ce qu'ils avaient fait ensemble.
- En fait, ces quelques jours de vacances expliquent presque tous tes rêves. Pourquoi n'as-tu pas raconté ça à mon patron ce matin ?
- Je n'y ai pas pensé. D'ailleurs, ça m'est revenu tout à l'heure quand j'ai senti ton odeur. Ce matin, le psy m'a dit qu'il avait retiré des blocages dans mon subconscient. Peut-être que, sans cela, je ne m'en serais pas souvenue.
- C'est possible.
- En tout cas, ça m'a fait du bien d'en parler.

Denis s'est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Marie terminait son récit. C'est alors que l'on entend un grand plouf suivi de quelques sacres bien placés. Isabelle tourne la tête en direction de la cuisine.

- Qu'est-ce qui t'est arrivé, chéri ?
- Rien ! Enfin si. Le pot de moutarde que j'avais posé sur le bord de la fenêtre est tombé dans le bol de salade de fruits. J'en ai plein sur moi. Heureusement, il n'y a rien de cassé.

Il fait alors le tour du comptoir pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.

- Je vais aller me changer.

Isabelle est consternée.

- C'est terrible. On ne peut pas lui laisser faire la cuisine sans qu'il s'en mette partout. Ah, ces hommes !

Marie confirme.

- Le mien n'est pas mieux. Il faut toujours qu'il se salisse. Dès fois, je me demande s'il ne vaudrait pas mieux qu'il fasse la cuisine tout nu.
- C'est une idée ça. Mon chéri, pas la peine de te changer. Enlève juste ta chemise et ton pantalon.
- Que je garde juste mon string!!?
- En plein ça
- Quand même ! C'est gênant...

Marie intervient.

- Mais non. J'ai déjà vu des hommes.
- C'est vrai.
- Si ça te gêne d'être le seul à te déshabiller, Philippe va faire pareil. Philippe...

Philippe s'inquiète.

- Hein ? Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait !
- C'est comme ça. Tu ne vas quand même pas contrarier ma psychothérapie.

Philippe se lève à contrecœur tandis que Denis a déjà retiré sa chemise.

- Elle a le dos large la psychothérapie. Si je me déshabille, Denis enlève aussi son string alors.
- Non, ça lui fait bien un string!! Il a le cul pour en porter!!!
- C’est correct, je vais l’enlever


Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c'est que Philippe s'est rasé le sexe tandis que Denis a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Isabelle.

- Tiens, ton mari se rase le sexe ? Comme dans tes rêves ? Tu m'avais pourtant dit qu'il ne le faisait pas.
- C'est tout nouveau. Il l'a fait tout à l'heure. Pour me faire plaisir.
- C'est gentil ça. Et qu'est-ce que tu en penses ?
- Très agréable. Tellement que je l'ai même sucé avant de partir.

Denis revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu'à ce qu'il se rasseye.

- En tout cas, pour la salade de fruit, j’espère que tu n’as pas une recette secrète comme pour les crêpes? Isabelle et Marie rigole, mais pas les gars, car cette partie des rêves ne leur fut pas conter.

Isabelle change le sujet de la conversation en s'adressant à Philippe et Denis pour les provoquer un peu.

- Et vous, les hommes ? Vous avez eu des expériences comme ça lorsque vous étiez plus jeunes ?

Son mari lui répond.

- Pas du tout. Tout d'abord, je te fais remarquer que je ne connais Philippe que depuis peu. C'est vous qui êtes des copines d'enfance, pas nous.
- Oui, mais séparément ? Vous avez eu des expériences étant plus jeunes ?
- Non.

Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Marie n'en croit rien.

- Je n'arrive pas à le croire. Vous n'étiez quand même pas vierges quand on vous a connus ?

C'est Philippe qui lui répond.

- Quand même pas. J'avais eu plusieurs expériences, mais plus classiques. Dans un lit, avec une seule fille à la fois.

Ce que confirme Denis.

- Pareil pour moi.

Marie reprend.

- C'est dingue ça, d'être aussi conventionnel. Moi, c'était avec le fils du fermier, pendant les vacances. C'était notre voisin. On avait été faire un tour à vélo et ça s'était terminé en plein champ. Il était un peu maladroit, mais ça reste un bon souvenir pour une première fois.

Sa copine la regarde médus&eac
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Jeudi 18 janvier 4 18 /01 /Jan 19:23
Dans une rue déserte de la banlieue de Montréal, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c'est qu'elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu'elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d'un chemisier clair, d'une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l'amène à un carrefour, elle tourne au coin, c'est une voie sans issue mais une barrière permet d'entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C'est surprenant, car plus aucune trace de la ville n'est visible. L'endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n'y a autour d'elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.

Soudain, quelqu'un l'aborde. D'où est-il venu ? Elle n'a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.

- Vous cherchez quelque chose, madame ?
- Je ne sais pas, je crois que je me suis perdue.
- Ça ne m'étonne pas, tout le monde se perd par ici... Avancez tout droit jusqu'à la fontaine et vous retrouverez votre chemin.
- Mais je suis où, là ?
- Le nom ne vous dirait rien. Mais je peux vous le situer par rapport à un village que vous connaissez.
- Je ne sais même pas d'où je viens.
- Allez à la fontaine, vous saurez alors où aller.
- Merci.

Marie reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.

- Ça y est, j'y suis arrivée. Mais je ne sais toujours pas où je voulais aller.

Elle prend une rue au hasard. Et c'est alors qu'elle réalise où elle est.

- Voilà, je reconnais, je vais arriver chez Isabelle.

Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d'entrée.

Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l'impression qu'elle vient de se réveiller. C'est bien son amie Isabelle, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c'est que son amie n'est vêtue que d’un pantalon. Celui-ci lui arrive au nombril, le haut de son corps est nu. Marie, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s'empêcher de porter son regard sur les seins de son amie. Ceux-ci sont nus, bien ferme et rond, avec des petits mamelons mais des gros bouts.

Isabelle l'accueille ainsi, sans la moindre gêne.

- Bonjour, Marie. J'ai cru que tu avais un empêchement, je me suis même assoupie en t'attendant.
- Je suis venue à pied et me suis perdue.
- Tu ne sais plus venir ici ? Tu n'habites pourtant qu'à deux coins de rue.
- Oui, mais j'ai fait un détour.

Pensive, Isabelle regarde son amie.

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as l'air troublée.
- Je ne sais pas si tu t'en rends compte, mais tu es toute nue.
- Pas du tout, je porte un pantalon.
- Mais tu ne portes rien en haut.
- Toi non plus.
- Quoi ?

Marie ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses seins et se rend alors compte qu'elle n'a plus ni chemisier, ni soutien-gorge, mais qu'elle a cependant conservé sa jupe et sa culotte et ses bas auto-fixants. Ses seins sont gros, doux, à faire baver tous les hommes.

Sans réellement comprendre ce qui s'est passé, Marie commence à s'inquiéter tout en essayant pudiquement d'abriter ses seins derrière ses mains.

- J'ai dû perdre mes vêtements dans la rue, je vais aller les rechercher.
- Laisse tomber, je vais te prêter quelque chose. Entre donc.

Isabelle s'absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Marie se balade à moitié nue dans le hall d'entré, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Isabelle redescend du premier étage, toujours les boules à l'air. Elle rapporte une t-shirt qu'elle donne à Marie.

- Tiens, essaye cela. Ça devrait t'aller.

Marie enfile le t-shirt tout en restant debout. Elle lève les bras en l’air pour l’enfiler et une fois mis, le t-shirt fait ressortir encore plus ses seins. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer chacun des mouvements que font ses seins. Marie sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d'elle, mais elle n'ose le faire de peur de la vexer. C'est pour cela qu'elle préfère rester face à Isabelle pendant qu'elle se rhabille.

Après quelques ajustements, Marie semble presque satisfaite.

- Ça me va bien. Tu n'aurais pas un soutien-gorge à me passer aussi ?
- Je n'en mets jamais, tu le sais bien.
- Ah bon ? Je ne me souviens pas que tu me l'aies dit.

Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.

- Ce n'est pas grave. Assieds-toi et raconte-moi ce qui t'amène ici.

Marie s'assied sur le sofa, à côté de son amie. Ce faisant, le t-shirt lui fait montrer la fente de ses seins. La forme de ses seins se retrouve alors largement dévoilé. Marie ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu'elle n'a plus de soutien-gorge. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.

- Je ne sais pas. Je crois que je suis venue ici par hasard.

Isabelle s'avance au bord du divan pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d'admirer également le haut des seins de Marie. Elle le fait sans grande discrétion mais Marie ne semble toujours pas s'en rendre compte.

- Tu sais que tu es excitante quand tu t'habilles comme ça ? Où l'as-tu achetée ?
- Quoi donc ?
- Mais ton t-shirt, voyons !
- Enfin, c'est toi qui viens de me le passer.
- Ce n'est pas possible, je n'en porte jamais.
- Pourtant, tu viens de me le donner.
- Ah bon ?
- Et tu t'habilles comment, alors ?
- Comme ça.
- Mais tu es à moitié nue !
- Et alors ?

Marie n'a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d'entrée vient de s'ouvrir. C'est Denis, le mari d’Isabelle qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans la garde-robe de l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Denis s'avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Marie.

- Bonjour, chérie. Bonjour, Marie.

Il s'installe alors sur le divan à côté de sa femme.

- Bon sang, je suis crevé.

Machinalement, il place sa main sur l’épaule de sa femme, le bout des doigts arrivant tout juste au niveau de la clavicule d’Isabelle. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Marie.

- C'est sympa de passer nous voir.
- Oui. Enfin, le problème c'est que je ne sais toujours pas pourquoi je suis venue.
- Ce n'est pas grave. Tu as dû avoir un trou de mémoire.
- Peut-être.
- Tu restes avec nous pour manger ?
- Je ne pense pas. Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne sait pas où je suis.

Pendant cette discussion, Isabelle a bombé un peu le torse au fur et à mesure que son mari lui caressait l’épaule. Denis se penche alors vers la poitrine de sa femme et se met à lui lécher les seins sous les yeux ébahis de Marie qui se sent monstrueusement gênée. Isabelle se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.

- Qu'est-ce t'arrive ? Ça ne va pas ?
- Ben...
- J'ai compris. Nous sommes égoïstes. Mon chéri, occupe-toi donc de Marie.

Denis quitte alors la poitrine de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Marie. Celle-ci n'arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, et elle ne peut placer ses mains sur ses seins. Arrivé à sa hauteur, Denis retire le t-shirt à Marie et avance la tête en direction des deux magnifiques seins de Marie. Marie ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l'empêcher, elle n'arrive même pas à parler. Il n'est plus qu'à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec les deux boules de la jeune femme.

Marie pousse un cri.

Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n'était qu'un rêve !

- Qu'est-ce qui m'arrive ?... Quel rêve débile...

Endormie, elle sort de son lit, elle est vêtue d'un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu'à la cuisine où elle se sert un verre d'eau qu'elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.

- Bizarre... C'est peut-être parce que Philippe n'est pas là depuis le début de la semaine.

De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.


2. Sursaut

Marie se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d'un chemisier et d'une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu'il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L'homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu'il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s'il était habillé.

Lorsque Marie arrive à sa hauteur, l'inconnu lui adresse immédiatement la parole.

- Vous vous êtes encore perdue ?
- Non, ça va mieux. Mais vous par contre...
- Qu'est ce qu'il y a ?
- Vous êtes tout nu.
- Ne vous inquiétez pas, je n'ai pas froid.
- Je ne m'inquiète pas, mais vous êtes obscène.
- Dites donc, soyez polie, vous ne vous êtes pas vue.

Une appréhension la gagne alors qu'elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu son chemisier ? Non, c'est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu'elle ne porte plus qu'une nuisette blanche transparente en coton et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.

- Qu'est-ce qui m'arrive ? J'étais habillée il y a un instant.
- Moi, tout ce que je sais, c'est que vous m'excitez, comme ça.

Tout en disant cela, l'inconnu commence à s'approcher d'elle, le sexe en érection et les mains tendues vers ses seins. Marie voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.

- Ne m'approchez pas !
- Qu'est-ce qui vous arrives ?
- Ne me touchez pas !
- D'accord. Je ne vais pas vous toucher. Mais tout à l'heure, chez votre copine, vous devrez faire comme elle.
- Comment ça ?
- Si elle fait quelque chose, vous devrez faire la même chose.

Marie repense à l'expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine les boules à l'air, ce n'est pas bien grave. Si Denis veut lui lécher les seins, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.

- Bon, d'accord.
- Mais attention ! Si vous ne respectez cet engagement, vous me reverrez bientôt.

Délivrée de l'emprise de cet inconnu, Marie reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu'il vient de dire l'angoisse quand même un peu. Jusqu'où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c'était ça ou se faire violer par cet inconnu.

- Après tout, ce sera peut être agréable.

Quelques minutes plus tard, Marie arrive devant la maison d’Isabelle. Elle est à nouveau habillée, même qu’elle porte le t-shirt que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu'on lui ouvre.

Quand Isabelle apparaît derrière la porte, Marie est presque surprise qu'elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.

- Salut, Marie, tu tombes bien, as-tu déjeuné? Denis allait faire des crêpes. Je crois que tu adores ça ?
- Oui. C'est vrai.
- Alors entre et suis-moi.

Les deux femmes vont à la salle à manger. Denis est en effet derrière la séparation, dans la cuisine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu'en partie mais, ce qui surprend Marie, c'est qu'il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle... pourquoi pas ? Les deux femmes vont s'asseoir côte à côte sur le divan du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu'un sucrier et plusieurs pots de confiture.

Lorsque Marie s'assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses. Du coup, son sexe se dévoile, mais ni elle ni personne d'autre ne semble s'en rendre compte. D'ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Marie, si elle n'a pas remarqué l'indécence de sa propre tenue, c'est qu'elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir d’Isabelle est en dentelle, il est légèrement transparent et l'on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu. Découvrir les courbes d’Isabelle derrière ce bustier est encore plus agréable pour Marie que lorsque qu’elle ne portait rien.

Denis vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Marie peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu'il ne porte pour tout vêtement qu'un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce déjeuner improvisé.

Isabelle ne peut s'empêcher d'admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.

- J'adore quand il s'habille comme ça. Il est excitant, n'est-ce pas ?

Marie est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.

- Oui. Tout à fait. Dis donc, elles sont drôlement bonnes ces crêpes.

Denis lui répond tandis qu'il termine gloutonnement la sienne.

- C'est normal, j'ai un petit secret de fabrication. Je mets du sperme dans la pâte.

Marie, qui ne s'attendait pas à une telle réponse, manque, sous l'effet de la surprise, de recracher ce qu'elle a dans la bouche. Elle réussit à l'éviter mais il s'en faut de peu qu'elle ne s'étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s'inquiètent pour elle.

- Ça va mieux ?
- Oui. J'ai juste été un peu surprise.
- Bon.

Tandis que Denis se sert une seconde crêpe au sperme, Isabelle ne peut empêcher sa curiosité de s'exprimer.

- Et tu fais comment pour préparer la pâte ?
- De la farine, du lait, des œufs...
Isabelle l'interrompt :

- Non, je veux dire : pour le sperme, comment tu fais ?
- Facile : je me masturbe au dessus du bol de pâte et je fais tout gicler à l'intérieur.
- Et... tu en manges aussi ?
- Pourquoi pas ? Elles sont bonnes !

Et tout en disant cela, Denis termine sa seconde crêpe. Marie se tourne alors vers son amie.

- Ça ne va pas ? Tu ne termines pas ta crêpe ?

Isabelle regarde la crêpe au sperme qu'elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n'a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l'avaler.

Denis s'approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.

- J'adore lui caresser le sexe à travers le tissu du tablier.

En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l'ampleur, commence à soulever le tablier. Isabelle semble épatée par l'effet que cela fait à son mari.

- Tu as vu comme il aime ça ? Moi aussi j'adore. Ça me fait mouiller. Et toi, tu as déjà essayé ?

Marie s'inquiète d'une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.

- Non.
- Alors, essaye. Tu vas voir, c'est génial.

Il faut bien qu'elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l'inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n'est qu'une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Denis entre ses mains. La gêne l'envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Denis est en train de grossir encore plus dans sa paume. Marie s'enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d'elle, la regarde faire avec un vif intérêt.

- Alors c'est bien ?

Marie essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.

- C'est super.
- Il bande ?
- De plus en plus.

Pour confirmer ce qu'elle vient de dire, Marie lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Denis est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Marie constate alors avec surprise qu'elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu'elle est perdue dans ses pensées, Isabelle pousse son amie vers l'avant.

- C'est encore mieux de le sucer. Allez, vas-y.

Ce qui ne manque pas de surprendre Marie.

- Quoi ?
- Tu as l'air surprise. Tu n'as jamais sucé un homme ?
- Si, mais...
- Je ne te crois pas, sinon tu n'hésiterais pas à le prendre dans ta bouche. Il a une bite très agréable à sucer.

Isabelle soulève le tablier. Marie a alors la confirmation de ce qu'elle pensait. Denis s'épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement rasés. Cette belle verge bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n'est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.

- Vas-y, qu'est-ce que tu attends pour sucer mon mari ? Il a une si belle queue. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu hésites?

Comme Marie n'esquisse pas le moindre mouvement, Isabelle pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.

- Tu le vas sucer, salope ? Elle ne te plaît pas assez, la bite de mon mari ? Elle n'est pas assez bien pour toi ?

Marie se réveille en sursaut.

Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.

- Encore ce rêve, mais qu'est-ce qui m'arrive ?

Elle essaye de respirer un peu d'air pour se rafraîchir l'esprit, mais c'est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l'espoir de se rendormir plus sereinement.


3. Glissade

Marie est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L'inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c'est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Marie tandis qu'elle entame la conversation.

- Vous êtes encore là ?
- Évidemment, vous devriez vous y attendre.
- Cette fois-ci, vous êtes habillé.
- Ne détournez pas la conversation, vous n'avez pas respecté votre engagement.
- Quoi donc ?
- Vous n'avez pas fait tout ce que faisait votre amie.
- Mais si, j'ai masturbé son mari.
- Mais vous n'avez pas voulu le sucer.
- C'est dégueulasse ! Je ne vais quand même pas sucer le mari de mon amie.
- Si ! Il le fallait. Vous allez donc être punie.
- Je ne suis pas d'accord. D'ailleurs, elle ne l'a pas sucé. Je devais faire ce qu'elle faisait.
- Elle vous a dit qu'elle aimait le faire, ça revient au même. Vous n'avez pas respecté ce que j'avais dit. Je vais donc pouvoir profiter de votre corps.
- Quoi ! ? Pas question !

Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l'homme la poursuit.

- Toute fuite est inutile, je vous rattraperai.

Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n'est pas l'idéal pour courir. Marie finit par trébucher au bout d'une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu'elle parvient à faire, c'est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l'inconnu s'approche d'elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.

- Qu'est-ce qui se passe ? Je n'arrive plus à bouger.
- C'est normal, je vous avais prévenue, toute fuite est inutile.

Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.

- Vous savez, vous avez de la chance d'être pleine de boue, je ne ferai que vous caresser.

Ce massage de l'ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l'inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s'insinuent entre les lèvres de Marie, viennent lui exciter le clitoris puis s'introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.

- Je vois que vous appréciez. Vous mouillez tellement que cela a enlevé toute la boue que j'avais sur les doigts.

Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu'il laisse échapper permet de deviner qu'il apprécie le goût du sexe de Marie.

Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s'allonge au sol à côté de Marie et se roule à son tour dans la boue pour s'en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu'à l'érection tandis qu'il continue de caresser la jeune femme d'une main et de se masturber de l'autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu'il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu'il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Marie sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.

L'inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s'en va, laissant Marie dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.

Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Isabelle, cette dernière remarque immédiatement l'état dans lequel est son amie.

- Mais qu'est-ce qui t'es arrivé ?
- C'est toute une histoire. Mais je peux prendre une douche d'abord ?
- Oui, bien sûr, suis-moi.

Les deux femmes montent au premier étage jusqu'à la salle de bains. Alors qu'elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Isabelle se rend compte qu'elle a également de la boue sur elle.

- Je ne sais pas comment j'ai pu m'en mettre.

Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Marie est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l'eau chaude. Elle dirige la pomme de douche sur son corps tout en frottant. Isabelle, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu'elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.

- Dis donc, elle colle cette boue, il faut sacrément frotter.

Impression confirmée par Marie qui peine à se nettoyer le dos.

- En effet, ça ne part pas facilement.
- Attends, je vais t'aider, ce sera plus facile.

Isabelle se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s'occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu'elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l'autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Marie se laisse faire tandis qu’Isabelle continue de lui caresser la poitrine d'une main et que l'autre main s'approche progressivement de son sexe. N'y tenant plus, gagnée par le désir, Marie se retourne et lui rend ses caresses de face. Elle porte alors sa bouche sur les seins de sa partenaire et lèche, mordille, suce et embrasse chacun des deux seins d’Isabelle! Isabelle finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l'eau de la douche. Portée par son désir, excitée par le ruissellement de l’eau sur leur corps respectifs, Marie se laisse aller et rend la pareille à son amie.

Soudain, Denis entre dans la pièce, juste au moment où Marie vient d'écarter les cuisses pour que son amie puisse s'insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s'introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Marie. À chacun de ses coups de bite, Isabelle est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Denis. Isabelle se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Denis maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d'entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de queue, laisse échapper des cris de jouissance. Isabelle part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Marie comprend que son amie souhaite qu'elle lui caresse les seins, ce qu'elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris d’Isabelle. Denis ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Marie. Ceci fait, Isabelle se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Denis sort alors de la douche, s'essuie rapidement et repart aussi vite qu'il était arrivé.

Marie est surprise de ce comportement.

- Ben, dis donc, il n'est pas bavard, ton mari.
- Oh, tu sais, c'est un grand timide.
- Ah bon ? Il n'en a pas l'air pourtant.

Isabelle se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Denis s'étale sur les corps des deux femmes tandis qu'elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Marie étend sur le dos de son amie le sperme qu'elle a reçu sur les doigts. Isabelle, toujours excitée, s'écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Marie, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Isabelle porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C'est à ce moment là que Marie se réveille en sursaut.

- J'ai encore rêvé. Et cette fois-ci, je crois même que j'ai joui.

Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.

- Et il n'y a pas que dans mon rêve que j'ai joui.

Marie retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.


4. Initiation

Une fois de plus, Marie est en pleine campagne. Comme d'habitude, l'inconnu est également présent, mais accompagné d'un jeune homme. Il s'adresse immédiatement à Marie.

- Je me doutais bien que vous passeriez à nouveau. Permettez-moi de vous présenter mon jeune frère.

Marie est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.

- Bonjour.

Le jeune homme lui répond timidement, n'osant la regarder en face.

- Bonjour, madame.

L'inconnu reprend la conversation.

- Mon frère est plutôt inexpérimenté en matière de sexe. Grâce à vous, je vais pouvoir lui montrer comment l'on fait. Déshabillez-vous.
- Êtes-vous fou!! ? Vous n'imaginez pas que je vais me laisser faire !

Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C'est quand il retire son boxer-short que Marie constate qu'il n'a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l'inconnu.

- Mais ce n'est qu'un adolescent.
- Pas du tout, il est majeur. Mais la tradition familiale veut que l'on soit intégralement épilé le jour de son dépucelage.
- De toute façon, il est hors de question que je couche avec lui. Je ne me déshabillerai pas.
- Mais si, d'ailleurs vous êtes déjà à demi-nue.

En effet, Marie n'a plus ses vêtements. Elle ne porte plus qu’une culotte, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.

Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d'une solution, mais tout ce qu'elle remarque c'est un lit qui est placé au bord du chemin. L'inconnu continue à donner des ordres.

- Maintenant, allez vous allonger sur le lit.

Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Marie se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune garçon. Elle est à peine allongée qu'il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Marie. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Marie s'est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.

L'inconnu continue à diriger les opérations.

- Maintenant, vous allez le sucer pour le mettre en érection.

Obéissante, Marie s'avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l'effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur toute sa longueur. L'effet est immédiat, le sexe imberbe du garçon finit de se raidir entre les lèvres de Marie. C'est ensuite à lui de se pencher vers elle, de retirer la culotte de Marie et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Marie a le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu'il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l'un que l'autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Marie se retrouvant au-dessus.

Le jeune homme n'est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu'il passe à autre chose avant d'être victime d'une éjaculation précoce. L'inconnu sort de sa poche un préservatif qu'il donne à Marie.

- Vous savez comment faire???

Ne discutant pas les ordres qu'elle reçoit, elle sort la capote de son emballage et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L'inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s'adresse à son frère.

- Maintenant tu te places sur la dame et tu rentres ton sexe dans le sien. Ensuite, tu fais des allers et retours, comme tu as vu sur la vidéo que je t'ai prêtée.

Marie s'allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s'insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d'abord timidement, sans doute par peur d'une sortie inopinée, mais l'assurance le gagne rapidement et il augmente alors l'amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Marie commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l'effet de ces coups de bite, mais pas longtemps... Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.

- Fort bien.

Puis il s'adresse à Marie.

- Voulez-vous goûter ?
- Non merci, sans façon.
- Alors, je vous remercie de votre collaboration. Vous pouvez disposer.

Sans plus attendre, Marie les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant la maison, elle est à nouveau habillée. C'est Isabelle qui lui ouvre et elle l'invite sans plus d'explications à la suivre jusqu'au salon. La stupéfaction de plein fouet lorsqu'elle découvre ce qui est en train de se passer sur le divan. Son... son mari est en train de sucer le mari de son amie.

- Mais, chéri, qu'est-ce que tu fais ?

Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Denis dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.

- Commmm uh ois, ze uce Eni. ( Comme tu vois, je suce Denis)

Sortant la queue de Denis de sa bouche, il ajoute;

- Tu n'as pas voulu le faire, alors je suis pris pour le faire à ta place.
- Mais enfin, ce n'était pas la peine !
- Si, c'est une question d'honneur.
- Ça pas de bon sens!
- Pas du tout, c'est très important.

On sonne alors à la porte et Isabelle s'absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fourré Marie au beau milieu des champs.

- Je vous présente mon neveu.

Marie en est surprise et le jeune homme s'en rend compte.

- Mon frère vient de m'expliquer comment effectuer une sodomie.
- Et alors ?
- Il m'a dit que vous pourriez à nouveau être ma partenaire.

Marie est outrée.

- Et puis quoi encore ? Une fessée?????? Et devant mon mari en plus !

C'est alors ce dernier qui prend la parole.

- Justement, il faut bien qu'il apprenne. J'aimerais bien voir comment il y s'y prend, ce petit jeune. Tu es tellement serrée du cul que ce n'est pas toujours facile.

Puis, se tournant vers le neveu.

- Mais si tu en as une moins grosse que moi, ce sera plus facile.

Isabelle se lève pour faire de la place à son amie.

- Vas-y, installe-toi là, tu seras mieux.

Sans trop savoir ce qu'elle fait, Marie se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au divan. Isabelle soulève la jupe de son amie, qui ne porte pas de culotte.

- Tu es toujours aussi salope, toi. Toujours prête à recevoir un coup.
- Mais non. Ce n'est pas vrai. Ne l'écoute pas, mon chéri. Je ne t'ai jamais trompé.

Il lui répond nonchalamment, la bite au coin de la bouche.

- Ce n'est pas grave, du moment que je suis au courant et que je connais ceux avec qui tu es.

Marie n'a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans le cul sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s'habituer qu'il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Isabelle le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu'il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l'entrée d’un trou arrière de Marie et s'introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu'elle ressent la fait gémir malgré elle.

Denis regarde cette scène avec envie.

- Quel petit veinard, ton neveu, ma chérie.

Philippe lève les yeux vers son ami.

- Pourquoi ? Tu veux m'enculer ?

- Je dois avouer que ça me plairait bien.

Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Denis présente son sexe en érection face à l'anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d'une minute Denis peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Denis commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.

Restée seule, Isabelle se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Denis a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n'arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.

Emportée par son plaisir, Marie ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6h30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore toute excitée par son rêve pervers, elle s'introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.

- Eh bien... heureusement que les enfants sont en vacances chez les beaux-parents.

Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Marie espère bien que la journée sera plus calme.

Une heure a passé, mais Marie n'a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d'une robe de chambre, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s'affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l'autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa robe de chambre s’ouvre et ne cache ainsi rien de ses seins et de son sexe intégralement épilé.

Son correspondant décroche enfin, il s'agit de son amie Isabelle.

- C'est Marie, je ne te dérange pas ?
- Non, comment vas-tu ?
- J'ai passé une nuit atroce à faire des rêves bizarres.
- De quel genre ?
- C'est un peu spécial comme rêve. Très sexy. En plus tu étais dedans et ton mari aussi.
- Raconte, ça m'intéresse.
- Ok, si ça ne te gêne pas.

Marie lui raconte alors tous les rêves qu'elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. La sensation de douceur de sa chatte rasée la porte a laissé sa main entre ses cuisses. De temps en temps, elle se rend compte qu'elle est en train de se caresser le sexe et s'interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.

À la fin, Isabelle reprend la parole

- Très excitants, tes rêves. Tu n'en aurais pas encore d'autres à me raconter? Je me suis même caressée en t'écoutant.
- Toi aussi ? Heureusement que l'on était au téléphone.
- En effet...
- Bon. Eh bien, qu'est-ce que tu en penses ?
- Tu devrais aller voir un psy. Ça tombe bien, tu sais où je bosse. Je t'aurais bien pris un rendez-vous avec mon patron, mais je suis en vacances. Tu n'as qu'à appeler de ma part, ma remplaçante saura bien te trouver une case de libre dans la matinée.
- D'accord. Et je peux passer te voir cet après-midi ?
- Bien sûr, passe quand tu veux.

Après avoir raccroché, Marie s'arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.

Dix heures moins cinq. Marie sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d'une blouse blanche, avec de belle courbe au niveau de la poitrine, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Isabelle. Elle fait entrer Marie et l'installe dans la salle d'attente.

Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s'ouvre. Un homme assez grand, un peu rond, l’air d’un bon bonhomme, apparaît et invite Marie à entrer. Ses cheveux complètement rasés le font ressemblé à Kojak, une paire de petites lunettes fines lui couvre ses yeux. Il a la face ronde, la bouche souriante et les murs de son bureau sont couverts de livres. Il se présente;

- Bonjour, je suis le docteur Paradis, si vous le permettez, je vais vous parler un peu de moi et de mon approche et si cela vous convient on poursuivra la séance avec ce pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

Le médecin psychiatre fait alors une courte présentation de son vécu et de ses connaissances! Une fois que Marie lui eut donné son accord pour poursuivre, il lui demande de se mettre à l'aise et de s'asseoir sur le divan tandis qu'il engage la conversation en s'asseyant dans un fauteuil à côté d'elle.

- Vous êtes une amie de mon assistante, c'est bien cela ?
- Oui. Comment le savez-vous ?
- Elle m'a appelé pour que je prenne bien soin de vous.
- C'est gentil à elle.
- En effet... Alors, si vous me racontiez ce qui vous amène ?

Marie recommence son récit. Le même qu'elle a raconté il y a peu de temps à son amie.

Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.

- Ce que vous avez n'est pas bien grave. Juste des fantasmes refoulés. Il faut faire quelque chose, sinon ils vont se transformer en obsessions et il sera encore plus difficile de les traiter.
- Et que faut-il faire ?
- Laisser libre cours à vos pulsions.
- Mais je n'oserai jamais.
- Vous en avez déjà parlé à deux personnes, c'est mieux que rien. Votre mari est-il également au courant ?
- Pas du tout. Vous pensez bien que je n'oserais jamais lui confesser de telles choses. Je n'imagine pas qu'il accepterait d'avoir des rapports avec un autre homme.
- Qu'en savez-vous ?

Marie marque un temps d'arrêt, pensive.

- En effet, je n'en sais rien.
- Il ne faut jamais juger les gens sans bien les connaître. Comment va votre vie de couple ?
- Nous nous entendons très bien.
- Je parle sexuellement.
- Rien de spécial.
- Vous vivez ensemble depuis combien de temps ?
- 10 ans.

Le ton du psy se fait alors plus grave.
- Vous êtes en train de passer un cap. Si vous ne savez pas le négocier, vous allez au devant d'une crise grave.
- Et qu'est-ce que je dois faire ?
- Anticiper sur les problèmes. Aller de l'avant. Prendre l'initiative.
- C'est-à-dire ?
- Vous devez parler de ce rêve à votre mari. Vous avez besoin de vous épanouir sexuellement.
- Jamais je n'oserai.
- Je vais vous y aider.

Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Marie tout en continuant à parler.

- Respirez calmement... Laissez vos yeux fermés...

Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.

- Ça va mieux ?
- Oui. Je me sens plus calme.
- C'est très bien. Vous pouvez rouvrir les yeux. Comment vous sentez-vous ?
- Bien.

Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s'assied dans un autre fauteuil, face à Marie.

- Nous allons maintenant revenir sur divers points qui semblent jalonner vos rêves avec une telle régularité qu'ils pourraient bien finir par être obsessionnels. Tout d'abord votre tenue. Vous vous retrouvez régulièrement sein nue ou sinon vous ne portez pas haut, et si vous en avez un ce sont vos sous-vêtements qui font défaut. Est-ce quelque chose de fréquent chez vous ?
- Absolument pas.
- Vous n'avez jamais essayé ?
- Non.

Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer les seins de Marie.

- Pourtant vous n'en portez pas aujourd'hui.
- Ce n'est pas possible.
- Puisque je vous le dis.

Marie se penche la tête pour vérifier. En effet, elle ne porte rien sur le haut. Ses seins sont complètement à l’air et entièrement dévoilé aux yeux du psy.

- Je ne comprends pas. Je suis confuse.
- Ce n'est pas grave. Dites-moi plutôt ce que vous ressentez en ce moment.
- Je suis troublée, je me sens bizarre.

Il s'approche alors très près d'elle, au plus près de son intimité.

- Et si je regarde vos seins avec insistance comme je le fais ?
- J'ai honte de le dire, mais j'en ressens du plaisir.
- Écartez les bras derrière la tête.

Sans se poser de question, Marie obéit. Le psy peut maintenant voir en détail toutes les formes des seins de la jeune femme, ses mamelons et les rondeurs de ses boules. Le bout de ses seins durs dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.

- Vous êtes tellement excitée que je suis certain que vous commenceriez à mouiller si je continuais à vous regarder.
- Peut-être bien.
- Vous pouvez vous masturber si vous voulez et vous caresser les seins aussi.

Sans plus attendre Marie s'introduit un doigt dans la chatte et caresse un de ses seins avec son autre main, et portant le bout de son sein à sa bouche. Il ne lui faut que quelques caresses sur sa chatte et quelques coups de langue sur son sein pour jouir bruyamment devant le praticien.

Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.

- Le sexe rasé, c'est aussi une constante dans vos rêves. Êtes vous épilée au niveau du sexe?
- Oui
- C'est par désir personnel ?
- À l'origine, c'est mon mari qui me l'a demandé. Mais je dois avouer que j'ai vite apprécié le confort que cela procure.
- Et votre mari, il s'épile aussi ?
- Pas du tout.
- Et vous trouvez cela normal ?
- Je ne me suis jamais posé la question.
- Vous êtes plutôt du genre soumise.
- Vous croyez ?
- Tout à l'heure, quand je vous ai dit d'écarter les bras, vous avez obéi sans discuter.
- Oui, mais j'étais très excitée, j'en avais envie mais je n'osais pas le faire.
- Vous venez à l'instant d'expliquer l'origine de vos rêves : des envies que vous n'osez pas faire aboutir.
- Vous croyez ?
- J'en suis certain.

Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n'est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s'occupe. Les mains de l'homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il lui pétrie les seins. Marie, qui ne porte pas de culotte sens sa chatte devenir de plus en plus mouillée, et lorsqu’elle s'en rend compte, elle esquisse une plainte.

- Mais enfin, que faites vous ?
- Je vous caresse.
- Je vois bien, qu'est-ce qui vous prends ?
- C'est pour votre thérapie. Si vous ne vous débattez pas, c'est que vous êtes consentante ou soumise. Vous appréciez ?
- Oui.
- Bien. Retirez donc votre jupe .
- Mais je vais me retrouver toute nue !
- Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas.

Marie obéit malgré tout et retire les vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l'autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Marie.

- D'après-vous, comment serait habillée mon assistante dans vos rêves ?
- Vu mes obsessions, je suppose qu'elle ne porterait pas de sous-vêtements et qu’elle aurait de beaux seins ferme et rond et qu'elle aurait le sexe épilé.

Le psy se tourne vers son assistante.

- Mademoiselle. Si vous voulez bien retirer votre blouse...

La jeune fille s'exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s'entrouvre, Marie entrevoit les gros seins ronds de la femme et le sexe de l'assistante. Celui-ci est épilé comme elle s'y attendait et, s'il est visible, c'est évidemment qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l'assistante n'est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.

Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s'approche à nouveau de Marie et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n'hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n'allant jamais jusqu'à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Marie.

- Vous aimez ?
- Oui, beaucoup.
- Vous voulez que je continue ?
- Oui.
- Vous en voulez plus ?

En guise de réponse, Marie laisse retomber chacune de ses jambes d'un côté du divan. Cela a pour effet d'ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s'agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Marie. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu'à introduire sa langue au plus profond de l'intimité de la jeune femme.

- Visiblement vous aimez, vous êtes trempée tellement vous mouillez.
- Oui, c'est vrai. Continuez donc.
- Non, c'est mon assistante qui va me remplacer.

La jeune femme enjambe le divan et se place sur Marie en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se manger. Marie regarde le psy se masturber, et le fait de sentir que le docteur est excité par ce qu’elle fait avec l’assistante lui fait augmenter son plaisir encore plus!

Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s'astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l'assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Marie reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d'un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu'il attend d'elle, son regard désignant clairement sa braguette.

- Mademoiselle, s'il vous plaît, dit-il en pointant du doigt sa queue.

La jeune femme s'avance aussitôt, s'accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Marie, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.

Marie s'insurge alors.

- Vous n'avez pas honte ? Traiter ainsi votre assistante !
- Je n'en suis pas responsable, c'est elle qui insiste pour tout avaler, elle aime cela!
- Et sinon, comment feriez-vous ?
- Comme cela.

Le psy s'avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage en léchant longuement les seins de Marie.

L'assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Marie pour lui masser la nuque.

- Voilà, c'est terminé. Comment allez-vous ?
- Vous osez me demander cela ? Espèce d'obsédé !
- Calmez-vous et regardez, vous êtes habillée.

En effet. Marie n'est plus nue.

- Qu'est-ce qui s'est passé ?
- Vous venez de subir une séance d'hypnose.
- Il ne s'est donc rien passé ?
- Rien du tout. Enfin presque rien : vous m'avez tout raconté et vous n'avez pas arrêté de vous caresser.
- Je me suis caressée ?
- Oui. Et tout particulièrement les seins et le sexe.

Entendant cela, Marie se met à rougir. Le psy s'en rend compte et la rassure.

- Ne vous mettez pas dans un tel état. Votre comportement sous hypnose est tout à fait normal, enfin disons qu'il est désinhibé. Votre éducation, probablement assez stricte, vous a inculqué des valeurs qui ne sont pas compatibles avec une vie sexuelle parfaitement épanouie. Par exemple, l’influence de vos parents, qui poussent souvent les filles à être de parfaite petite fille tranquille ou à s’habiller comme une belle petite poupée gentille, sont des choses qui influencent le comportement. Ou encore en vous donnant le bain, la façon dont votre mère a pu vous regarder ou vous dire de laver votre vulve, peut venir influencer votre vie et vos relations sexuelles. Ceci a pour effet que par le biais de vos rêves, vous laissez échapper ce trop-plein de sensualité. C'est la première fois que vous avez ce genre de rêves ?

- Je ne sais pas trop. Certainement pas depuis des années, mais cette fois-ci, c'était tellement intense et réaliste.
- Vos fantasmes ont évolué avec le temps. Ils se sont exprimés cette nuit suite à un changement de situation.
- Mon mari était à l’extérieur cette semaine, il rentre ce soir. Les enfants sont chez leurs grands-parents depuis hier. J'étais donc seule à la maison cette nuit.

- Et cela fait longtemps que ça n'est pas arrivé ?
- C'est la première fois depuis la naissance du plus grand. Il a six ans.
- Vous imaginez donc tous les fantasmes qui ont dû s'accumuler en vous sans jamais pouvoir s'exprimer ni en rêve, ni dans la réalité. Cette nuit, le retard a été rattrapé, d'où l'intensité de ces rêves.
- Donc cela ne risque pas de se reproduire tant que je ne dormirai pas seule à la maison.
- Probablement. Mais ce n'est pas sans danger, vos fantasmes vont recommencer à s'accumuler. Vous allez ressentir une sensation de frustration intérieure grandissante. Tout cela peut mener à une rupture violente.

Marie commence à s'inquiéter.

- Et qu'est-ce que vous me conseillez ?
- Laissez libre cours à vos fantasmes.
- Mais je ne peux pas. C'est inconvenant.
- C'est votre éducation qui vous l'a présenté ainsi. Vos premiers fantasmes seront toujours anodins, puis ils deviendront de plus en plus pervers si vous les refoulez. Si vous ne vous laissez pas aller tout de suite, vous pouvez fort bien ressentir dans quelques mois des pulsions sado-masochistes. Comme ce
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 20:50
Ceci s'est passé il y a quelques années, avec une collègue de travail que je nommerai Corinne. Nous avions eu une rapide aventure un soir après une réunion suivie d'un apéritif bien arrosé. Quelques jours plus tard, et alors qu’il me semblait qu’elle était devenue distante avec moi, nous sommes partis ensemble à une réunion de travail à Paris. Nous avions à peine pris l’autoroute qu’elle m’a avoué avoir beaucoup apprécié d'avoir fait l'amour avec moi quelques jours plus tôt, qu'elle avait joui très vite parce que la situation l'excitait (cela s'était passé dans mon bureau, une fois que tout le monde était parti) et que bien que mariée, comme moi, elle avait envie que l'on continue cette relation qu'elle considérait comme purement sexuelle. Je suis ai dit que j'étais d'accord, car moi aussi j'avais apprécié notre relation furtive.
Ravie de ma décision, elle m'a alors annoncé n’avoir mis ni culotte ni soutien-gorge, pour me faire plaisir. Elle portait une mini-jupe remontée jusqu’à mi-cuisses, qui me permettait de constater qu’elle portait des bas, comme à son habitude. Consciente de mon trouble naissant, elle a posé sa main gauche sur ma braguette et s’est mise à me tripoter jusqu’à ce que je sois bien tendu, me rassurant alors sur mes capacités d’érection.
Puis elle m’a demandé si ça m’exciterait de la voir se caresser à mes côtés, et sans attendre ma réponse a retroussé sa jupe jusque sur son ventre, ouvert largement ses cuisses et glissé sa main droite dans son entrejambe, la gauche continuant de me masturber à travers mon pantalon. Inutile de dire que je commençais à avoir du mal à conduire, et qu’il m’a fallu ralentir considérablement mon allure.
Quelques kilomètres plus loin, j’avais le pantalon ouvert, mon sexe raide se dressant hors de mon slip baissé, un long filet de sperme coulant de mon gland violet et gonflé à l’extrême. Corinne avait cessé de me branler et de me sucer quand elle m’avait senti au bord de l’explosion, et s’affairait maintenant de ses deux mains sur sa vulve et sur ses seins qu’elle avait extirpés de son chemisier ouvert. Tout en la regardant faire, je me suis mis à doubler lentement un semi-remorque qui peinait dans une montée, et quand nous sommes arrivés à hauteur de la cabine du routier, celui-ci s’est mis à klaxonner en découvrant le spectacle que nous lui offrions. Au lieu de paniquer, Corinne l’a regardé avec un sourire quelque peu crispé par le plaisir, puis a fermé les yeux pour se caresser de plus belle. Volontairement, je suis resté à hauteur du routier jusqu’à ce que ma compagne jouisse de s’exhiber à lui. Puis quand ses cuisses se sont refermées sur sa main prisonnière de son entrejambe, j’ai repris de l’allure pour m’éloigner du routier qui nous faisait de grands appels de phares pour nous faire signe de nous arrêter sur la prochaine aire de repos. Nous avons ri de cela, ce qui nous a permis d’évacuer la gêne qui com-mençait à nous envahir après cette séance imprévue.
Après avoir refermé son chemisier et baissé un peu sa jupe, Corinne a jeté un coup d’oeil vers mon sexe toujours aussi tendu, et s’est penchée vers moi pour me sucer de nouveau avec beaucoup de douceur afin de me maintenir au bord de l’éjaculation. Finalement, n’en pouvant plus, j’ai pris la première sortie, puis le premier sentier isolé, et nous avons fait l’amour dans la voiture, avec une violence indescriptible. Nous avons joui en même temps, en criant aussi fort l’un que l’autre.
Pendant que nous mangions au restaurant le soir-même, Corinne m’a reparlé de son exhibition, m’a avoué n’avoir jamais osé se masturber devant quelqu’un avant ce jour-là, et avoir connu l’orgasme le plus puissant de sa vie de s’exhiber et à moi et à cet inconnu. Elle réalisait soudain qu’elle avait un penchant exhibitionniste, et cela l’affolait et l’intriguait à la fois. Elle se demandait jusqu’où elle était capable d’aller, et a fini par m’avouer qu’elle avait envie d'aller plus loin.
Dans les semaines qui ont suivi, nous avons souvent fait l’amour dans sa voiture dans des petits chemins forestiers connus de quelques voyeurs. Nous nous y rendions séparément afin de ne pas être découverts dans notre adultère. Un jour, quand je suis arrivé dans notre petit bois où elle m’attendait déjà, Corinne semblait un peu affolée, car un homme était venu rôder près de sa voiture quelques minutes plus tôt. Il était encore là, à quelques mètres, caché derrière un arbre. Je l’ai rassurée en lui disant que ce n’était rien d’autre qu’un voyeur, mais je voyais qu’elle avait eu vraiment peur de le voir s’approcher de la voiture alors qu’elle était seule. Je l’ai serrée contre moi pour la réconforter, et nous avons commencé à nous embrasser et à nous caresser furtivement.
Tout en se collant à moi, je sentais qu’elle lançait des regards fréquents du côté de l’homme qui nous observait, et je croyais que c’était encore dû à sa peur. Or, quand j’ai glissé ma main sous sa jupe pour atteindre sa fente, j’ai été surpris de constater qu’elle ruisselait. Je me suis détaché d’elle pour plonger mon regard dans le sien, et elle s’est mise à rougir. J’ai compris alors qu’elle mouillait déjà à l’idée de s’exhiber à l’inconnu, et qu’elle l’observait non pas par peur, mais pour voir ce qu’il allait faire en nous regardant. Bien sûr, je n’ai pas manqué de le lui faire remarquer, pour accentuer son trouble. Elle a admis que j’avais raison, et s’est jetée sur moi avec une véritable fureur. Elle m’arrachait presque mes vêtements, et en un rien de temps nous nous sommes retrouvés nus sur la banquette arrière de la voiture. Elle m’a alors repoussé et s’est penchée sur moi pour me sucer avec une frénésie inhabituelle.
Nous étions nus l’un et l’autre, et nous avions ouvert la portière arrière du côté du voyeur, les journées commençant à devenir chaudes. Autant dire que l’homme ne manquait pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Pendant que Corinne avalait presque entièrement ma colonne de chair tendue, je me suis mis à fixer ce voyeur caché dans son buisson pour lui faire voir que nous l’avions repéré. D’abord paniqué, il a cherché à se cacher un peu mieux, avant de comprendre que nous acceptions sa présence.
Corinne a interrompu sa fellation dès qu’elle a senti que je n’allais plus tarder à éjaculer, et en relevant la tête elle a regardé à son tour le voyeur, avant de me fixer d’un regard étrange. L’homme s’était approché de la voiture dont il était à quelques mètres à peine, avait ouvert son pantalon et extirpé son membre court et épais qu’il masturbait d’un va-et-vient rapide de sa main droite. J’ai senti mon excitation monter d’un cran, et réalisé que Corinne le fixait à nouveau d’un oeil effaré, oubliant presque ma présence. Elle mouillait tellement que sa cyprine coulait le long de ses cuisses écartées. N’en pouvant plus, je l’ai attirée sur moi pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. Elle était vraiment trempée ! Elle s’est mise à agiter nerveusement son bassin d’avant en arrière pour me faire aller et venir en elle, et nous avons joui très vite et très fort, une fois de plus. Quand je suis revenu à moi, le voyeur n’était plus là. Il avait dû éjaculer lui aussi, et disparaître aussitôt. Corinne m’a avoué avoir joui avant même que je la pénètre, lorsque l’homme a éjaculé sous ses yeux. Elle savait maintenant qu’elle avait aussi un penchant pour le voyeurisme.
Par Shelly - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 16:57
C’était un samedi après-midi. Il faisait froid, mais pas trop. C’était, selon moi, une très belle journée d’hiver québécois. Le soleil commençait à se coucher mais la journée était encore jeune. Étant seule à la maison, je commence à ramasser des choses ici et là et à les ranger à leur place. Ayant terminé le salon et la cuisine, j’entre dans ma chambre. Petit moment de découragement, j’ai du linge sur le lit, le bureau et la chaise. J’entreprends de mettre les morceaux sur des cintres. Sous quelques chandails, je découvre mon corset préféré. Cela fait bientôt deux semaines que je suis en vacances et je me souviens l’avoir mis à mon premier souper, mon premier soir en vacances dans un petit restaurant chique de la région. Ça avait bien été. Un souper avec deux couples d’amis. De beaux souvenirs.

Je regarde mon corset et j’ai envie de le mettre. J’enlève ma robe de chambre en satin que je laisse glisser jusqu’à mes pieds. Je pose le corset sur mes seins en exerçant une pression sur ceux-ci pour voir le galbe qu’il fera. J’aime bien. Deux grosses boules bien hautes émanent du corset. J’agrafe donc chacune des petites agrafes et me tourne face à mon miroir pour en voir le résultat. Je me tourne et me regarde le dos. J’adore la couleur, je trouve qu’il me fait une belle silhouette. La couleur sombre du corset – entièrement noir avec des fleurs subtiles vertes-dorées avec de la dentelles en haut et en bas pour faire une belle finition – mélangé avec la fonction de comprimer amincie. Étant bien en chaire, ça laisse rêver.

J’ai envie de me préparer comme si j’allais sortir, tenter les hommes. J’ouvre mon tiroir de sous-vêtements et en sort une petite culotte noire mi-fesses en dentelle qui rappelle celle de mon corset. Je continue à fouiller dans mon tiroir et en sort de grands bas de nylon noirs avec environ dix centimètres de dentelles en haut et les enfilent sur les jambes. Je prends le porte jarretelle qui était déposé à côté des bas et l’installe par-dessus ma culotte et les y attachent. J’ouvre ma penderie et en sort une robe que j’ai déjà porté à une seule reprise, parce que trop osée. Noire, mi cuisse, décolletée. Je me sens vraiment vilaine avec cette robe.

Le téléphone sonne. C’est un ami. Il me demande ce que je fais. En bégayant un peu, je lui explique en riant maladroitement que je suis en train de m’habiller sexy parce que j’en avais envie. Que je m’apprêtais à me maquiller et ensuite, me peigner pour ensuite aller faire je ne sais quoi, je ne sais où. Il me demande si ça me tente d’aller souper. Il dit que le temps que je termine de me préparer il fera des poitrines de poulet au vin blanc avec des petits légumes vapeurs. Je m’empresse d’accepter. Après avoir raccroché, je me regarde dans le miroir et je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Pourquoi venais-je d’accepter ? Aucune idée mais cette soirée me tentais. Après l’avoir rappelé pour lui demander s’il voulait que j’apporte une bouteille de vin (ou deux…) ou s’il désirait que j’apporte autre chose il me dit : « Ton corps et ta tête, c’est tout ce que je demande ». Parfait.

Je m’assieds donc à ma petite table de maquillage et commence à poser un peu de fond de teint et de far à joues sur mon visage. Je mets de l’ombre à paupière sombre dans les coins extérieurs, frise mes cils et mets du mascara pour avoir un regard charbonneux. Tout est bien. Il me reste à mettre du brillant sur mes lèvres et placer mes cheveux et tout sera parfait. Je vais à la salle de bain et prend un fer pour friser grossièrement quelques mèches de cheveux. Je regarde le miroir et après être tournée quelques fois sur place pour voir le résultat final, je me dis qu’il appréciera probablement.

Je passe au vestibule, enfile mes bottes noires aux genoux, mon foulard rouge, mon manteau long et pour terminer le tout, mes gants rouges pour ne pas avoir froid en conduisant jusqu’à chez lui. Je passe le seuil de la porte, referme derrière moi et démarre la voiture pour faire les 10 minutes de route. Dans la voiture, je mets un CD de musique qui ne contient que des ballades.

Enfin arrivée, je me regarde dans mon miroir, retouche mes lèvres et va cogner à son appartement. Il ouvre et me regarde en me faisant un beau sourire. Il enlève mon manteau que je déboutonnais quelques secondes auparavant et lorsqu’il est enlevé, me donne une petite tape sur les fesses. Ça me surprend. Je ne m’attendais pas à ça. Il me prend pas le bras et m’amène à la cuisine. Je jette un coup d’œil au salon au passage pour voir si son colocataire était présent et ensuite dans la salle d’ordinateur pour finalement regarder rapidement dans sa chambre. Tout était vide. Il me regarde et me dit : « il n’est pas là. Il est parti pour la fin de semaine ».

À ma surprise, la table est mise et le vin est déjà servi. Il s’approche de la table, prend les deux coupes de vin, m’en offre une et prend l’autre. Il passe sa main dans mon dos et embrasse mon cou, tout près de la clavicule droite. Des millions de frissons se promènent à ce moment sur mon corps. Après s’être redressé, il tire une chaise et me montre de la main de m’assoir. Ce que je fais. Des mains se déposent sur mes épaules et commencent à les masser en montant à mon cou et allant jusqu’à la limite de ma robe qui descend au quart de mon dos. Après quelques minutes, ses mains quittent mon dos et ses lèvres viennent déposer un baiser sur mon front.

« Tu as faim ? » me demande-t-il.
« Je commence, effectivement, à avoir faim. »
« Je propose maintenant puisque le dessert ne pourra pas durer éternellement. »
Innocemment, je lui dis d’accord en ne sachant pas trop ce qu’il insinuait.

On mange alors une poitrine de poulet dans une sauce avec des brocolis, carottes et choux-fleurs cuits à la vapeur. C’est très bon. Je déguste chaque bouchée avec soin en faisant attention pour le regarder et lui montrer que j’aime bien.

Il me regarde et je sens ses arrières pensées. Il me regarde et me déshabille des yeux. Il boit son vin et je vois à chaque gorgée son envie de passer par-dessus la table et venir à moi. Je dois dire que le regarder avec son jeans et on chandail en laine ne me laisse pas indifférente. Plus je bois ce vin et plus j’ai envie qu’il passe par-dessus la table aussi. Dernière gorgée de vin et une grosse goute coule le long de ma coupe. Je le regarde dans les yeux et passe ma langue de bas en haut. Il me regarde, baisse le regard et fais des signes de négations avec la tête. Il met ses mains sur les accoudoirs de sa chaise, se lève et passe de mon côté de la table. Il va en arrière de moi, prend la bouteille de vin et tout en versant de l’alcool dans ma coupe, dépose de langoureux baisers dans mon cou. Ne pouvant plus me retenir face à ses actions, je tourne ma figure pour pouvoir l’embrasser sur la bouche. Il tire ma chaise et me permet de me lever.

Il passe ses mains autours de mes hanches et me tourne. Je le regarde dans les yeux et approche ma bouche de la sienne. Je m’approche de lui et colle mon corps au sien. Même si j’y suis collée à lui, je continue d’avancer pour l’accoter sur le mur qui se trouve derrière lui. Rendu au mur, je lève une jambe pour qu’il la prenne dans sa main, ce qui rend plus facile pour moi de coller ma chatte à son membre bien dur. On s’embrasse, nos mains se baladent, on se tient l’un à l’autre pour ne plus se laisser. Il redépose ma jambe et ri timidement. Je le regarde et ne comprends pas pourquoi il ri comme cela. Il me fait un clin d’œil et me dit de le suivre.

N’ayant jamais vécu un moment comme celui là avec mon ami, je suis anxieuse. Je n’aime pas l’inconnu et son sourire me dit qu’il y a quelque chose qui va se passer. Maintenant dans la chambre, il se retourne et me dit « tu te souviens m’avoir dit que tu aimais sucer… ? ». Comment dire que je ne me souviens pas. C’est tellement exquis avoir une queue dans la bouche, pouvoir la sucer, la masturber, l’embrasser, la titiller. Alors je lui fais un signe discret d’approbation. Il me dit : « et tu te souviens de ce que tu m’as dit à propos de ça ? » en posant sa main sur sa caméra. Je commence à comprendre.

Je passe ma main dessous mon bras et descends la fermeture éclaire de ma robe. Je laisse les bretelles tomber sur mes épaules et fais glisser la robe le long de mes hanches, mes cuisses et jusqu’à mes pieds. Je le regarde dans les yeux. Je suis debout, plantée devant lui en corset, petite culotte et en bas mi-cuisses. J’avance face à lui et lorsque je suis assez près de lui, je me tourne et prends ses mains dans les miennes. Je colle mes fesses à son sexe et commence à faire bouger mes hanches tout en restant collée à lui. Ses mains, sous mes mains, sont posées sur mon ventre. Doucement je sens une de ses mains qui tente de se dégager pour venir agripper un de mes seins. Ses mains, si douces et si excitantes.

Quand je sens son membre bien dur, je me tourne face à lui et commence à le déshabiller. Il ne bouge pas et suis lentement mais surement mes mouvements. J’enlève tout d’abord son chandail. Quand il est torse nu, je commence à balader ma bouche et ma langue sur son cou, son ventre en n’oubliant pas de titiller ses seins au passage.

Je dépose mes mains sur ses jeans et entreprends de déboutonner et descendre sa fermeture éclair. À ma grande surprise, il m’interrompt. Étant à genoux, il me prend une main et me tire pour que je me lève. Il pose ses mains sur mes hanches et me pousse un peu pour m’écarter de son chemin. Il se dirige vers son bureau et active sa caméra pour enregistrer ce que nous ferons. Quand la caméra est en marche, il se tourne vers moi et attends que je vienne le rejoindre. Je dépose un baiser sur sa bouche et me mets immédiatement à quatre pattes. Je recommence à déboutonner ses jeans pour pouvoir sortir son pénis que je sens bien dur. Lorsque je peux retirer son pantalon, je l’assied sur le lit et le fais glisser jusqu’à ce que son pénis soit complètement libre.

Je le couche sur le lit et mets mon cul face à la caméra pour me pencher sur sa bite. Je me dandine un peu pour que la caméra voit bien mes petites culottes et mon porte jarretelle. Je laisse un pied par terre et passe l’autre par-dessus son corps. Il se retrouve alors avec ma chatte proche de la figure. Sans lui indiquer que j’allais engouffrer son pénis dans le fond de ma gorge, je lui prends et le rentre jusqu’au maximum. Je l’entends soupirer. J’ai envie de lui faire plaisir ! Je sors sa verge de ma bouche et me penche pour licher ses balles bien dures. Comme je ne suis pas très à l’aise, je change de côté. Je prends sa queue d’une main et commence à lui licher encore plus les testicules. Elles sont douces. J’entends sa respiration et je sais que c’est difficile pour lui de se contrôler. Il aimerait que j’engouffre son pénis dans ma bouche mais j’ai envie de le faire languir.

Ma langue passe sur sa queue en partant de ses testicules jusqu’au bout de son volcan. Je sens son cœur battre à chaque coup de langue que je donne. Ses soupirs m’excitent. Je prends son gland entre mes lèvres et commence à tourner ma langue tout autours. Pendant ce temps, je continue à lui masser les testicules et mets beaucoup de bave sur sa verge. J’aime quand c’est très glissant. Les sensations sont toujours plus fortes parce que rien n’empêche les lèvres de bien glisser. Quand la bave se rend jusqu’à ses testicules, je passe mon autre main pour en récupérer un peu et glisse un doigt entre ses fesses. Je sais qu’il n’a jamais été chaud à l’idée. Peut-être pour ne pas gâcher le petit vidéo qui tourne ou parce qu’il a bu de l’alcool… ou parce qu’il a décidé d’essayer, il se laisse faire. Il écarte même une jambe pour me laisser plus de place.

Je commence à faire tourner mon doigt en petits ronds sur son anus. Au même moment, trop excitée à l’idée qu’il m’ait laissé faire, je prends sa queue entièrement dans ma bouche et continue à le sucer de plus en plus fort. Plus je le suce et plus je sens son anus se dilater sous le massage que mon index lui offre. Son anus se dilate tellement que même sans forcer, mon doigt pénètre tout seul. Je le sens soupirer et retenir quelques bruits qui se fraient tout de même un chemin jusqu’à mes oreilles.

Je ne peux arrêter de le sucer. Ma langue descend parfois jusqu’à ses testicules pour les humidifier un peu avant de reprendre leur massage et que ma main remonte à son pénis pour le masturber pendant que ma bouche retourne à son gland. Il gémit, je ne peux pas faire autrement de mon côté parce que je suis excitée aussi.

Je me relève la tête lui demande s’il peut patienter quelques instants. Il me regarde et me dit oui. Je me lève, passe à l’entrée et fouille d’une main pressée mon sac à main. J’y trouve mon vibrateur que je garde souvent pour de petits parties de plaisir solitaires loin de chez moi. Je reprends mon chemin vers sa chambre. Sans lui indiquer ce que je venais de faire, je me replace comme si je n’étais jamais partie. Lorsque mon doigt est bien entré dans son cul et que je sens qu’il apprécie, je prends mon autre main et place le vibrateur serré entre mes deux pieds. Lorsqu’il entend la machine se mettre en marche, il relève la tête et je ne peux m’empêcher de lui faire un sourire en ayant toujours sa queue dans la bouche. Je commence à m’assoir sur le vibrateur et me relever doucement. Je pousse quelques soupirs. Plus je me pénètre, plus je le suce, plus je le suce, plus je suis excitée et plus je suis excitée plus j’ai envie de me pénétrer,… C’est une roue de plaisir.

Je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois que je suce, je ne peux m’empêcher de fantasmer. Je pense à tout ce qui est offert à moi. Présentement, j’entre deux doigts dans son petit cul. Il retient son souffle quelques secondes, et gémit doucement. J’augmente alors la force de la vibration de mon vibrateur tout en sachant qu’il ne pourra pas tenir encore longtemps. De mon côté, toujours pris entre mes pieds, je le sors complètement et l’amène à titiller mon clitoris qui est bien gonflée de plaisir. Sentant que j’allais bientôt exploser, je mets toutes les énergies qui me restent à sucer mon cher ami. J’entre son pénis dans ma gorge, je tourne ma langue autours, je lui masse les couilles, je lui pénètre le cul de mes deux doigts bien humides, je le suce… Je le sens commencer à se tortiller et à lever les hanches. Pour la première fois depuis que j’ai commencé à le toucher, j’entends clairement un « aahhh » et quelques secondes après, je sens quelques jets bien chauds sur mon palais.

Je continue doucement à le sucer tout en sentant la chaleur monter en moi. Je sens que j’y arriverai bientôt mais il se relève et passe sa main entre mes jambes pour m’arracher le vibrateur. Il me pousse sur le dos et commence à entrer et sortir le jouet magique de ma chatte qui est très humide. Quand il le ressort, il le lève suffisamment pour stimuler mon clitoris et sans crier gare, il l’entre complètement et joue avec en dedans de moi comme s’il avait fait ça toute sa vie.

Je ne pouvais plus me retenir. Il jouait avec ma chatte de façon magique, irrésistible, majestueuse. J’ouvris la bouche pour respirer, manquant d’air et senti mon jus se projeter et s’étendre sur ses genoux en face de moi. J’éclatais. Tout mouillé, il vient s’étendre à mes côtés et caressa un de mes seins et mon ventre.

L’amitié offre parfois de bons moments. Comme j’étais exténuée, je m’assoupie un instant. Je continuais à sentir ses mains expertes sur mon corps, doucement. La soirée était jeune… et son colocataire ne revenait pas avant encore au moins une journée
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 16:52
Délicieuxxx Plaisirs à l’huile
C’est un dimanche d’escapade et de douces folies, nous sommes à Montréal dans un bar à parler de notre vécu, ma copine et moi, de nos premiers frissons érotiques, de nos premières maladresses dans le temps… hummmm, et, de fil en aiguille, admirant son sourire, son corps, ses beaux seins tout frémissants qui se laissent délicieusement deviné, formes soyeuses, lèvres ouvertes… Nous nous collons, nez à nez, comme j’aime lorsqu’elle met sa main dans ma longue chevelure… et nos lèvres s’effleurent, répondant à l’écho de nos envies… hummmm Comme il fait bon d’être ainsi…
Soudain, il nous prend une envie de vouloir faire l’amour avec un autre couple. AAaahhhh… Si on pouvait juste claquer des doigts et hop! Ils apparaissent beaux et remplis de désirs innommables… Pas facile de faire coïncider nos pulsions avec la disponibilité… Surtout un dimanche de début de soirée.
Mais bon, à force de se faire regarder dans le bar à s’embrasser, nous décidons de revenir à la maison. La noirceur était tombée et inutile de vous dire que je conduisais d’une main, en caressant le bas ventre de ma Douce de l’autre…
Elle gémit d’aise, cherchant à tout moment à caresser mon sexe qu’elle libère bientôt de ce jean trop encombrant. Elle me suce délicieusement, ne pouvant attendre notre arrivée… AAaah comme je l’aime, comme elle est belle lorsqu’elle ne se contient plus… Jamais je n’avais conduit si lentement sur l’autoroute 13… Aaaah ces plaisirs complices!
À la maison, je n’ai qu’une idée en tête, faire vibrer ma Douce d’un plaisir sans fin… AAAaaaahhhh…
Nous avons visiblement la même idée, car nos manteaux se sont vite retrouvés par terre dans le salon et nos corps, dans un désir fou, s’enlacent à qui mieux mieux…
Mes lèvres parcourent sa bouche, son corps, que je déshabille au fur et à mesure de mon exploration frénétique qui est encouragée par les mains de ma Douce cherchant mes fesses et l’entrée de mon anus…
Voyant cela, et reprenant quelque peu notre souffle… je me dirige alors vers la salle de bain et je fais couler l’eau chaude dans le lavabo… Elle sait bien, cette Fleur sensible et vibrante, ce que cela veuxxx dire… Je mis une bouteille d’huile pour bébé dans l’eau chaude… et elle, mouillant déjà, les yeux pétillants d’un désir exquis, arrive délicatement dans cette salle où je suis en train de disposer par terre, ça et là des serviettes de bain. Elle se penche vers moi et aspire mon sexe gonflé dans une étreinte incroyable… Hummmmm
Caressant ses seins doucement, effleurant du bout des doigts ses mamelons, je la sens devenir folle d’envie, se tortillant, gémissant de plus belle, décuplant son plaisir que je partage au plus profond de moi. Hummmmm Comme elle est belle… Comme elle me donne envie… Nos corps se fusionnent… On s’enlace et nos mains ne cessent d’arpenter nos corps à la recherche d’un frisson, d’une douceur, d’un désir de faire plaisir à l’Autre… aaaahhh!!!!!

N’y tenant plus, je me mets à verser généreusement l’huile chaude sur son dos, créant presque un ruisseau coulant vers ses fesses, son anus et sa vulve… mes mains comme des râteaux fébriles, répandent le délicieux fluide chaud sur tout son corps que j’ai plaisir à caresser sans arrêt… AAaaaah… mes mains vont et viennent sur tout ce corps encore penché sur mon sexe… Sa bouche assoiffée suce, lèche, aspire mon sexe comme jamais, comme si c’était fini, comme si c’était la dernière fois… ouffff!
Excitée au possible, elle me prend la bouteille et, à son tour, fait gicler l’huile sur mon torse, caressant, de haut en bas, elle aussi, mon corps, mon sexe incroyablement gonflé… et nous nous collons…. Dans une étreinte visqueuse et lubrique où l’huile jaillit de toute part… Hummmm soudés, fluide… mon sexe, contre le sien… se frotte hummmm on se touche, comme électrisé par la sensation intense qui nous habite. Hummmmm
Elle verse encore de l’huile sur mon torse, puis sur mon dos, elle se sent terriblement cochonne, excitée par cette sensation où l’huile éclabousse et recouvre toutes les pores de sa peau… Elle se frotte de façon ingénue et je sens l’huile couler entre mes fesses… Sa main vient vite étendre cette huile chaude et elle ne cesse alors de caresser mon anus… AAAaahhhh comme une fascination délicieuse et chimérique, faisant comme si elle jouait de la guitare en passant rapidement ses quatre doigts sur l’entrée de mon anus…. Huuummm aaaahhhhh encore encore que je lui crie… Le corps alors se ponctue de spasme incroyable… elle aime ça… elle s’excite de ces caresses frénétiques, tenant avec vigueur mon sexe gonflé dans une main et de l’autre, jouant avec mon anus comme jamais… Elle vibre la cochonne à ce jeu nouveau se frottant la vulve sur ma cuisse huileuse et dégoulinante à souhait… elle gémit… sentant mon corps fébrile, le sien est ponctué de spasme, mais elle reste collée à moi… se penchant de côté pour avoir une vue imprenable sur mes fesses qu’elle caresse à deux mains. Puis, elle enfonce son doigt dans ce trou ouvert jouissant comme si c’était le sien… je frémis à ce délicieux traitement qui l’encourage de façon débridée et elle y va frénétiquement… tournant sa main huileuse sur mon sexe et pistonnant mon anus comme une folle… Une étreinte incroyable… On tourne sur nous même, caressant le bas de nos dos, de nos fesses allant jusqu’à l’anus dans un va-et-vient grisant… AAAaaahhhh! On se fouille, mutuellement penché, l’huile coulant de toute part… Nos sens sont à fleur de peau. Aaaahhh!
Puis on s’arrête un peu. Saoulé par la sensation, nos corps tout chauds et encore sensitifs de tant de caresses, j’assois ma Douce sur le bord du couvercle de toilette… je lui gicle encore de l’huile sur ses seins et sur son ventre… hummmmm elle gémit encore et là, mes mains la caressent doucement partant de son cou en passant par ses mamelons durcis, son ventre et descendant jusqu’à sa vulve… effleurant ses lèvres, son clitoris gonflé à souhait… aaaah Quelle sensation!
Elle m’implore de la pénétrer… elle veut mon sexe au fond d’elle-même… Je la sens brûler d’envie, elle crie… ouffff! Mais je lui réserve une surprise… Je sors son vibrateur… dont le bout est courbé… et je l’active… l’enrobant d’huile… lui passant l’engin soyeux sur le corps, les seins, les mamelons… hummmmmm tout glisse, tout est fluide et vibrance! Je la sens frémir… Comme elle est belle! Aaaahhhh
elle jouit… se mord les lèvres se tenant comme elle peut pour laisser sa vulve offerte sur le bord du siège… elle dégoûte… n’en peut plus… AAaaahhhh et j’introduis le vibro dans son vagin collant du même souffle ma langue sur son clitorisssss gonflé comme jamais…. Aaaaahhhh elle crie, son corps se convulsionne… la vibration l’excite au plus au point… Elle est au paroxysme….. Elle me tient la tête d’une main… ma langue faisant de longs mouvements goûtant un mélange d’huile et de mouille qui m’enivre totalement AAaaahhhhh.!!!!! Là, positionnant le vibro à l’entrée de cette vulve offerte, je la pénètre de façon incroyable… sentant la vibration et glissant en elle dans un mouvement suave et extatique… Je ne vois plus clair.. nos souffles haletants, nos corps produisent une sensation inimaginable… Elle a la bouche ouverte comme pour aspirer quelque chose, comme pour dire quelque chose, mais rien, seule sa langue cherche quelque chose à sucer… mon gland entre et sort… se frottant sur ses lèvres et le vibro qui vibre tantôt sur le clito tantôt sur mon gland ouffff! Je n,en peux plus… AAAaaaahhhhh comme c’est bon… On se sent mutuellement vibrer…
AAaaaahhhh J’explose! Dans une fusion orgasmique complète où, enlacés, elle pleure… et nous nous écrasons sur le plancher de la salle de bain, ma Douce sur moi dans une étreinte hors du temps… Entre deux mondes, épuisés, entourés de serviettes et la peau suintant l’huile abondante… AAaaaahhhhh comme c’est bon… Moment d’éternité sans nom où nos pensées s’égarent dans une semi-conscience… hummmmmm
Il nous a pris quelques minutes pour reprendre nos esprits et se faire alors couler un bon bain chaud… pour enlever l’excédant d’huile…
Unis encore dans l’eau, lovés par toute cette chaleur qui nous enveloppait, la peau soyeuse comme jamais, on se demandait bien ce que ce serait avec un autre couple… Ah
Par pat - Publié dans : histoire Érotique-Nasty story
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